La Lune
Elle marque les signes de Balance à Capricorne
Elle passe de la constellation de la Vierge (Vir) à celle du Sagittaire (Sgr)
le 28, Premier Quartier, passe en déclinaison Sud
le 29, conjoint Spica
le 30, périgée
le 2, conjoint Antarès
le 4, nœud descendant, sort des limites zodiacales
le 5, déclinaison minimale, conjoint Nunki, éclipse pénombrale de Lune, Pleine Lune, conjoint Jupiter
Le Soleil est :
dans le signe du Cancer
devant la constellation des Gémeaux (Gem)
à l’apogée le 4
– Les planètes en géocentrique
Mars signe Bélier le 28
Mercure périgée le 29, conjonction inférieure le 1, déclinaison minimale le 5
Jupiter conjoint Pluton le 30
Saturne, rétrograde, revient dans le signe du Capricorne le 2 et devant la constellation du Sagittaire le 3
Vénus déclinaison minimale le 4
Autres rétrogrades : Pluton, Jupiter, Mercure, Neptune
– En héliocentrique
Vénus conjoint Pluton le 29, conjoint Saturne le 1, signe Verseau le 3
Terre à l’aphélie le 4
Mercure conjoint Jupiter le 5
- Aux alentours de 0h30, maximum attendu de l’essaim météoritique des beta Taurides de jour
– A 3h27, Mars entre dans le signe du Bélier en géocentrique
– A 8h33, Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 12h/6h 30m, déclinaison Soleil +23°14’ -descend, Lune +2°23’ -descend.
- A 18h29, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Sud : déclinaison 0° ; ascension droite 12h52m. Longitude écliptique 191°58’ (12e BAL), latitude +5°08’, descend.
- A 1h23, Mercure au périgée
– A 1h31, Jupiter conjoint Pluton dans le plan équatorial
– Aujourd’hui, la comète 249P LINEAR au périhélie
- A 10h16, la Lune est conjointe à Spica dans le plan équatorial, l’étoile 7°28’ au Sud ;
à remarquer le 28 et le 29 juin au soir au Sud-ouest ; d’un soir à l’autre, apprécier le déplacement de la Lune par rapport à l’étoile.
Spica se couche aux alentours de 2h00, suivie par la Lune de 15 minutes le 28 et d’environ 45 minutes le lendemain.
– A 14h55, la Lune est conjointe à Spica dans le plan écliptique, ∆ +6°50’
Spica, de magnitude 0.95, marque depuis 2014 et pour 72 ans environ, le 25e degré du signe de la Balance ; longitude 204°7’55"
– A 2h41, Vénus conjoint Pluton en héliocentrique->#helio].
- A 0h47, la Lune entre dans le signe du Scorpion ; Lg 210° à 240° ; sa latitude est alors de +4°31’ descend.
– A 1h55, la Lune arrive devant la constellation de la Balance (Lib) ; longitude 216°37’ (7e SCO) ; latitude +4°11’, descend.
- A 4h12, la Lune au périgée : au plus près de la Terre à 368 958 kilomètres, soit 57,85 rayons terrestres environ ; diamètre apparent : 32,4 minutes d’arc ;
longitude 212°01’ (3e SCO), latitude +4°25’, descend ; ascension droite 14h05m, déclinaison -8°00’, descend.
– Durant une quinzaine de jours à partir d’aujourd’hui Vénus tient dans le même champ de jumelles qu’ Aldébaran et les Pléiades
– A 8h10, Jupiter conjoint Pluton dans le plan écliptique
– A 23h51, conjonction Soleil-Mercure dans le plan géo-équatorial
Aujourd’hui, l’amas ouvert Messier 35 sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 4h45, conjonction inférieure de Mercure dans le plan écliptique = Mercure conjoint Terre en héliocentrique.
– A 5h05, apprécier la configuration des satellites de Jupiter
– A 21h35, Vénus conjoint Saturne en héliocentrique->#helio].
- Aujourd’hui, la comète 2019 SS79 au périhélie
– Aux alentours de 2h, l’astéroïde (56) Melete à l’opposition du Soleil
– A 2h02, Saturne, rétrograde, revient dans le signe du Capricorne en géocentrique.
– A 3h20, la Lune entre dans le signe du Sagittaire ; Lg 240° à 270° ; sa latitude est alors de +2°34’ descend.
– A 7h27, la Lune arrive devant la constellation du Scorpion (Sco) ; longitude 242°25’ (3e SAG) ; latitude +2°22’, descend.
– A 16h13, la Lune arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) ; longitude 247°34’ (8e SAG) ; latitude +1°56’, descend.
- A 18h46, la Lune est conjointe à Antarès dans le plan équatorial, l’étoile (alpha du Scorpion, m 1.1) 6°27’ au Sud.
Remarquable en début de nuit ; les deux astres culminent aux alentours de 23h30.
– A 20h25, Lune est conjointe à Antarès dans le plan écliptique, ∆ +6°18’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°03’12". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 72 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire.
- Aujourd’hui, la comète C/2020 F3 NEOWISE au périhélie
– A 5h01, Vénus entre dans le signe du Verseau en héliocentrique.
– A 12h21, Saturne arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) -mouvement rétrograde
- A 0h44, la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) ; longitude 266°30’ (27e SAG) ; latitude +0°14’ -descend
A 1h36, Vénus atteint sa déclinaison minimale
– Aux alentours de 2h, l’astéroïde (532) Herculina à l’opposition du Soleil
- A 5h17, la Lune passe au nœud descendant de son orbite :
dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Sud
Longitude 269°7’ (30e SAG) ; (ascension droite : 17h56m, déclinaison -23°25’ (descend) ;
distance 375 316 kilomètres soit environ 58,84 rayons terrestres .
L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en signes Gémeaux/Sagittaire, du 5 mai 2020 au 18 janvier 2022.
- A 5h21, la Lune sort des limites zodiacales (-23°26’12") ; ascension droite 14h56m ;
longitude écliptique 269°10’ (30e SAG), latitude -0°0’ -descend.
– A 6h47, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300° ; sa latitude est alors de -0°04’ descend.
– A 13h34, le Soleil à l’apogée = la Terre à l’aphélie : plus grande distance Terre-Soleil.
- Aujourd’hui, la planète Mercure sort du champ du coronographe Lasco C3
- A 3h35, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -24°03’53" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ;
ascension droite 18h51m ; longitude écliptique 281°51’ (12e CAP), latitude -1°09’ (descend).
Elle est hors-limites zodiacales du 4 juillet, 5h21 au 6 juillet, 2h14
Elle culmine au plus bas dans l’hémisphère Nord, à 20° de hauteur pour la latitude 45°N, aux alentours de 2h00
En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026.
Elle sort des limites zodiacales Nord et Sud du mois de mars 2020 à février 2030
- A 5h02, la Lune est conjointe à l’étoile Nunki, (sigma Sagittaire ; m 2.05) dans le plan écliptique, l’étoile 2°13’ au Sud.
La conjonction dans le plan équatorial a lieu à 5h25, Δ+2°12’.
En raison de la précession des équinoxes, Nunki marque de nos jours le 13e degré du signe du Capricorne (longitude 282°40’35")
Les deux astres s’accompagnent toute la nuit ; ils culminent aux alentours de 2h00
– A 5h19, Mercure conjoint Jupiter en héliocentrique->#helio].
- A 6h30, maximum d’une éclipse pénombrale de Lune, qui débute à 5h07 et s’achève à 7h52 (de 3h07 à 5h52 UTC) sur fond d’étoiles de la constellation du Sagittaire (Sgr).
C’est la troisième des quatre éclipses partielles de Lune par la pénombre se produisant en 2020 (10 janvier, 5 juin, 5 juillet, 30 novembre).
Elle fait suite à l’éclipse pénombrale de Lune du 5 juin et l’éclipse annulaire de Soleil du 21 juin 2020 ; elle est théoriquement visible depuis les Amériques, le sud-ouest de l’Europe, et l’Afrique.
Seulement 35% du disque de la Lune s’enfonce dans la pénombre qui entoure le cône d’ombre de la Terre.
Cette éclipse pénombrale très subtile, d’une durée totale de 2 heures et 45 minutes sera en pratique très difficile à remarquer à l’œil nu.
Pour notre localisation, lorsqu’elle entre dans la pénombre, la Lune, sur le couchant n’est plus qu’à 9° de hauteur ; à l’heure du maximum, elle est sous l’horizon
Tous les détails sur la page spécile PGJ
– A 6h29, Lune opposé Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 18h/6h 59m, déclinaison Soleil —22°44’, descend, Lune -24°03’, monte.
C’est la Pleine Lune du Chevreuil dans l’Astrologie amérindienne, clan de la Grenouille, Totem : le Pivert
Le 4 juillet au soir, elle s’extrait de l’horizon Sud-est quand le Soleil se couche et s’élève en flottant dans l’ombre projetée de la Terre.
Sa course dans le ciel dure la durée de la nuit, soit tout juste 8 heures sous nos latitudes. Elle culmine à une vingtaine de degrés de hauteur, à côté de Nunki
Et se retrouve à l’aube, la portion Nord de son globe très subtilement voilée par son passage dans le cône de pénombre de la Terre.
– A 11h40, Mercure atteint sa déclinaison minimale (Nord +18°26’)
– Aux alentours de 19h00, l’astéroïde (7) Iris au périgée
- A 22h13, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan écliptique, la planète 1°51’ au Nord ; longitude 292°18’ (23e CAP).
Remarquable tout au cours de la nuit : Jupiter se lève avec la Lune, suivis par Saturne
– A 23h38, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan équatorial, ∆ -1°52’ ; élongation solaire de Jupiter 171° Ouest.
- Devant la constellation des Gémeaux (Gem) du 21 juin au 20 juillet. Il arrivera alors devant le Cancer (Cnc).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er mai, 0h TU (12e TAU) au 2 novembre 2020, 0h TU (11e SCO) (grille équatoriale)
les planètes sont positionnées au 1er mai 2020.
- Dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) du 20 juin, 23h27 (21h27 UTC) au 22 juillet à 10h21 (8h21 UTC)
= la Terre est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) en héliocentrique.
-
Nous sommes dans la première phase de la saison Eté Nord / Hiver Sud :
à partir de là, l’Hémisphère Nord (+) qui reçoit un maximum d’ensoleillement (F) en reçoit un petit peu moins chaque jour (L)
alors que l’Hémisphère Sud (-) qui reçoit un minimum d’ensoleillement (f) en reçoit un petit peu plus chaque jour (v)
Les jours diminuent au Nord et augmentent au Sud
Ensoleillement majoritaire (F) au Nord (+) mais il décroit (L+)
Ensoleillement minoritaire (f) au Sud (-) mais il augmente (v+)
La polarité dominante de cette saison (phase) est « - » = inhibition
– Ce qui se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité directrice "-"
– formule majeure : inhibition protectrice ou bloquante F- / - formule mineure : excitation associative f+.
2- saison : signe d’été Nord/hiver Sud
– formule majeure : L+ = "L" pour Lenteur ou inertie car la polarité dominante décroît et "+" pour Nord
– formule mineure : v- = "v" pour vitesse car la polarité secondaire est croissante et "-" pour Sud
3- période solsticiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale (UP)
– La formule du Cancer est opposée à celle du Capricorne (Force d’inhibition extinctive F- / force d’excitation naturelle f+, Lenteur d’inhibition L- / vitesse d’excitation v+, sens des Ensembles sE / phase ultra paradoxale UP)
et inverse de celle du Sagittaire (Force d’excitation associative F+ / force d’inhibition autoprotectrice f-, Vitesse d’inhibition V- / lenteur d’excitation l+-, sens des Ensembles sE / phase ultra paradoxale UP)
- Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez sur cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
Le 2 juillet à 2h, c’est le milieu de l’année. Il advient le 2 juillet, à 0h00 UTC les années bissextiles et à 12h00 UTC les années ordinaires.
- Il est à l’apogée le 4 juillet à 13h34 : au plus loin de la Terre à 1,016 694252 UA soit 152, 095 295 millions de kilomètres = aphélie de la Terre en héliocentrique.
Son diamètre apparent est minima : 29,4 minutes d’arc. Longitude écliptique 102°57’ (13e CAN).
A notre époque, le moment du passage à l’aphélie peut survenir entre le 2 juillet à 20h00 UTC (comme en 1960) et le 6 juillet à 23h00 UTC (comme en 2007) : cela est lié à la danse du couple Terre-Lune autour de son barycentre.
D’autre part, l’axe des apsides (périhélie-aphélie) de la Terre progresse de 1°43’ par siècle sur l’écliptique, ce qui fait que la date moyenne du périhélie et de l’aphélie retarde d’environ 1 jour par siècle.
- Il est conjoint à Mercure le 30 juin à 23h51 dans le plan géo-équatorial :
ascension droite 6h41m, déclinaison Soleil +23°05’ -descend, Mercure +18°39’ -descend.
La conjonction dans le plan écliptique a lieu le 1er juillet à 4h45 (en coordonnées moyennes de la date), à la longitude 99°44’ (10e CAN) ; latitude Mercure -4°26’ (descend).
C’est la conjonction Terre-Mercure en héliocentrique soit un alignement Soleil-Mercure-Terre
– Mercure atteint son périgée le 29 juin à 1h23 (0,556 UA).
- Elle a atteint son premier maximum négatif de l’année le 13 mai (- 3m 39s),
était nulle le 12 juin ;
elle atteindra son second maximum positif le 25 juillet (+6m32s)
Autrement dit, du 13 mai au 25 juillet , le midi vrai se produit chaque jour un peu plus tard par rapport au midi moyen
Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA, - techno-science - et encore celui-ci
l’amas ouvert Messier 35 du 16 juin au 1er juillet ; la planète Mercure du 26 juin au 5 juillet
au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ;
cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées
Au 26 juin, pas de tache depuis 10 jours ; nous en sommes donc à 132 jours sans tache depuis le début de l’année
C’est la polarité des taches ainsi que la latitude à laquelle elles apparaissent qui permet de déterminer
si elles appartiennent au cycle qui s’achève ou à celui qui commence.
Les taches du cycle 24 sont polarisées -/+, celles du cycle 25 sont polarisées +/-
et elles apparaissent aux hautes latitudes alors que celles du vieux cycle sont proches de l’équateur solaire.
Des petites taches éphémères du cycle 25 sont déjà apparues le 20 décembre 2016, le 8 avril et le 17 novembre 2018,
le 28 mai, le 1er et le 7 juillet, le 1er et le 13 novembre 2019,
du 8 au 10 janvier 2020, du 8 au 10 mars, du 30 mars au 5 avril, du 27 avril au 1er mai, du 2 au 16 juin ...
L’apparition des taches du nouveau cycle et l’accélération de leurs apparitions induit que la transition entre le cycle 24 et le cycle 25 est bien en cours ...
– spaceweather.com (en anglais)
– page PGJ en français
– excellent suivi en français sur astroplanetes
– Le 29 juin à 2h41, Vénus conjoint Pluton ; longitude 293°39’ - 24e CAP ; latitude Vénus -2°02’ (descend), Pluton -0°56’ (descend).
- Le 1er juillet à 4h45, Mercure conjoint Terre ; longitude 279°45’ - 8e CAP) ; latitude Mercure -5°28’ (descend) ;
c’est la conjonction inférieure de Mercure en géocentrique.
– Le 1er juillet à 21h35, Vénus conjoint Saturne ; longitude 298°03’ - 29e CAP ; latitude Vénus -2°14’ (descend), Saturne -0°11’ (descend).
– Le 3 juillet à 5h01, Vénus entre dans le signe du Verseau ; longitude 300°, latitude -2°19’ ; descend
elle reste dans ce signe jusqu’au 22 juillet.
- Le 4 juillet, à 13h32, la Terre à l’aphélie : au plus loin du Soleil à 1,016 694 252 UA soit 152, 095 295 millions de kilomètres ;
longitude écliptique 282°57’ (13e CAP) ; du point de vue géocentrique, c’est l’ apogée du Soleil.
La Terre se trouve 5 millions de kilomètres environ plus loinb de lui qu’à son périhélie, aux alentours du 4 janvier (soit 3,4%).
– Le 5 juillet à 5h19, Mercure conjoint Jupiter ; longitude 291°33’ - 22e CAP ; latitude Mercure -5°28’ (descend), Jupiter -0°14’ (descend).
- Pour notre localisation (44°36’N-2°12’E), le Soleil se couche à 21h38 le 28 juin et à 21h37 le 5 juillet
il se lève à 6h10 le 28 juin et à 6h14 le 5 juillet.
Correction en longitude : pour la même latitude (approximativement),
retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest.
Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
A notre latitude, le jour perd 4 minutes le matin et une minute le soir
il diminue donc de 5 minutes en 7 jours (2 minutes en 8 jours la semaine dernière).
La durée du jour dans l’hémisphère Nord a commencé à diminuer depuis le solstice le 20 juin et va continuer à décroître jusqu’au prochain solstice de décembre.
Le jour se décale sur le soir en raison de l’équation de temps.
- Nous assistons aux couchers du Soleil les plus tardifs de l’année :
– A 0° de longitude terrestre et 40° de latitude Nord, il se couche à 21h33 (arrondi à la minute), du 22 juin au 2 juillet
à 45° Nord, à 21h51 du 22 au 30 juin
à 50° Nord, à 22h13 du 19 au 30 juin
Le Soleil ne descend pas en-dessous de 18° de hauteur sous l’horizon du 16 au 26 juin à 48° de latitude Nord
et pour une période de plus en plus longue au fur et à mesure que l’on s’élève en latitude.
A partir du cercle polaire, c’est le Soleil de minuit
A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
Puis, au fil des jours, gibbeuse croissante, elle se lève dans l’après-midi, culmine en première moitié de nuit et se couche en deuxième moitié de nuit
chaque jour une heure en moyenne plus tard que la veille (au minimum une demi-heure, au maximum une heure et demi à notre latitude).
La Pleine Lune se lève, culmine et se couche toujours grosso modo à l’opposé du Soleil.
Nuages noctiluques
Nous sommes dans la période favorable à l’observation de nuages noctiluques
En cette période proche du solstice d’été, qui dure d’autant plus longtemps que l’on se trouve proche du pôle, il est possible d’observer des nuages noctiluques
Les observations rapportent que les températures dans la stratosphère et la mésosphère sont particulièrement basses cette année
1h55 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– le 28 juin aux alentours de 0h30, maximum attendu des beta Taurides de jour (BTA), radiant Taureau (Tau), diurne.
noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ;
nous faisons référence aux données en longitude solaire du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale) et ajoutons le cas échéant les données fournies par PGJ et Guillaume Cannat
liste de tous les essaims
Dans l’ordre de présence, du soir au matin
Elle se lève aux alentours de 22h20 et culmine aux alentours de 2h55 suivie par Saturne
Conjointe à la Pleine Lune le 5 juillet
Magnitude -2.7 (son éclat augmente).
Son diamètre apparent : 47 secondes d’arc, augmente
- Son élongation passe de 162° à 169° Ouest.
Prochaine opposition le 14 juillet. La précédente a eu lieu le 10 juin 2019.
Elle est passée en quadrature Ouest le 15 avril et conjointe au Soleil le 27 décembre (occultation)
Conjonctions planétaires
– Elle est conjointe à Pluton
le 29 juin à 1h31 dans le plan équatorial (AD 19h44m, déclinaison Jupiter -21°32’ (descend), Pluton -22°14’ (descend) ; élongation solaire 163° Ouest ;
le 30 juin à 8h10 dans le plan écliptique, à la longitude 294°06’ (25e CAP) ; latitude Jupiter -0°17’ (descend), Pluton -0°58’ (descend)
Sa conjonction précédente a été avec Pluton également le 5 avril ;
cette conjonction se reproduira encore une fois le 12 novembre (en raison de son mouvement rétrograde)
Les deux seront conjointes en héliocentrique le 31 juillet
La suivante sera avec Saturne le 21 décembre.
- Son mouvement est rétrograde depuis le 14 mai (28e CAP) ;
Elle reprendra son mouvement direct le 12 septembre, à la longitude 287°24’ (18e CAP)
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 6 décembre
- Elle est devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 16 novembre 2019 au 18 décembre 2020.
Ci-contre son parcours du 1er septembre 2019 au 8 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 1er septembre 2019).
- Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) en géocentrique du 2 décembre 2019 au 19 décembre 2020 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne depuis le 18 octobre 2019 ; elle entrera en Verseau le 12 octobre 2020.
- Observer le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
le 1er juillet à 5h05, après Callisto et Io, Europe s’éclipse dans l’ombre de Jupiter, il ne reste plus que Ganymède visible à l’Est de la planète.
Tous les phénomènes observables sur la fiche mémo imprimable
- Sa distance au Soleil : 5,159 UA le 5 juillet, diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA).
Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 4,182 à 4,155 UA ; elle est passée à l’apogée le 25 décembre 2019 (6,212 UA) ; elle sera au périgée le 15 juillet 2020 (4,139 UA).
- En latitude Sud depuis le 26 février,
en héliocentrique, elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 à -1°18’ (invariable, c’est la valeur de son inclinaison sur l’écliptique) ;
en géocentrique, son dernier palier de latitude maximale date du 16 avril 2019 (+0°38’) ; prochain minimum le 8 septembre 2021 (-1°11’).
- En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016,
elle a atteint sa déclinaison maximale le 10 mai : -20°51’
Elle redescend jusqu’au 14 septembre, minimum à -22°43’.
Son minimum absolu a eu lieu le 7 décembre 2019 (-23°18’). Elle passera en déclinaison Nord le 25 mai 2022.
Elle se lève aux alentours de 22h45, une vingtaine de minutes après Jupiter
Magnitude : 1.0 ; son éclat augmente
Diamètre apparent : 18 secondes d’arc, augmente
L’inclinaison de ses anneaux passe de +21,2° à +22,0° en juillet
Élongation maximale de Titan à l’Est le 4 juillet à 8h04
Son élongation passe de 156° à 163° Ouest.
Elle a été conjointe au Soleil le 13 janvier -et occultée par lui
et en quadrature Ouest le 21 avril
Prochaine opposition le 20 juillet 2020. La précédente date du 9 juillet 2019.
– Conjonctions planétaires
La dernière avec Mars le 31 mars
La prochaine avec Jupiter le 21 décembre
- Dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) en géocentrique depuis le 22 mars,
elle revient dans celui du Capricorne (longitude 270° à 300°) le 2 juillet à 2h02 ; mouvement rétrograde : longitude 330°, latitude -0°12’, descend ;
elle reprendra son mouvement direct dans ce signe le 29 septembre (26e CAP) et refera son entrée dans le signe du Verseau le 17 décembre.
En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
Devant la constellation du Capricorne (Cap) depuis le 21 mars
elle revient devant devant le Sagittaire (Sgr) le 3 juillet à 12h21, longitude 299°54’ (30e CAP), latitude -0°12’-descend
Elle reste devant cette constellation jusqu’au 15 décembre.
Ci-contre son parcours du 17 janvier 2020 au 18 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 17 janvier 2020)
- Son mouvement est rétrograde depuis le 11 mai (2e VER).
Elle reprendra son mouvement direct le 29 septembre à la longitude 295°20’ (26e CAP).
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 janvier 2021
- Sa distance au Soleil (10,013 UA) diminue depuis son aphélie le 17 avril 2018 (10,065 UA).
Elle se rapproche du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
- Sa distance à la Terre diminue, de 9,071 à 9,032 UA ;
dernier apogée le 13 janvier (11,017 UA) ; prochain périgée le 21 juillet (8,994 UA).
- En latitude Sud depuis le 13 février 2020 (nœud descendant),
en héliocentrique, elle descend et atteindra sa latitude minimale le 5 octobre 2027 (-2°27’ -invariable)
- En géocentrique, elle descend et atteindra un palier de latitude minimale le 7 octobre 2021 à -0°49’,
remontera un tout petit peu jusqu’au 25 novembre 2021 à 0°48’, puis redescendra jusqu’au 14 septembre 2022, à -1°19’
- En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle remonte depuis le 27 septembre 2019 (minimum à -22°31’) ;
elle a atteint un palier de déclinaison maximale le 7 mai : -19°50’ ; prochain minimum le 1er octobre à -21°22’
Elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Elle passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
Magnitude : 7.9, diamètre apparent 2,3 secondes d’arc.
Elle se lève aux alentours de 1h05. Elle devient observable dans le ciel de l’aube tant que la Lune n’est pas là, donc seulement au début de cette période.
Son élongation passe de 105° à 112° Ouest ;
elle est passée en quadrature Ouest le 11 juin,
conjointe au Soleil le 8 mars ;
prochaine opposition le 11 septembre 2020. La précédente date du 10 septembre 2019.
Conjonctions planétaires
La dernière avec Mars le 12 juin.
La prochaine avec Vénus le 14 mars 2021.
- Son mouvement est rétrograde du 23 juin (21e POI) au 28 novembre (19e POI)
elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 19 mars 2021
- Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
Ci-contre son parcours de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
- Sa distance au Soleil (29,930 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042.
Cette variation, liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans sur une orbite quasi circulaire.
A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
- Sa distance à la Terre : 29,523 UA le 5 juillet, diminue depuis son apogée le 9 mars (30,924 UA). Prochain périgée le 11 septembre (28,922 UA).
- En latitude Sud depuis 2003 ; en héliocentrique, elle descend jusqu’en 2043 à -1°45’.
En géocentrique, elle a atteint un palier de latitude maximale le 22 février (-1°0’) ; elle descend jusqu’au 24 septembre à -1°6’
- En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’) ;
elle a atteint sa déclinaison maximale annuelle le 19 juin (-4°33’) ; elle remonte ; prochain minimum le 26 novembre (-5°41’).
– Elle se lève aux alentours de 1h25, loin après Jupiter et Saturne desquelles elle se distancie de plus en plus,
aussi après Neptune, et avant Uranus et Vénus.
C’est une guirlande de planètes dans le ciel de fin de nuit
Magnitude : -0.5 à -0.6, son éclat augmente vite
Diamètre apparent : 11 secondes d’arc, augmente
Élongation 96° à 99° Ouest ;
elle est passée en quadrature Ouest le 6 juin,
en conjonction au Soleil le 2 septembre 2019 ;
prochaine opposition le 13 octobre 2020. La précédente date du 27 juillet 2018 ;
Conjonctions planétaires
– La précédente a été avec Neptune le 13 juin
La prochaine sera avec Uranus le 20 janvier 2021.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août 2018 ;
elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre 2018 (9e VER).
La prochaine va avoir lieu du 9 septembre (29e BEL) au 14 novembre (16e BEL).
- Devant la constellation des Poissons (Psc) du 24 juin au 8 juillet ; elle arrivera alors devant la Baleine (Cet).
Ci-contre son parcours du 9 janvier 2020 au 3 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 9 janvier 2020)
- En géocentrique dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) depuis le 13 mai, elle entre dans celui du Bélier (longitude 0° à 30°) le 28 juin à 3h27 ; latitude -3°03’ -descend.
Elle va effectuer sa rétrogradation dans ce signe, du 9 septembre (29e BEL) au 14 novembre (16e BEL)
et entrera dans le signe du Taureau (30° à 60°) le 6 janvier 2021.
En héliocentrique, elle signe Verseau du 6 juin au 24 juillet
- Sa distance au Soleil : 1,387 UA le 5 juillet, diminue depuis son aphélie le 26 août 2019 (1,666 UA) ; prochain périhélie le 3 août 2020 (1,381 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 0,834 à 0,793 UA ; dernier apogée le 29 août 2019 (2,675 UA). Prochain périgée le 6 octobre 2020 (0,414 UA).
- En latitude Sud depuis le 1er février (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale en héliocentrique le 8 juillet (+1°50’ -invariable)
et sa latitude minimale en géocentrique le 4 septembre (-4°15 ; variable).
Elle passera à son nœud ascendant le 2 décembre
- En déclinaison Sud depuis le 7 octobre 2019, elle remonte
elle est sortie des limites zodiacales (-23°26’12") du 9 février au 3 mars
et a atteint sa déclinaison minimale le 20 février (-23°40’) ;
Elle remonte et passera en déclinaison Nord le 11 juillet.
- Saison sur Mars : c’est l’Automne Nord / Printemps Sud du 8 avril au 1er septembre de notre calendrier grégorien terrestre-)
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia et quelques nouveaux liens :
Mars.aeronomie.be ; Mars one.fr ;
et une pièce d’anthologie : Les Saisons sur la Planète Mars de Camille Flammarion
- Magnitude : 5.8 ; diamètre apparent : 3,5 secondes d’arc.
Elle se lève aux alentours de 2h40. On peut tenter de la détecter aux jumelles aux alentours de 4h30, dans l’alignement tracé par Vénus qui se lève et Mars
- Son élongation passe de 56° à 63° Ouest.
Elle est passée en conjonction au Soleil le 26 avril ; elle sera en quadrature Ouest le 2 août et à l’opposition le 31 octobre 2020.
Sa dernière opposition date du 28 octobre 2019 ; sa dernière quadrature Est du 23 janvier ;
– Conjonctions planétaires
La dernière avec Mercure le 1er mai
La prochaine avec Mars le 20 janvier 2021.
-Son mouvement est direct depuis le 11 janvier (3e TAU)
elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 26 avril
Sa prochaine rétrogradation aura lieu du 15 août 2020 (11e TAU) au 14 janvier 2021 (7e TAU)
- Elle est devant la constellation du Bélier (Ari) du 6 février 2019 au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations du 1er janvier 2018 au 16 mai 2023
- Elle signe Taureau :
en héliocentrique du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
en géocentrique, du 6 mars 2019 au 7 juillet 2025, après une première incursion du 15 mai au 6 novembre 2018.
- Sa distance au Soleil : 19,795 UA, diminue ;
dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
- Sa distance à la Terre diminue : 20,226 UA le 5 juillet.
Elle est passée à l’apogée le 26 avril (20,81 UA) ; elle sera au périgée le 31 octobre (18,78 UA).
- En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant le 19 mai 2029.
en géocentrique, elle a atteint un palier de latitude maximale le 17 mai : -0°26’ ;
elle descend jusqu’au 14 octobre à -0°28’. Précédent maxima le 13 octobre 2019 (-0°31’).
- En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte en oscillant au gré de ses rétrogradations.
Elle a atteint un minimum le 9 janvier à +11°56’ ; prochain maximum le 14 août (+14°35’).
Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
- Elle est du matin depuis sa conjonction inférieure le 3 juin
Elle se lève déjà près de 2 heures avant le Soleil.
Elle est immanquable dès son lever, à l’Est-nord-est.
Elle va être visible dans le ciel du matin jusqu’en novembre prochain
– - Son élongation passe de 31° à 36° Ouest ;
elle atteindra son élongation Ouest maximale le 13 août (45°47’) et sera en conjonction supérieure le 26 mars 2021
Sa dernière élongation Est maximale date du 24 mars (46°4’),
sa dernière conjonction supérieure du 14 août 2019.
Conjonctions planétaires
La dernière a été avec Mercure le 22 mai
La prochaine sera avec Pluton le 28 janvier 2021
- Sa portion éclairée passe de 16% à 22% ; elle est en phase de premier croissant
- son diamètre apparent diminue : 45 à 41 secondes d’arc
- magnitude -4.5, son éclat est presque maximal (-4.6)
Vénus, ses phases et son éclat, nouvelle brève sur ce site.
- Son mouvement est direct depuis le 25 juin (6e GEM)
Sa prochaine rétrogradation aura lieu du 19 décembre 2021 au 29 janvier 2022
Ci-contre son parcours du 1er janvier au 13 décembre 2020 ; les autres planètes sont positionnées au 1er janvier.
- Elle est devant la constellation du Taureau (Tau) du 30 mars au 5 août ;
elle arrivera alors devant Orion (Ori), puis devant les Gémeaux (Gem) le 13 août.
- Du 30 juin à mi-juillet, elle se tient dans le même champ de jumelles que l’étoile Aldébaran et les Pléiades
- Elle est dans le signe des Gémeaux (longitude 60° à 90°) du 3 avril au 7 août
En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 juin au 3 juillet, puis Verseau jusqu’au 22 juillet
- Sa distance au Soleil : 0,728 UA augmente depuis son périhélie le 20 mars (0,718 UA). Prochain aphélie le 10 juillet (0,728 UA).
- Sa distance à la Terre augmente de 0,371 à 0,414 UA ; elle a atteint son périgée le 3 juin ; prochain apogée le 30 mars 2021 (1,723 UA)
- En latitude Sud depuis le 5 juin (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale le 14 juillet en géocentrique : -4°31’ (variable) et le 1er août en héliocentrique : -3°23’ -invariable
- En déclinaison Nord depuis le 8 février,
elle atteint sa déclinaison minimale le 4 juillet à 1h36 : +17°12’35" par rapport au plan de l’équateur céleste ; ascension droite 4h22m ; longitude 66°42’ (7e GEM), latitude -4°16’ -descend
à partir de là, elle remonte jusqu’au 17 août à +20°7’ ; puis redescendra et passera en déclinaison Sud le 31 octobre.
Elle est sortie des limites zodiacales du 2 avril au 2 juin,
et a atteint son maximum le 4 mai : +27°49’ ;
Elle est en conjonction inférieure le 1er juillet
Elle passe donc du soir au matin. Elle se lève 7 minutes avant le Soleil le 5 juillet. - sa magnitude passe de + 4.6 à + 4.1.
Elle deviendra détectable aux jumelles mi-juillet et visible à l’œil nu en fin de mois.
Elle atteindra son élongation maximale le 22 juillet (20° Ouest) et sera en conjonction supérieure le 17 août.
– Le 5 juillet, elle sort du champ du coronographe Lasco C3 dans lequel elle se trouvait depuis le 26 juin
Elle a été bien visible durant la première quinzaine de juin et seule planète vespérale depuis la conjonction inférieure de Vénus le 3 juin
Sa dernière conjonction supérieure date du 4 mai
et elle a atteint son élongation maximale le 4 juin : 23°36’ Est ;
- son diamètre apparent, près de 12 secondes d’arc à la conjonction inférieure, commence ensuite à diminuer
- Sa fraction éclairée passe de 2% (dernier croissant) à 3% (premier croissant).
-Conjonctions planétaires
La dernière a été avec Vénus le 22 mai
La prochaine sera avec Pluton le 5 janvier 2021.
- Son mouvement est rétrograde du 18 juin (15e CAN) au 12 juillet (6e CAN) ;
elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 26 juillet.
– Ci-contre son parcours du 4 mai (13e TAU) au 20 novembre 2020 (12e SCO) ; les autres planètes sont positionnées au 4 mai .
- Devant la constellation des Gémeaux (Gem) depuis le 29 mai ; elle y effectue sa rétrogradation du 17 juin au 12 juillet
elle arrivera devant le Cancer (Cnc) le 4 août
- En géocentrique, elle est dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) depuis le 28 mai ;
elle y effectue sa rétrogradation du 17 juin au 12 juillet ; elle entrera dans le signe du Lion (longitude 120° à 150°) le 5 août.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 27 juin au 7 juillet.
- En latitude Sud depuis le 12 juin (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale le 6 juillet en géocentrique (-4°48’) et le 13 juillet en héliocentrique.
Elle passera à son nœud ascendant le 1er août
- En déclinaison Nord depuis le 14 avril,
elle atteint un palier minimum le 5 juillet à 11h40 : +18°26’16" ;
ascension droite 6h30m ; longitude 97°20’ - 8e CAN (rétrograde) , latitude -4°48’ -descend.
Elle est sortie des limites zodiacales (-23°26’12") du 16 mai au 10 juin
et a atteint sa déclinaison maximale le 27 mai (+25°39’), la plus forte sur la période 1990-2050.
Elle atteindra un nouveau palier maximum le 30 juillet à +21°29’,
puis redescendra et passera en déclinaison Sud le 6 septembre.
- Sa distance au Soleil diminue, de 0,463 à 0,447 UA ; elle est passée à l’aphélie le 23 juin (0,466 UA) ; elle sera au périhélie le 6 août (0,307 UA).
- Elle atteint son périgée le 29 juin à 1h23 : au plus près de la Terre à 0,589 89 UA soit 83,7 millions de kilomètres environ ; longitude 101°01’ -12e CAN, latitude -4°06’ -descend. Cela est lié à sa conjonction inférieure qui a lieu le 1er juillet.
A partir de là, sa distance à la Terre augmente jusqu’à son prochain apogée le 23 août (1,367 UA) ; apogée précédent le 2 mai (1,327 UA).
magnitude 15.0
Son élongation passe de 163° à 170° Ouest
– Prochaine opposition le 15 juillet 2020. La dernière date du 14 juillet 2019.
elle est passée en quadrature Ouest le 14 avril,
et conjointe au Soleil le 13 janvier 2020
- Conjonctions planétaires
Elle est conjointe à Jupiter le 29 juin à 1h31 dans le plan équatorial ; le 30 juin à 8h10 dans le plan écliptique.
La précédente était également avec Jupiter le 5 avril
Elle le sera encore une fois le 12 novembre en raison de la combinaison de leurs mouvements rétrogrades
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023
– Dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
- Son mouvement est rétrograde depuis le 25 avril (25e CAP) ;
Elle reprendra son mouvement direct le 3 octobre dans le plan équatorial, AD 19h37m et le 4 octobre dans le plan écliptique à la longitude 292°29’ (23e CAP)
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 25 janvier 2021
- Sa distance au Soleil augmente de 34,068 à 34,073 UA.
Elle est passée au périhélie le 5 septembre 1989 (29,65 UA) et sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 33,095 à 33,072 UA.
Elle est passée à l’apogée le 16 janvier (34,94 UA) ; elle sera au périgée le 13 juillet (33,06 UA).
– Elle est en latitude Sud depuis le 24 octobre 2018 (nœud descendant).
Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
- En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Actuellement, elle descend :
elle a atteint un maximum le 4 avril : -21°56’
prochain minimum le 15 octobre (-22°39’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
dans le plan équatorial sauf mention
– (56) Melete, devant l’Ecu de Sobieski (Sct), m 10.4, le 2 juillet aux alentours de 2h00 ; déclinaison -7°
– (532) Herculina, devant le Sagittaire (Sgr), m 9.3, le 4 juillet aux alentours de 2h00 ; déclinaison -19°
– (7) Iris, devant le Sagittaire (Sgr), m 8.8, le 5 juillet aux alentours de 19h00 : au plus près de la Terre à 1,6116 UA soit environ 241 millions de kilomètres. Déclinaison -20°.
Iris s’est trouvée à l’opposition du Soleil le 27 juin
observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– C/2020 F3 NEOWISE, magnitude observée 2.3, son éclat a considérablement augmenté !
devant Orion (Ori) jusqu’au 29 juin, puis le Taureau (Tau) jusqu’au 3 juillet, puis Cocher (Aur),
elle va devenir visible dans le ciel de fin de nuit la semaine prochaine, puis deviendra circumpolaire fin juillet
Elle passe au périhélie le 3 juillet à 0,29 UA et sera au plus près de la Terre le 23 juillet, à 0,69 UA soit 103,4 millions de kilomètres environ
– C/2019 U6 Lemmon
Comète récemment découverte, magnitude observée 6.5, son éclat est stable ; devant le Sextant (Sex) puis le Lion à partir du 5 juillet, on peut la chercher aux jumelles en tout début de nuit.
Elle passée est au périhélie le 18 juin à 0,9 UA et passe au plus près de la Terre le 29 juin à 0,8 UA
– 2P/Encke : devant les Gémeaux (Gem) puis le Cancer (Cnc), il n’y a pas de relevés de magnitude à son sujet. Mais où est Encke ? Devant le Soleil !
magnitude estimée 7.3 ; elle est passée au périhélie le 25 juin ; elle passe à 0,7 UA de la Terre début juillet
- C/2017 T2 PANSTARRS. Magnitude observée : 9.2, son éclat diminue légèrement
Devant les Chiens de chasse (CVn) elle est observable toute la nuit
elle est passée au plus près de la Terre le 29 décembre 2019, à 1,5 UA soit 227,4 millions de kilomètres environ et au périhélie le 4 mai à 1,61 UA
– C 58P/Jackson-Neujmin, magnitude observée 11.1 (éclat en diminution) ;
devant le Taureau (Tau), elle n’est pas observable. Elle est passée au périhélie le 27 mai.
– C 88P/Howell magnitude observée : 11.7.
elle est passée au plus près de la Terre le 3 juin, à 0,76 UA et sera au périhélie le 27 septembre, à 1,35 UA
Devant la Vierge (Vir), on peut la chercher en début de nuit.
Retrouvez toutes les comètes observées/observables sur theskylive.com et aerith.net,
Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 29 juin, 249P LINEAR, magnitude ?
– le 2 juillet, 2019 SS79, magnitude 21
– le 3 juillet, C/2020 F3 NEOWISE, magnitude 2 !
– Lune
- Le rover lunaire chinois Yutu-2 et l’atterrisseur Chang’e-4 se sont réveillés de manière autonome le 15 juin et sont entrés dans leur 19e jour lunaire d’activité sur la face cachée de la Lune, article French people.cn.
Il vont s’endormir pour une nouvelle nuit lunaire le 30 juin
Sondes VOYAGER
Le programme Mariner, à l’origine des sondes Voyager article Techno-Science.net
Site Voyager-NASA.
- New Horizons
Il y a des océans sur Pluton, article rtbf.be
Rappel des lancements et missions spatiales initialement prévues en 2020
Space X
26 juin, nouveau tir d’une fusée Falcon 9 avec à bord, des satellites pour Starlink et deux satellites d’un client., article Numerama
Einstein l’avait prédit : une étoile danse en rosace autour d’un trou noir (la Lune autour de la Terre, les planètes autour du Soleil aussi -) Article rtbf.be
image source
Rappels
– Soleil
Solar Orbiter, ce que la mission européenne va pouvoir nous apprendre en faisant son premier passage rapproché du soleil, article atlantico
Parker Solar Probe a réussi son 5e et plus proche survol du Soleil le 7 juin à 18,7 millions de kilomètres. Article en anglais sur space.com
- OSIRIS REx et l’astéroïde Bennu
OSIRIS REx découvre que les roches sur Bennu peuvent se fissurer à cause de la lumière solaire, article Futura-sciences
Le programme d’OSIRIS Rex est retardé sans dommages de 2 mois en raison du Covid19 : la sonde s’approchera à 40 mètres de l’astéroïde le 11 août et s’y amarrera pour récolter des échantillons le 20 octobre. Son départ pour la Terre est prévu mi 2021 et son arrivée le 24 septembre 2023. Communiqué de presse NASA source
L’exploitation conjuguée des données de SOFIA (Observatoire stratosphérique pour l’astronomie en infrarouge, un Boeing 747 dédié à l’observation en vol de phénomènes astronomiques),
de New Horizons et de son antécédant, le Kuiper Airborne Observatory
permettent aujourd’hui de dire que l’atmosphère de Pluton doit être beaucoup plus résiliente qu’on ne le supposait jusqu’ici (on pensait que son atmosphère disparaissait avec son éloignement du Soleil)
- Hayabusa2 et l’astéroïde Ryugu
Les astéroïdes Bennu et Ryugu seraient nés de la destruction d’un gros astéroïde, communiqué de presse du CNRS
– En route pour Mercure, souvenir du [survol de la Terre par Bepi Colombo le 10 avril ; en images sur Futura Sciences ; dans le ciel brésilien ; le "chant magnétique" de la Terre, Tweet de l’ESA sur Libération
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées :
Rosetta L’odyssée Rosetta, 900 jours sur une comète, sur Cielmania
photos réalisées par la sonde européenne avec en bonus un time-lapse renversant pour observer la rotation de la Terre sur Les Numériques
Liens à suivre pour ne rien rater
– INSU, ESA France, Autour du ciel, Futura-Espace ; Ciel des Hommes
– La chaîne YouTube d’Hugo Lisoir : on y parle astronomie, astronautique, New Space, recherche etc…
– La chaîne astro
Le télescope spacial IRTF de la Nasa vient de découvrir AU Mic b, une première exoplanète dans le système d’une étoile de la constellation du Microscope (Mic), article Sciences et Avenir
Rappels
– Astronews du 2 juin ; SpaceX : Décollage et amarrage réussis !
– La lettre de l’IMCCE de juin n°169. Ce mois-ci :
L’occultation de Vénus par la Lune le 19 juin 2020 ;
Le solstice d’été 2020 ;
L’éclipse de Lune par la pénombre du 5 juin 2020 ;
L’éclipse annulaire de Soleil du 21 juin 2020 ;
Ciel du mois ;
La Connaissance des temps, épisode V ;
Météorite jurassienne
– La lettre du guide du ciel n°161 (1er juin 2020) de Guillaume Cannat : présentation du Guide du Ciel 2020-2021
– Astrosurf magazine numéro 104, mai-juin 2020, la revue d’astronomie pratique qui allie haut niveau de technicité et poésie. Riche sommaire : C/2019 Y4 Atlas : la grande comète de l’épidémie ? ; NGC 6188, les dragons de l’Autel ; Une comète au bord du cœur ; Observation du Soleil avec un spectrohéliographe ; Le Soleil et le papillon ; 2020, la conjonction de Jupiter avec Saturne ; L’amas globulaire M92 ; Au coeur du Dragon ; A l’extrémité du ciel, IC 4537 ; Test matériel : Celestron 700, Maksutov Cassegrain 180 mm ; L’observatoire du Cap de Guzet ; Le couteau suisse de l’observateur nomade ; Observatoire du Pic du Midi, la révolution tranquille
La nouvelle plaie du ciel, les satellites Starlink. Une galerie photo dédiée est ouverte sur spaceweather.com et elle est déjà bien garnie !
– Le ballet subtil des lunes de Neptune
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
Astrologique
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [2], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
[UA<-UA]- Redéfinition de l’Unité Astronomique sur la base de la distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Mesurer l’Univers, cours de l’Observatoire de Paris, ouvert à tous et gratuit
Notez en regard vos observations quotidiennes de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
samedi 27 juin 2020, par
La Lune
Elle marque les signes de Balance à Capricorne
Elle passe de la constellation de la Vierge (Vir) à celle du Sagittaire (Sgr)
le 28, Premier Quartier, passe en déclinaison Sud
le 29, conjoint Spica
le 30, périgée
le 2, conjoint Antarès
le 4, nœud descendant, sort des limites zodiacales
le 5, déclinaison minimale, conjoint Nunki, éclipse pénombrale de Lune, Pleine Lune, conjoint Jupiter
Le Soleil est :
dans le signe du Cancer
devant la constellation des Gémeaux (Gem)
à l’apogée le 4
– Les planètes en géocentrique
Mars signe Bélier le 28
Mercure périgée le 29, conjonction inférieure le 1, déclinaison minimale le 5
Jupiter conjoint Pluton le 30
Saturne, rétrograde, revient dans le signe du Capricorne le 2 et devant la constellation du Sagittaire le 3
Vénus déclinaison minimale le 4
Autres rétrogrades : Pluton, Jupiter, Mercure, Neptune
– En héliocentrique
Vénus conjoint Pluton le 29, conjoint Saturne le 1, signe Verseau le 3
Terre à l’aphélie le 4
Mercure conjoint Jupiter le 5
- Aux alentours de 0h30, maximum attendu de l’essaim météoritique des beta Taurides de jour
– A 3h27, Mars entre dans le signe du Bélier en géocentrique
– A 8h33, Lune carré Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 12h/6h 30m, déclinaison Soleil +23°14’ -descend, Lune +2°23’ -descend.
- A 18h29, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Sud : déclinaison 0° ; ascension droite 12h52m. Longitude écliptique 191°58’ (12e BAL), latitude +5°08’, descend.
- A 1h23, Mercure au périgée
– A 1h31, Jupiter conjoint Pluton dans le plan équatorial
– Aujourd’hui, la comète 249P LINEAR au périhélie
- A 10h16, la Lune est conjointe à Spica dans le plan équatorial, l’étoile 7°28’ au Sud ;
à remarquer le 28 et le 29 juin au soir au Sud-ouest ; d’un soir à l’autre, apprécier le déplacement de la Lune par rapport à l’étoile.
Spica se couche aux alentours de 2h00, suivie par la Lune de 15 minutes le 28 et d’environ 45 minutes le lendemain.
– A 14h55, la Lune est conjointe à Spica dans le plan écliptique, ∆ +6°50’
Spica, de magnitude 0.95, marque depuis 2014 et pour 72 ans environ, le 25e degré du signe de la Balance ; longitude 204°7’55"
– A 2h41, Vénus conjoint Pluton en héliocentrique->#helio].
- A 0h47, la Lune entre dans le signe du Scorpion ; Lg 210° à 240° ; sa latitude est alors de +4°31’ descend.
– A 1h55, la Lune arrive devant la constellation de la Balance (Lib) ; longitude 216°37’ (7e SCO) ; latitude +4°11’, descend.
- A 4h12, la Lune au périgée : au plus près de la Terre à 368 958 kilomètres, soit 57,85 rayons terrestres environ ; diamètre apparent : 32,4 minutes d’arc ;
longitude 212°01’ (3e SCO), latitude +4°25’, descend ; ascension droite 14h05m, déclinaison -8°00’, descend.
– Durant une quinzaine de jours à partir d’aujourd’hui Vénus tient dans le même champ de jumelles qu’ Aldébaran et les Pléiades
– A 8h10, Jupiter conjoint Pluton dans le plan écliptique
– A 23h51, conjonction Soleil-Mercure dans le plan géo-équatorial
Aujourd’hui, l’amas ouvert Messier 35 sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 4h45, conjonction inférieure de Mercure dans le plan écliptique = Mercure conjoint Terre en héliocentrique.
– A 5h05, apprécier la configuration des satellites de Jupiter
– A 21h35, Vénus conjoint Saturne en héliocentrique->#helio].
- Aujourd’hui, la comète 2019 SS79 au périhélie
– Aux alentours de 2h, l’astéroïde (56) Melete à l’opposition du Soleil
– A 2h02, Saturne, rétrograde, revient dans le signe du Capricorne en géocentrique.
– A 3h20, la Lune entre dans le signe du Sagittaire ; Lg 240° à 270° ; sa latitude est alors de +2°34’ descend.
– A 7h27, la Lune arrive devant la constellation du Scorpion (Sco) ; longitude 242°25’ (3e SAG) ; latitude +2°22’, descend.
– A 16h13, la Lune arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) ; longitude 247°34’ (8e SAG) ; latitude +1°56’, descend.
- A 18h46, la Lune est conjointe à Antarès dans le plan équatorial, l’étoile (alpha du Scorpion, m 1.1) 6°27’ au Sud.
Remarquable en début de nuit ; les deux astres culminent aux alentours de 23h30.
– A 20h25, Lune est conjointe à Antarès dans le plan écliptique, ∆ +6°18’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°03’12". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 72 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire.
- Aujourd’hui, la comète C/2020 F3 NEOWISE au périhélie
– A 5h01, Vénus entre dans le signe du Verseau en héliocentrique.
– A 12h21, Saturne arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) -mouvement rétrograde
- A 0h44, la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) ; longitude 266°30’ (27e SAG) ; latitude +0°14’ -descend
A 1h36, Vénus atteint sa déclinaison minimale
– Aux alentours de 2h, l’astéroïde (532) Herculina à l’opposition du Soleil
- A 5h17, la Lune passe au nœud descendant de son orbite :
dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Sud
Longitude 269°7’ (30e SAG) ; (ascension droite : 17h56m, déclinaison -23°25’ (descend) ;
distance 375 316 kilomètres soit environ 58,84 rayons terrestres .
L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en signes Gémeaux/Sagittaire, du 5 mai 2020 au 18 janvier 2022.
- A 5h21, la Lune sort des limites zodiacales (-23°26’12") ; ascension droite 14h56m ;
longitude écliptique 269°10’ (30e SAG), latitude -0°0’ -descend.
– A 6h47, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300° ; sa latitude est alors de -0°04’ descend.
– A 13h34, le Soleil à l’apogée = la Terre à l’aphélie : plus grande distance Terre-Soleil.
- Aujourd’hui, la planète Mercure sort du champ du coronographe Lasco C3
- A 3h35, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -24°03’53" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ;
ascension droite 18h51m ; longitude écliptique 281°51’ (12e CAP), latitude -1°09’ (descend).
Elle est hors-limites zodiacales du 4 juillet, 5h21 au 6 juillet, 2h14
Elle culmine au plus bas dans l’hémisphère Nord, à 20° de hauteur pour la latitude 45°N, aux alentours de 2h00
En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, ses hauteurs maximale et minimale de culmination augmentent d’ octobre 2016 à septembre 2026.
Elle sort des limites zodiacales Nord et Sud du mois de mars 2020 à février 2030
- A 5h02, la Lune est conjointe à l’étoile Nunki, (sigma Sagittaire ; m 2.05) dans le plan écliptique, l’étoile 2°13’ au Sud.
La conjonction dans le plan équatorial a lieu à 5h25, Δ+2°12’.
En raison de la précession des équinoxes, Nunki marque de nos jours le 13e degré du signe du Capricorne (longitude 282°40’35")
Les deux astres s’accompagnent toute la nuit ; ils culminent aux alentours de 2h00
– A 5h19, Mercure conjoint Jupiter en héliocentrique->#helio].
- A 6h30, maximum d’une éclipse pénombrale de Lune, qui débute à 5h07 et s’achève à 7h52 (de 3h07 à 5h52 UTC) sur fond d’étoiles de la constellation du Sagittaire (Sgr).
C’est la troisième des quatre éclipses partielles de Lune par la pénombre se produisant en 2020 (10 janvier, 5 juin, 5 juillet, 30 novembre).
Elle fait suite à l’éclipse pénombrale de Lune du 5 juin et l’éclipse annulaire de Soleil du 21 juin 2020 ; elle est théoriquement visible depuis les Amériques, le sud-ouest de l’Europe, et l’Afrique.
Seulement 35% du disque de la Lune s’enfonce dans la pénombre qui entoure le cône d’ombre de la Terre.
Cette éclipse pénombrale très subtile, d’une durée totale de 2 heures et 45 minutes sera en pratique très difficile à remarquer à l’œil nu.
Pour notre localisation, lorsqu’elle entre dans la pénombre, la Lune, sur le couchant n’est plus qu’à 9° de hauteur ; à l’heure du maximum, elle est sous l’horizon
Tous les détails sur la page spécile PGJ
– A 6h29, Lune opposé Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 18h/6h 59m, déclinaison Soleil —22°44’, descend, Lune -24°03’, monte.
C’est la Pleine Lune du Chevreuil dans l’Astrologie amérindienne, clan de la Grenouille, Totem : le Pivert
Le 4 juillet au soir, elle s’extrait de l’horizon Sud-est quand le Soleil se couche et s’élève en flottant dans l’ombre projetée de la Terre.
Sa course dans le ciel dure la durée de la nuit, soit tout juste 8 heures sous nos latitudes. Elle culmine à une vingtaine de degrés de hauteur, à côté de Nunki
Et se retrouve à l’aube, la portion Nord de son globe très subtilement voilée par son passage dans le cône de pénombre de la Terre.
– A 11h40, Mercure atteint sa déclinaison minimale (Nord +18°26’)
– Aux alentours de 19h00, l’astéroïde (7) Iris au périgée
- A 22h13, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan écliptique, la planète 1°51’ au Nord ; longitude 292°18’ (23e CAP).
Remarquable tout au cours de la nuit : Jupiter se lève avec la Lune, suivis par Saturne
– A 23h38, la Lune est conjointe à Jupiter dans le plan équatorial, ∆ -1°52’ ; élongation solaire de Jupiter 171° Ouest.
- Devant la constellation des Gémeaux (Gem) du 21 juin au 20 juillet. Il arrivera alors devant le Cancer (Cnc).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er mai, 0h TU (12e TAU) au 2 novembre 2020, 0h TU (11e SCO) (grille équatoriale)
les planètes sont positionnées au 1er mai 2020.
- Dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) du 20 juin, 23h27 (21h27 UTC) au 22 juillet à 10h21 (8h21 UTC)
= la Terre est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) en héliocentrique.
-
Nous sommes dans la première phase de la saison Eté Nord / Hiver Sud :
à partir de là, l’Hémisphère Nord (+) qui reçoit un maximum d’ensoleillement (F) en reçoit un petit peu moins chaque jour (L)
alors que l’Hémisphère Sud (-) qui reçoit un minimum d’ensoleillement (f) en reçoit un petit peu plus chaque jour (v)
Les jours diminuent au Nord et augmentent au Sud
Ensoleillement majoritaire (F) au Nord (+) mais il décroit (L+)
Ensoleillement minoritaire (f) au Sud (-) mais il augmente (v+)
La polarité dominante de cette saison (phase) est « - » = inhibition
– Ce qui se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité directrice "-"
– formule majeure : inhibition protectrice ou bloquante F- / - formule mineure : excitation associative f+.
2- saison : signe d’été Nord/hiver Sud
– formule majeure : L+ = "L" pour Lenteur ou inertie car la polarité dominante décroît et "+" pour Nord
– formule mineure : v- = "v" pour vitesse car la polarité secondaire est croissante et "-" pour Sud
3- période solsticiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale (UP)
– La formule du Cancer est opposée à celle du Capricorne (Force d’inhibition extinctive F- / force d’excitation naturelle f+, Lenteur d’inhibition L- / vitesse d’excitation v+, sens des Ensembles sE / phase ultra paradoxale UP)
et inverse de celle du Sagittaire (Force d’excitation associative F+ / force d’inhibition autoprotectrice f-, Vitesse d’inhibition V- / lenteur d’excitation l+-, sens des Ensembles sE / phase ultra paradoxale UP)
- Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez sur cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
Le 2 juillet à 2h, c’est le milieu de l’année. Il advient le 2 juillet, à 0h00 UTC les années bissextiles et à 12h00 UTC les années ordinaires.
- Il est à l’apogée le 4 juillet à 13h34 : au plus loin de la Terre à 1,016 694252 UA soit 152, 095 295 millions de kilomètres = aphélie de la Terre en héliocentrique.
Son diamètre apparent est minima : 29,4 minutes d’arc. Longitude écliptique 102°57’ (13e CAN).
A notre époque, le moment du passage à l’aphélie peut survenir entre le 2 juillet à 20h00 UTC (comme en 1960) et le 6 juillet à 23h00 UTC (comme en 2007) : cela est lié à la danse du couple Terre-Lune autour de son barycentre.
D’autre part, l’axe des apsides (périhélie-aphélie) de la Terre progresse de 1°43’ par siècle sur l’écliptique, ce qui fait que la date moyenne du périhélie et de l’aphélie retarde d’environ 1 jour par siècle.
- Il est conjoint à Mercure le 30 juin à 23h51 dans le plan géo-équatorial :
ascension droite 6h41m, déclinaison Soleil +23°05’ -descend, Mercure +18°39’ -descend.
La conjonction dans le plan écliptique a lieu le 1er juillet à 4h45 (en coordonnées moyennes de la date), à la longitude 99°44’ (10e CAN) ; latitude Mercure -4°26’ (descend).
C’est la conjonction Terre-Mercure en héliocentrique soit un alignement Soleil-Mercure-Terre
– Mercure atteint son périgée le 29 juin à 1h23 (0,556 UA).
- Elle a atteint son premier maximum négatif de l’année le 13 mai (- 3m 39s),
était nulle le 12 juin ;
elle atteindra son second maximum positif le 25 juillet (+6m32s)
Autrement dit, du 13 mai au 25 juillet , le midi vrai se produit chaque jour un peu plus tard par rapport au midi moyen
Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA, - techno-science - et encore celui-ci
l’amas ouvert Messier 35 du 16 juin au 1er juillet ; la planète Mercure du 26 juin au 5 juillet
au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ;
cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées
Au 26 juin, pas de tache depuis 10 jours ; nous en sommes donc à 132 jours sans tache depuis le début de l’année
C’est la polarité des taches ainsi que la latitude à laquelle elles apparaissent qui permet de déterminer
si elles appartiennent au cycle qui s’achève ou à celui qui commence.
Les taches du cycle 24 sont polarisées -/+, celles du cycle 25 sont polarisées +/-
et elles apparaissent aux hautes latitudes alors que celles du vieux cycle sont proches de l’équateur solaire.
Des petites taches éphémères du cycle 25 sont déjà apparues le 20 décembre 2016, le 8 avril et le 17 novembre 2018,
le 28 mai, le 1er et le 7 juillet, le 1er et le 13 novembre 2019,
du 8 au 10 janvier 2020, du 8 au 10 mars, du 30 mars au 5 avril, du 27 avril au 1er mai, du 2 au 16 juin ...
L’apparition des taches du nouveau cycle et l’accélération de leurs apparitions induit que la transition entre le cycle 24 et le cycle 25 est bien en cours ...
– spaceweather.com (en anglais)
– page PGJ en français
– excellent suivi en français sur astroplanetes
– Le 29 juin à 2h41, Vénus conjoint Pluton ; longitude 293°39’ - 24e CAP ; latitude Vénus -2°02’ (descend), Pluton -0°56’ (descend).
- Le 1er juillet à 4h45, Mercure conjoint Terre ; longitude 279°45’ - 8e CAP) ; latitude Mercure -5°28’ (descend) ;
c’est la conjonction inférieure de Mercure en géocentrique.
– Le 1er juillet à 21h35, Vénus conjoint Saturne ; longitude 298°03’ - 29e CAP ; latitude Vénus -2°14’ (descend), Saturne -0°11’ (descend).
– Le 3 juillet à 5h01, Vénus entre dans le signe du Verseau ; longitude 300°, latitude -2°19’ ; descend
elle reste dans ce signe jusqu’au 22 juillet.
- Le 4 juillet, à 13h32, la Terre à l’aphélie : au plus loin du Soleil à 1,016 694 252 UA soit 152, 095 295 millions de kilomètres ;
longitude écliptique 282°57’ (13e CAP) ; du point de vue géocentrique, c’est l’ apogée du Soleil.
La Terre se trouve 5 millions de kilomètres environ plus loinb de lui qu’à son périhélie, aux alentours du 4 janvier (soit 3,4%).
– Le 5 juillet à 5h19, Mercure conjoint Jupiter ; longitude 291°33’ - 22e CAP ; latitude Mercure -5°28’ (descend), Jupiter -0°14’ (descend).
- Pour notre localisation (44°36’N-2°12’E), le Soleil se couche à 21h38 le 28 juin et à 21h37 le 5 juillet
il se lève à 6h10 le 28 juin et à 6h14 le 5 juillet.
Correction en longitude : pour la même latitude (approximativement),
retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest.
Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
A notre latitude, le jour perd 4 minutes le matin et une minute le soir
il diminue donc de 5 minutes en 7 jours (2 minutes en 8 jours la semaine dernière).
La durée du jour dans l’hémisphère Nord a commencé à diminuer depuis le solstice le 20 juin et va continuer à décroître jusqu’au prochain solstice de décembre.
Le jour se décale sur le soir en raison de l’équation de temps.
- Nous assistons aux couchers du Soleil les plus tardifs de l’année :
– A 0° de longitude terrestre et 40° de latitude Nord, il se couche à 21h33 (arrondi à la minute), du 22 juin au 2 juillet
à 45° Nord, à 21h51 du 22 au 30 juin
à 50° Nord, à 22h13 du 19 au 30 juin
Le Soleil ne descend pas en-dessous de 18° de hauteur sous l’horizon du 16 au 26 juin à 48° de latitude Nord
et pour une période de plus en plus longue au fur et à mesure que l’on s’élève en latitude.
A partir du cercle polaire, c’est le Soleil de minuit
A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
Puis, au fil des jours, gibbeuse croissante, elle se lève dans l’après-midi, culmine en première moitié de nuit et se couche en deuxième moitié de nuit
chaque jour une heure en moyenne plus tard que la veille (au minimum une demi-heure, au maximum une heure et demi à notre latitude).
La Pleine Lune se lève, culmine et se couche toujours grosso modo à l’opposé du Soleil.
Nuages noctiluques
Nous sommes dans la période favorable à l’observation de nuages noctiluques
En cette période proche du solstice d’été, qui dure d’autant plus longtemps que l’on se trouve proche du pôle, il est possible d’observer des nuages noctiluques
Les observations rapportent que les températures dans la stratosphère et la mésosphère sont particulièrement basses cette année
1h55 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– le 28 juin aux alentours de 0h30, maximum attendu des beta Taurides de jour (BTA), radiant Taureau (Tau), diurne.
noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ;
nous faisons référence aux données en longitude solaire du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale) et ajoutons le cas échéant les données fournies par PGJ et Guillaume Cannat
liste de tous les essaims
Dans l’ordre de présence, du soir au matin
Elle se lève aux alentours de 22h20 et culmine aux alentours de 2h55 suivie par Saturne
Conjointe à la Pleine Lune le 5 juillet
Magnitude -2.7 (son éclat augmente).
Son diamètre apparent : 47 secondes d’arc, augmente
- Son élongation passe de 162° à 169° Ouest.
Prochaine opposition le 14 juillet. La précédente a eu lieu le 10 juin 2019.
Elle est passée en quadrature Ouest le 15 avril et conjointe au Soleil le 27 décembre (occultation)
Conjonctions planétaires
– Elle est conjointe à Pluton
le 29 juin à 1h31 dans le plan équatorial (AD 19h44m, déclinaison Jupiter -21°32’ (descend), Pluton -22°14’ (descend) ; élongation solaire 163° Ouest ;
le 30 juin à 8h10 dans le plan écliptique, à la longitude 294°06’ (25e CAP) ; latitude Jupiter -0°17’ (descend), Pluton -0°58’ (descend)
Sa conjonction précédente a été avec Pluton également le 5 avril ;
cette conjonction se reproduira encore une fois le 12 novembre (en raison de son mouvement rétrograde)
Les deux seront conjointes en héliocentrique le 31 juillet
La suivante sera avec Saturne le 21 décembre.
- Son mouvement est rétrograde depuis le 14 mai (28e CAP) ;
Elle reprendra son mouvement direct le 12 septembre, à la longitude 287°24’ (18e CAP)
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 6 décembre
- Elle est devant la constellation du Sagittaire (Sgr) du 16 novembre 2019 au 18 décembre 2020.
Ci-contre son parcours du 1er septembre 2019 au 8 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 1er septembre 2019).
- Dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) en géocentrique du 2 décembre 2019 au 19 décembre 2020 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne depuis le 18 octobre 2019 ; elle entrera en Verseau le 12 octobre 2020.
- Observer le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
le 1er juillet à 5h05, après Callisto et Io, Europe s’éclipse dans l’ombre de Jupiter, il ne reste plus que Ganymède visible à l’Est de la planète.
Tous les phénomènes observables sur la fiche mémo imprimable
- Sa distance au Soleil : 5,159 UA le 5 juillet, diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA).
Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 4,182 à 4,155 UA ; elle est passée à l’apogée le 25 décembre 2019 (6,212 UA) ; elle sera au périgée le 15 juillet 2020 (4,139 UA).
- En latitude Sud depuis le 26 février,
en héliocentrique, elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 à -1°18’ (invariable, c’est la valeur de son inclinaison sur l’écliptique) ;
en géocentrique, son dernier palier de latitude maximale date du 16 avril 2019 (+0°38’) ; prochain minimum le 8 septembre 2021 (-1°11’).
- En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016,
elle a atteint sa déclinaison maximale le 10 mai : -20°51’
Elle redescend jusqu’au 14 septembre, minimum à -22°43’.
Son minimum absolu a eu lieu le 7 décembre 2019 (-23°18’). Elle passera en déclinaison Nord le 25 mai 2022.
Elle se lève aux alentours de 22h45, une vingtaine de minutes après Jupiter
Magnitude : 1.0 ; son éclat augmente
Diamètre apparent : 18 secondes d’arc, augmente
L’inclinaison de ses anneaux passe de +21,2° à +22,0° en juillet
Élongation maximale de Titan à l’Est le 4 juillet à 8h04
Son élongation passe de 156° à 163° Ouest.
Elle a été conjointe au Soleil le 13 janvier -et occultée par lui
et en quadrature Ouest le 21 avril
Prochaine opposition le 20 juillet 2020. La précédente date du 9 juillet 2019.
– Conjonctions planétaires
La dernière avec Mars le 31 mars
La prochaine avec Jupiter le 21 décembre
- Dans le signe du Verseau (longitude 300° à 330°) en géocentrique depuis le 22 mars,
elle revient dans celui du Capricorne (longitude 270° à 300°) le 2 juillet à 2h02 ; mouvement rétrograde : longitude 330°, latitude -0°12’, descend ;
elle reprendra son mouvement direct dans ce signe le 29 septembre (26e CAP) et refera son entrée dans le signe du Verseau le 17 décembre.
En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
Devant la constellation du Capricorne (Cap) depuis le 21 mars
elle revient devant devant le Sagittaire (Sgr) le 3 juillet à 12h21, longitude 299°54’ (30e CAP), latitude -0°12’-descend
Elle reste devant cette constellation jusqu’au 15 décembre.
Ci-contre son parcours du 17 janvier 2020 au 18 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 17 janvier 2020)
- Son mouvement est rétrograde depuis le 11 mai (2e VER).
Elle reprendra son mouvement direct le 29 septembre à la longitude 295°20’ (26e CAP).
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 janvier 2021
- Sa distance au Soleil (10,013 UA) diminue depuis son aphélie le 17 avril 2018 (10,065 UA).
Elle se rapproche du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
- Sa distance à la Terre diminue, de 9,071 à 9,032 UA ;
dernier apogée le 13 janvier (11,017 UA) ; prochain périgée le 21 juillet (8,994 UA).
- En latitude Sud depuis le 13 février 2020 (nœud descendant),
en héliocentrique, elle descend et atteindra sa latitude minimale le 5 octobre 2027 (-2°27’ -invariable)
- En géocentrique, elle descend et atteindra un palier de latitude minimale le 7 octobre 2021 à -0°49’,
remontera un tout petit peu jusqu’au 25 novembre 2021 à 0°48’, puis redescendra jusqu’au 14 septembre 2022, à -1°19’
- En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle remonte depuis le 27 septembre 2019 (minimum à -22°31’) ;
elle a atteint un palier de déclinaison maximale le 7 mai : -19°50’ ; prochain minimum le 1er octobre à -21°22’
Elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Elle passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
Magnitude : 7.9, diamètre apparent 2,3 secondes d’arc.
Elle se lève aux alentours de 1h05. Elle devient observable dans le ciel de l’aube tant que la Lune n’est pas là, donc seulement au début de cette période.
Son élongation passe de 105° à 112° Ouest ;
elle est passée en quadrature Ouest le 11 juin,
conjointe au Soleil le 8 mars ;
prochaine opposition le 11 septembre 2020. La précédente date du 10 septembre 2019.
Conjonctions planétaires
La dernière avec Mars le 12 juin.
La prochaine avec Vénus le 14 mars 2021.
- Son mouvement est rétrograde du 23 juin (21e POI) au 28 novembre (19e POI)
elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 19 mars 2021
- Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
Ci-contre son parcours de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
- Sa distance au Soleil (29,930 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042.
Cette variation, liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans sur une orbite quasi circulaire.
A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
- Sa distance à la Terre : 29,523 UA le 5 juillet, diminue depuis son apogée le 9 mars (30,924 UA). Prochain périgée le 11 septembre (28,922 UA).
- En latitude Sud depuis 2003 ; en héliocentrique, elle descend jusqu’en 2043 à -1°45’.
En géocentrique, elle a atteint un palier de latitude maximale le 22 février (-1°0’) ; elle descend jusqu’au 24 septembre à -1°6’
- En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’) ;
elle a atteint sa déclinaison maximale annuelle le 19 juin (-4°33’) ; elle remonte ; prochain minimum le 26 novembre (-5°41’).
– Elle se lève aux alentours de 1h25, loin après Jupiter et Saturne desquelles elle se distancie de plus en plus,
aussi après Neptune, et avant Uranus et Vénus.
C’est une guirlande de planètes dans le ciel de fin de nuit
Magnitude : -0.5 à -0.6, son éclat augmente vite
Diamètre apparent : 11 secondes d’arc, augmente
Élongation 96° à 99° Ouest ;
elle est passée en quadrature Ouest le 6 juin,
en conjonction au Soleil le 2 septembre 2019 ;
prochaine opposition le 13 octobre 2020. La précédente date du 27 juillet 2018 ;
Conjonctions planétaires
– La précédente a été avec Neptune le 13 juin
La prochaine sera avec Uranus le 20 janvier 2021.
- Son mouvement est direct depuis le 27 août 2018 ;
elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre 2018 (9e VER).
La prochaine va avoir lieu du 9 septembre (29e BEL) au 14 novembre (16e BEL).
- Devant la constellation des Poissons (Psc) du 24 juin au 8 juillet ; elle arrivera alors devant la Baleine (Cet).
Ci-contre son parcours du 9 janvier 2020 au 3 janvier 2021 (les autres planètes sont positionnées au 9 janvier 2020)
- En géocentrique dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) depuis le 13 mai, elle entre dans celui du Bélier (longitude 0° à 30°) le 28 juin à 3h27 ; latitude -3°03’ -descend.
Elle va effectuer sa rétrogradation dans ce signe, du 9 septembre (29e BEL) au 14 novembre (16e BEL)
et entrera dans le signe du Taureau (30° à 60°) le 6 janvier 2021.
En héliocentrique, elle signe Verseau du 6 juin au 24 juillet
- Sa distance au Soleil : 1,387 UA le 5 juillet, diminue depuis son aphélie le 26 août 2019 (1,666 UA) ; prochain périhélie le 3 août 2020 (1,381 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 0,834 à 0,793 UA ; dernier apogée le 29 août 2019 (2,675 UA). Prochain périgée le 6 octobre 2020 (0,414 UA).
- En latitude Sud depuis le 1er février (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale en héliocentrique le 8 juillet (+1°50’ -invariable)
et sa latitude minimale en géocentrique le 4 septembre (-4°15 ; variable).
Elle passera à son nœud ascendant le 2 décembre
- En déclinaison Sud depuis le 7 octobre 2019, elle remonte
elle est sortie des limites zodiacales (-23°26’12") du 9 février au 3 mars
et a atteint sa déclinaison minimale le 20 février (-23°40’) ;
Elle remonte et passera en déclinaison Nord le 11 juillet.
- Saison sur Mars : c’est l’Automne Nord / Printemps Sud du 8 avril au 1er septembre de notre calendrier grégorien terrestre-)
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia et quelques nouveaux liens :
Mars.aeronomie.be ; Mars one.fr ;
et une pièce d’anthologie : Les Saisons sur la Planète Mars de Camille Flammarion
- Magnitude : 5.8 ; diamètre apparent : 3,5 secondes d’arc.
Elle se lève aux alentours de 2h40. On peut tenter de la détecter aux jumelles aux alentours de 4h30, dans l’alignement tracé par Vénus qui se lève et Mars
- Son élongation passe de 56° à 63° Ouest.
Elle est passée en conjonction au Soleil le 26 avril ; elle sera en quadrature Ouest le 2 août et à l’opposition le 31 octobre 2020.
Sa dernière opposition date du 28 octobre 2019 ; sa dernière quadrature Est du 23 janvier ;
– Conjonctions planétaires
La dernière avec Mercure le 1er mai
La prochaine avec Mars le 20 janvier 2021.
-Son mouvement est direct depuis le 11 janvier (3e TAU)
elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 26 avril
Sa prochaine rétrogradation aura lieu du 15 août 2020 (11e TAU) au 14 janvier 2021 (7e TAU)
- Elle est devant la constellation du Bélier (Ari) du 6 février 2019 au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations du 1er janvier 2018 au 16 mai 2023
- Elle signe Taureau :
en héliocentrique du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
en géocentrique, du 6 mars 2019 au 7 juillet 2025, après une première incursion du 15 mai au 6 novembre 2018.
- Sa distance au Soleil : 19,795 UA, diminue ;
dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
- Sa distance à la Terre diminue : 20,226 UA le 5 juillet.
Elle est passée à l’apogée le 26 avril (20,81 UA) ; elle sera au périgée le 31 octobre (18,78 UA).
- En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant le 19 mai 2029.
en géocentrique, elle a atteint un palier de latitude maximale le 17 mai : -0°26’ ;
elle descend jusqu’au 14 octobre à -0°28’. Précédent maxima le 13 octobre 2019 (-0°31’).
- En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte en oscillant au gré de ses rétrogradations.
Elle a atteint un minimum le 9 janvier à +11°56’ ; prochain maximum le 14 août (+14°35’).
Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
- Elle est du matin depuis sa conjonction inférieure le 3 juin
Elle se lève déjà près de 2 heures avant le Soleil.
Elle est immanquable dès son lever, à l’Est-nord-est.
Elle va être visible dans le ciel du matin jusqu’en novembre prochain
– - Son élongation passe de 31° à 36° Ouest ;
elle atteindra son élongation Ouest maximale le 13 août (45°47’) et sera en conjonction supérieure le 26 mars 2021
Sa dernière élongation Est maximale date du 24 mars (46°4’),
sa dernière conjonction supérieure du 14 août 2019.
Conjonctions planétaires
La dernière a été avec Mercure le 22 mai
La prochaine sera avec Pluton le 28 janvier 2021
- Sa portion éclairée passe de 16% à 22% ; elle est en phase de premier croissant
- son diamètre apparent diminue : 45 à 41 secondes d’arc
- magnitude -4.5, son éclat est presque maximal (-4.6)
Vénus, ses phases et son éclat, nouvelle brève sur ce site.
- Son mouvement est direct depuis le 25 juin (6e GEM)
Sa prochaine rétrogradation aura lieu du 19 décembre 2021 au 29 janvier 2022
Ci-contre son parcours du 1er janvier au 13 décembre 2020 ; les autres planètes sont positionnées au 1er janvier.
- Elle est devant la constellation du Taureau (Tau) du 30 mars au 5 août ;
elle arrivera alors devant Orion (Ori), puis devant les Gémeaux (Gem) le 13 août.
- Du 30 juin à mi-juillet, elle se tient dans le même champ de jumelles que l’étoile Aldébaran et les Pléiades
- Elle est dans le signe des Gémeaux (longitude 60° à 90°) du 3 avril au 7 août
En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 juin au 3 juillet, puis Verseau jusqu’au 22 juillet
- Sa distance au Soleil : 0,728 UA augmente depuis son périhélie le 20 mars (0,718 UA). Prochain aphélie le 10 juillet (0,728 UA).
- Sa distance à la Terre augmente de 0,371 à 0,414 UA ; elle a atteint son périgée le 3 juin ; prochain apogée le 30 mars 2021 (1,723 UA)
- En latitude Sud depuis le 5 juin (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale le 14 juillet en géocentrique : -4°31’ (variable) et le 1er août en héliocentrique : -3°23’ -invariable
- En déclinaison Nord depuis le 8 février,
elle atteint sa déclinaison minimale le 4 juillet à 1h36 : +17°12’35" par rapport au plan de l’équateur céleste ; ascension droite 4h22m ; longitude 66°42’ (7e GEM), latitude -4°16’ -descend
à partir de là, elle remonte jusqu’au 17 août à +20°7’ ; puis redescendra et passera en déclinaison Sud le 31 octobre.
Elle est sortie des limites zodiacales du 2 avril au 2 juin,
et a atteint son maximum le 4 mai : +27°49’ ;
Elle est en conjonction inférieure le 1er juillet
Elle passe donc du soir au matin. Elle se lève 7 minutes avant le Soleil le 5 juillet. - sa magnitude passe de + 4.6 à + 4.1.
Elle deviendra détectable aux jumelles mi-juillet et visible à l’œil nu en fin de mois.
Elle atteindra son élongation maximale le 22 juillet (20° Ouest) et sera en conjonction supérieure le 17 août.
– Le 5 juillet, elle sort du champ du coronographe Lasco C3 dans lequel elle se trouvait depuis le 26 juin
Elle a été bien visible durant la première quinzaine de juin et seule planète vespérale depuis la conjonction inférieure de Vénus le 3 juin
Sa dernière conjonction supérieure date du 4 mai
et elle a atteint son élongation maximale le 4 juin : 23°36’ Est ;
- son diamètre apparent, près de 12 secondes d’arc à la conjonction inférieure, commence ensuite à diminuer
- Sa fraction éclairée passe de 2% (dernier croissant) à 3% (premier croissant).
-Conjonctions planétaires
La dernière a été avec Vénus le 22 mai
La prochaine sera avec Pluton le 5 janvier 2021.
- Son mouvement est rétrograde du 18 juin (15e CAN) au 12 juillet (6e CAN) ;
elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 26 juillet.
– Ci-contre son parcours du 4 mai (13e TAU) au 20 novembre 2020 (12e SCO) ; les autres planètes sont positionnées au 4 mai .
- Devant la constellation des Gémeaux (Gem) depuis le 29 mai ; elle y effectue sa rétrogradation du 17 juin au 12 juillet
elle arrivera devant le Cancer (Cnc) le 4 août
- En géocentrique, elle est dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) depuis le 28 mai ;
elle y effectue sa rétrogradation du 17 juin au 12 juillet ; elle entrera dans le signe du Lion (longitude 120° à 150°) le 5 août.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 27 juin au 7 juillet.
- En latitude Sud depuis le 12 juin (nœud descendant),
elle atteindra sa latitude minimale le 6 juillet en géocentrique (-4°48’) et le 13 juillet en héliocentrique.
Elle passera à son nœud ascendant le 1er août
- En déclinaison Nord depuis le 14 avril,
elle atteint un palier minimum le 5 juillet à 11h40 : +18°26’16" ;
ascension droite 6h30m ; longitude 97°20’ - 8e CAN (rétrograde) , latitude -4°48’ -descend.
Elle est sortie des limites zodiacales (-23°26’12") du 16 mai au 10 juin
et a atteint sa déclinaison maximale le 27 mai (+25°39’), la plus forte sur la période 1990-2050.
Elle atteindra un nouveau palier maximum le 30 juillet à +21°29’,
puis redescendra et passera en déclinaison Sud le 6 septembre.
- Sa distance au Soleil diminue, de 0,463 à 0,447 UA ; elle est passée à l’aphélie le 23 juin (0,466 UA) ; elle sera au périhélie le 6 août (0,307 UA).
- Elle atteint son périgée le 29 juin à 1h23 : au plus près de la Terre à 0,589 89 UA soit 83,7 millions de kilomètres environ ; longitude 101°01’ -12e CAN, latitude -4°06’ -descend. Cela est lié à sa conjonction inférieure qui a lieu le 1er juillet.
A partir de là, sa distance à la Terre augmente jusqu’à son prochain apogée le 23 août (1,367 UA) ; apogée précédent le 2 mai (1,327 UA).
magnitude 15.0
Son élongation passe de 163° à 170° Ouest
– Prochaine opposition le 15 juillet 2020. La dernière date du 14 juillet 2019.
elle est passée en quadrature Ouest le 14 avril,
et conjointe au Soleil le 13 janvier 2020
- Conjonctions planétaires
Elle est conjointe à Jupiter le 29 juin à 1h31 dans le plan équatorial ; le 30 juin à 8h10 dans le plan écliptique.
La précédente était également avec Jupiter le 5 avril
Elle le sera encore une fois le 12 novembre en raison de la combinaison de leurs mouvements rétrogrades
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023
– Dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
- Son mouvement est rétrograde depuis le 25 avril (25e CAP) ;
Elle reprendra son mouvement direct le 3 octobre dans le plan équatorial, AD 19h37m et le 4 octobre dans le plan écliptique à la longitude 292°29’ (23e CAP)
Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 25 janvier 2021
- Sa distance au Soleil augmente de 34,068 à 34,073 UA.
Elle est passée au périhélie le 5 septembre 1989 (29,65 UA) et sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
- Sa distance à la Terre diminue de 33,095 à 33,072 UA.
Elle est passée à l’apogée le 16 janvier (34,94 UA) ; elle sera au périgée le 13 juillet (33,06 UA).
– Elle est en latitude Sud depuis le 24 octobre 2018 (nœud descendant).
Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
- En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Actuellement, elle descend :
elle a atteint un maximum le 4 avril : -21°56’
prochain minimum le 15 octobre (-22°39’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
dans le plan équatorial sauf mention
– (56) Melete, devant l’Ecu de Sobieski (Sct), m 10.4, le 2 juillet aux alentours de 2h00 ; déclinaison -7°
– (532) Herculina, devant le Sagittaire (Sgr), m 9.3, le 4 juillet aux alentours de 2h00 ; déclinaison -19°
– (7) Iris, devant le Sagittaire (Sgr), m 8.8, le 5 juillet aux alentours de 19h00 : au plus près de la Terre à 1,6116 UA soit environ 241 millions de kilomètres. Déclinaison -20°.
Iris s’est trouvée à l’opposition du Soleil le 27 juin
observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– C/2020 F3 NEOWISE, magnitude observée 2.3, son éclat a considérablement augmenté !
devant Orion (Ori) jusqu’au 29 juin, puis le Taureau (Tau) jusqu’au 3 juillet, puis Cocher (Aur),
elle va devenir visible dans le ciel de fin de nuit la semaine prochaine, puis deviendra circumpolaire fin juillet
Elle passe au périhélie le 3 juillet à 0,29 UA et sera au plus près de la Terre le 23 juillet, à 0,69 UA soit 103,4 millions de kilomètres environ
– C/2019 U6 Lemmon
Comète récemment découverte, magnitude observée 6.5, son éclat est stable ; devant le Sextant (Sex) puis le Lion à partir du 5 juillet, on peut la chercher aux jumelles en tout début de nuit.
Elle passée est au périhélie le 18 juin à 0,9 UA et passe au plus près de la Terre le 29 juin à 0,8 UA
– 2P/Encke : devant les Gémeaux (Gem) puis le Cancer (Cnc), il n’y a pas de relevés de magnitude à son sujet. Mais où est Encke ? Devant le Soleil !
magnitude estimée 7.3 ; elle est passée au périhélie le 25 juin ; elle passe à 0,7 UA de la Terre début juillet
- C/2017 T2 PANSTARRS. Magnitude observée : 9.2, son éclat diminue légèrement
Devant les Chiens de chasse (CVn) elle est observable toute la nuit
elle est passée au plus près de la Terre le 29 décembre 2019, à 1,5 UA soit 227,4 millions de kilomètres environ et au périhélie le 4 mai à 1,61 UA
– C 58P/Jackson-Neujmin, magnitude observée 11.1 (éclat en diminution) ;
devant le Taureau (Tau), elle n’est pas observable. Elle est passée au périhélie le 27 mai.
– C 88P/Howell magnitude observée : 11.7.
elle est passée au plus près de la Terre le 3 juin, à 0,76 UA et sera au périhélie le 27 septembre, à 1,35 UA
Devant la Vierge (Vir), on peut la chercher en début de nuit.
Retrouvez toutes les comètes observées/observables sur theskylive.com et aerith.net,
Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 29 juin, 249P LINEAR, magnitude ?
– le 2 juillet, 2019 SS79, magnitude 21
– le 3 juillet, C/2020 F3 NEOWISE, magnitude 2 !
– Lune
- Le rover lunaire chinois Yutu-2 et l’atterrisseur Chang’e-4 se sont réveillés de manière autonome le 15 juin et sont entrés dans leur 19e jour lunaire d’activité sur la face cachée de la Lune, article French people.cn.
Il vont s’endormir pour une nouvelle nuit lunaire le 30 juin
Sondes VOYAGER
Le programme Mariner, à l’origine des sondes Voyager article Techno-Science.net
Site Voyager-NASA.
- New Horizons
Il y a des océans sur Pluton, article rtbf.be
Rappel des lancements et missions spatiales initialement prévues en 2020
Space X
26 juin, nouveau tir d’une fusée Falcon 9 avec à bord, des satellites pour Starlink et deux satellites d’un client., article Numerama
Einstein l’avait prédit : une étoile danse en rosace autour d’un trou noir (la Lune autour de la Terre, les planètes autour du Soleil aussi -) Article rtbf.be
image source
Rappels
– Soleil
Solar Orbiter, ce que la mission européenne va pouvoir nous apprendre en faisant son premier passage rapproché du soleil, article atlantico
Parker Solar Probe a réussi son 5e et plus proche survol du Soleil le 7 juin à 18,7 millions de kilomètres. Article en anglais sur space.com
- OSIRIS REx et l’astéroïde Bennu
OSIRIS REx découvre que les roches sur Bennu peuvent se fissurer à cause de la lumière solaire, article Futura-sciences
Le programme d’OSIRIS Rex est retardé sans dommages de 2 mois en raison du Covid19 : la sonde s’approchera à 40 mètres de l’astéroïde le 11 août et s’y amarrera pour récolter des échantillons le 20 octobre. Son départ pour la Terre est prévu mi 2021 et son arrivée le 24 septembre 2023. Communiqué de presse NASA source
L’exploitation conjuguée des données de SOFIA (Observatoire stratosphérique pour l’astronomie en infrarouge, un Boeing 747 dédié à l’observation en vol de phénomènes astronomiques),
de New Horizons et de son antécédant, le Kuiper Airborne Observatory
permettent aujourd’hui de dire que l’atmosphère de Pluton doit être beaucoup plus résiliente qu’on ne le supposait jusqu’ici (on pensait que son atmosphère disparaissait avec son éloignement du Soleil)
- Hayabusa2 et l’astéroïde Ryugu
Les astéroïdes Bennu et Ryugu seraient nés de la destruction d’un gros astéroïde, communiqué de presse du CNRS
– En route pour Mercure, souvenir du [survol de la Terre par Bepi Colombo le 10 avril ; en images sur Futura Sciences ; dans le ciel brésilien ; le "chant magnétique" de la Terre, Tweet de l’ESA sur Libération
– Repérer dans le ciel les sondes en mission actuellement
– Missions passées :
Rosetta L’odyssée Rosetta, 900 jours sur une comète, sur Cielmania
photos réalisées par la sonde européenne avec en bonus un time-lapse renversant pour observer la rotation de la Terre sur Les Numériques
Liens à suivre pour ne rien rater
– INSU, ESA France, Autour du ciel, Futura-Espace ; Ciel des Hommes
– La chaîne YouTube d’Hugo Lisoir : on y parle astronomie, astronautique, New Space, recherche etc…
– La chaîne astro
Le télescope spacial IRTF de la Nasa vient de découvrir AU Mic b, une première exoplanète dans le système d’une étoile de la constellation du Microscope (Mic), article Sciences et Avenir
Rappels
– Astronews du 2 juin ; SpaceX : Décollage et amarrage réussis !
– La lettre de l’IMCCE de juin n°169. Ce mois-ci :
L’occultation de Vénus par la Lune le 19 juin 2020 ;
Le solstice d’été 2020 ;
L’éclipse de Lune par la pénombre du 5 juin 2020 ;
L’éclipse annulaire de Soleil du 21 juin 2020 ;
Ciel du mois ;
La Connaissance des temps, épisode V ;
Météorite jurassienne
– La lettre du guide du ciel n°161 (1er juin 2020) de Guillaume Cannat : présentation du Guide du Ciel 2020-2021
– Astrosurf magazine numéro 104, mai-juin 2020, la revue d’astronomie pratique qui allie haut niveau de technicité et poésie. Riche sommaire : C/2019 Y4 Atlas : la grande comète de l’épidémie ? ; NGC 6188, les dragons de l’Autel ; Une comète au bord du cœur ; Observation du Soleil avec un spectrohéliographe ; Le Soleil et le papillon ; 2020, la conjonction de Jupiter avec Saturne ; L’amas globulaire M92 ; Au coeur du Dragon ; A l’extrémité du ciel, IC 4537 ; Test matériel : Celestron 700, Maksutov Cassegrain 180 mm ; L’observatoire du Cap de Guzet ; Le couteau suisse de l’observateur nomade ; Observatoire du Pic du Midi, la révolution tranquille
La nouvelle plaie du ciel, les satellites Starlink. Une galerie photo dédiée est ouverte sur spaceweather.com et elle est déjà bien garnie !
– Le ballet subtil des lunes de Neptune
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
Astrologique
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [4], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
[UA<-UA]- Redéfinition de l’Unité Astronomique sur la base de la distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Mesurer l’Univers, cours de l’Observatoire de Paris, ouvert à tous et gratuit
Notez en regard vos observations quotidiennes de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] découvreur du RET et fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
[3] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[4] découvreur du RET et fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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