Merci de votre soutien à la Cagouille Céleste [1]
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Heure d’été du dimanche 26 mars 2017, 2h, au dimanche 29 octobre 2017, 3h
UTC (Universal Coordinated Time - Temps Universel Coordonné)
=
– heure légale d’été - 2 heures
La Lune
– Elle marque les signes Sagittaire à Poissons
– Elle passe de la constellation d’ Ophiuchus (Oph) à celle du Verseau (Aqr)
– Le 9, apogée, Pleine Lune ; le 10, conjoint Saturne ; le 11, déclinaison minimale ; le 15, nœud descendant ; le 16, conjoint Neptune ; le 17, Dernier Quartier.
En géocentrique
– Le Soleil est devant la constellation du Taureau (Tau).
– dans le signe des Gémeaux
– opposé à Saturne le 15 - Saturne au périgée
– Jupiter reprend son mouvement direct le 9
– Vénus devant la constellation de la Baleine le 9 puis du Bélier le 10.
– Mercure conjoint Aldébaran le 12, Cérès le 16
– Neptune déclinaison maximale le 13 ; son mouvement devient rétrograde le 16
– Pluton rétrograde
– En héliocentrique : Mercure opposé Jupiter et conjoint Uranus le 10 ; signe Taureau le 11, Gémeaux le 16 ; nœud ascendant le 14 ; Vénus aphélie le 12
- A 0h21, la Lune à l’apogée : au plus loin de la Terre à 406 401 kilomètres environ, soit 63,71 rayons terrestres ; diamètre apparent : 29,5 minutes d’arc. Longitude 251°34’ (12e SAG), latitude +4°51’, descend ; ascension droite 16h42m53s, déclinaison -17°21’, descend.
– C’est l’apogée le plus lointain de l’année ; le périgée le plus proche a eu lieu le 26 mai.
– Petite remarque : j’avais tendance à accorder le genre féminin au mot "apogée", par opposition logique à "périgée", qui est masculin sans ambigüité ; or, vérification faite, "apogée" est du genre masculin dans la langue française. Cela est-il logique ? ...
– C’est la plus petite Pleine Lune de l’année 2017. Elle a lieu moins de 15 heures après l’apogée la plus distante de l’année. Son diamètre apparent est de 12% moindre que celui qu’elle peut arborer au périgée.
- Le 8 au coucher du Soleil elle se trouve à une dizaine de degrés au-dessus de l’horizon Sud-est. Devant Ophiuchus, elle culmine à une trentaine de degrés de hauteur et se couche au Sud-ouest après cette traversée de la courte nuit. Elle est parfois dénommée "Pleine Lune des fraises", "rose" ou "de la chaleur".
- Le 9 au soir, elle se lève pratiquement une heure plus tard que la veille, juste au-dessus de Saturne, qu’elle accompagne jusqu’au petit matin.
– A 15h31, Jupiter reprend son mouvement direct dans le plan écliptique
– A 16h12 Vénus arrive devant la constellation de la Baleine (Cet).
- Aujourd’hui, la comète 47P Ashbrook-Jackson au périhélie
- A 3h04, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan équatorial, la planète 3°5’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 173° Ouest. Bien remarquable ; les deux astres se lèvent au début de la nuit et sont à leur culmination vers 2h.
– A 3h18, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan écliptique, Δ +3°4’ ; longitude 264°53’ (25e SAG).
– A 6h08 la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) ; longitude 266°18’ (27e SAG)
– A 6h27, Jupiter reprend son mouvement direct dans le plan équatorial
– A 12h45, Mercure opposé Jupiter en héliocentrique .
– A 13h37, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300°
– A 20h00, Vénus arrive devant la constellation du Bélier (Ari).
– A 21h51, Lune opposé Mars en géocentrique dans le plan écliptique (4e CAP/CAN)
– A 21h43, Mercure conjoint Uranus en héliocentrique.
- A 5h40, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -19°25’48" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ; AD 18h33m45s ; longitude écliptique 277°58’ (8e CAP), latitude +3°46’ (descend). Elle culmine au plus bas dans l’hémisphère Nord aux alentours de 3h : 25° de hauteur pour la latitude 45°N.
– En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, sa hauteur maximale de culmination remonte depuis octobre 2016 ; elle était alors à sa déclinaison maximale en même temps qu’à sa latitude minimale, l’axe des nœuds lunaires étant à 12° Poissons-Vierge. Elle sera à sa déclinaison maximale (+28°) en même temps qu’à sa latitude maximale (+5°) en septembre 2026, quand l’axe des nœuds lunaires sera aux premiers degrés des signes Verseau-Lion ; elle atteindra alors une hauteur de culmination de 73° pour la latitude 45°N. Et elle se trouvera à sa déclinaison minimale en même temps qu’à sa latitude minimale, ce qui lui donnera un minimum de hauteur de culmination (17° pour la latitude 45°N). Voir les travaux d’Astrid Fallon, en particulier "La Lune en Déclinaison -Vol.2 - " et nos explications précédentes.
– A 17h22, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan équatorial.
– A 18h54, Mercure entre dans le signe du Taureau en héliocentrique.
– A 20h20, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan écliptique.
– A 22h05, Mercure contre-parallèle Pluton (plan équatorial 21° N/S)
- Aujourd’hui, les comètes P/1999 XN120 Catalina et C/2015 V2 Johnson au périhélie
- A 3h22, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan écliptique, la planète naine 2°16’ au Sud ; longitude 288°46’ (19e CAP). Les deux astres culminent aux alentours de 4h. La Lune permet de repérer la position de Pluton.
– A 4h00, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan équatorial, Δ +2°16’ ; élongation solaire de la Lune 152° Ouest.
– A 4h16, Mercure conjoint Aldébaran (alpha Taureau) dans le plan écliptique
– A 12h37, Mercure conjoint Aldébaran (alpha Taureau) dans le plan équatorial
– A 23h11, Vénus à l’aphélie
– De 1h27 à 2h44, remarquez avec un instrument les ombres simultanées de Io et Europe sur Jupiter
– A 1h46, la Lune entre dans le signe du Verseau ; Lg 300° à 330°
– Aujourd’hui, la comète P/2017 G2 PanSTARRS au périhélie
– A 2h26 la Lune arrive devant la constellation du Capricorne (Cap) ; longitude 300°21’ (1er VER)
– A 7h40, Mercure contre-parallèle Saturne (plan équatorial 21° N/S)
– A 11h07, Neptune atteint sa déclinaison maximale
– A 14h, l’équation de temps est nulle
– A 17h46, Mercure trigone Jupiter en géocentrique dans le plan écliptique (14e GEM/BAL)
- A 5h30, Mercure carré Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (15e GEM/POI)
– A 16h21 la Lune arrive devant la constellation du Verseau (Aqr) ; longitude 319°38’ (20e VER)
– A 16h30 la Lune arrive devant la constellation du Capricorne (Cap) ; longitude 319°43’ (20e VER)
– A 23h09, Mercure passe au nœud ascendant de son orbite.
- A 0h54, Lune trigone Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (25e VER/GEM)
– Aujourd’hui, la planète Mercure entre dans le champ du coronographe Lasco C3
– A 4h39, la Lune passe au nœud descendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Sud. Longitude 326°1’ (27e VER) ; (ascension droite : 21h53m3s, déclinaison -12°50’ -monte) ; distance 61,37 rayons terresyres, soit 393 354 kilomètres ; elle se rapproche. L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Lion/Verseau du 9 mai 2017 au 6 novembre 2018.
– A 7h50 la Lune arrive devant la constellation du Verseau (Aqr) ; longitude 327°40’ (28e VER)
– A 12h04 Soleil opposé Saturne dans le plan géo-écliptique = Terre conjoint Saturne en héliocentrique
– A 12h19, la Lune entre dans le signe des Poissons ; Lg 330° à 0°
– A 13h22 Soleil opposé Saturne dans le plan équatorial
– A 16h05, Saturne au périgée
- Aujourd’hui, l’amas ouvert Messier 35 entre dans le champ du coronographe Lasco C3.
– A 9h33, le mouvement de Neptune devient rétrograde dans le plan écliptique
- A 14h38, la Lune est conjointe à Neptune dans le plan équatorial, la planète 0°44’ au Nord ; élongation solaire de Neptune 101° Ouest. Les deux astres se lèvent un peu avant 2h. La Lune permet de repérer la position de Neptune.
– Il se produit une occultation de Neptune (magnitude +7.9) par la Lune pour le Pacifique Sud, l’Antarctique et le sud de l’Amérique du Sud. Carte ; c’est la quatorzième d’une série qui s’achèvera le 27 novembre 2017.
– A 15h09, la Lune est conjointe à Neptune dans le plan écliptique, Δ -0°41’ ; longitude 344°15’ (15e POI).
– A 19h31, Mercure parallèle Soleil (plan équatorial 23° N)
– A 20h06, Mercure entre dans le signe des Gémeaux en héliocentrique.
– A 22h02, le mouvement de Neptune devient rétrograde dans le plan équatorial
– A 22h49 , Mercure conjoint Cérès dans le plan géo-écliptique.
– A 23h33 , Mercure conjoint Cérès dans le plan géo-équatorial.
- A 0h13, la déclinaison de Mercure sort des limites zodiacales
- Période de libration minimale en longitude pour la Lune (L= -7,56°) ; elle dévoile son Ouest au maximum, ce qui permet de remarquer la mer Orientale.
– A 16h28, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 358°5’ (29e POI)
– A 19h56, la Lune entre dans le signe du Bélier ; Lg 0° à 30°
- devant la constellation du Taureau (Tau) du 14 mai au 22 juin.
– Sur l’image ci-contre, la position du Soleil devant les constellations à notre époque, jour après jour du 29 mars à 2h (9e BEL) au 18 septembre (26e VIE) (les planètes sont positionnées au 25 mars). Rappelons que la précession des équinoxes décale sa position devant les étoiles d’un degré tous les 70 ans.
– Dans le signe des Gémeaux (longitude 60° à 90°) du 20 mai, 22h18 au 21 juin, 6h23 = la Terre est dans le signe du Sagittaire en héliocentrique.
– Nous sommes dans la troisième phase de la saison Printemps Nord / Automne Sud : l’Hémisphère Nord reçoit un maximum d’ensoleillement et de plus en plus chaque jour alors que le Sud en reçoit un minimum et de moins en moins chaque jour : dans l’hémisphère Nord, la durée du jour est nettement supérieure à celle de la nuit et elle augmente encore / la durée de la nuit est nettement inférieure à celle du jour et elle diminue encore ; dans l’hémisphère Sud, la durée de la nuit est nettement supérieure à celle du jour et elle augmente encore / la durée de jour est nettement inférieure à celle de la nuit et elle diminue encore. Cette augmentation/diminution ralentit car nous approchons du solstice.
– En formules conditionalistes, cela se traduit par : V+ pour Nord dominant ; F+ : le phénomène dominant est croissant, et il arrive à son maximum (sens des ensembles ou phase ultra-paradoxale).
– Thèmes des entrées du Soleil en signes ; [2]
– A l’opposition de Saturne le 15 juin à 12h04 dans le plan géo-écliptique [3] ; longitude 84°/264°30’ (25e GEM/SAG) ; latitude géocentrique de Saturne +1°21’ (descend). C’est l’alignement Soleil - Terre – Saturne, soit Terre conjoint Saturne en héliocentrique.
– L’opposition dans le plan équatorial a lieu à 13h22, déclinaison Soleil +23°19’ (monte) / Saturne -21°58’ (monte). C’est la meilleure période de l’année pour l’observation de Saturne.
– Saturne est au périgée le même jour à 16h05
–
- L’équation de temps est nulle le 13 juin à 14h. Elle a atteint son premier maximum négatif de l’année le 14 mai et atteindra son second maximum positif de l’année le 26 juillet. Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Autrement dit, depuis le 14 mai, l’heure du midi vrai retarde en raison de l’équation de temps. A l’heure de la montre, le Soleil culmine quelques secondes plus tard chaque jour.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [4] : la planète naine (1) Cérès du 25 mai au 24 juin ; la planète Mercure du 15 au 18 juin - les deux sont conjointes le 16 juin ; l’amas ouvert M35 du 16 juin au 1er juillet.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français.
– Le 10 juin à 12h45, Mercure opposé Jupiter ; longitude 23°/203°3’ (24e BEL/BAL) ; latitude Mercure -3°1’ (monte), Jupiter +1°16’ (descend).
– Le 10 juin à 21h43, Mercure conjoint Uranus ; longitude 25°5’ (26e BEL) ; latitude Mercure -2°47’ (monte), Uranus -0°34’ (monte).
– Le 11 juin à 18h54, Mercure entre dans le signe du Taureau ; longitude 30° à 60°. Elle y reste jusqu’au 16 juin.
– Vénus à l’aphélie le 12 juin à 23h11 : au plus loin du Soleil à 0,728 239 UA soit environ 108,9 millions de kilomètres ; longitude écliptique 311°33’ (12e VER - invariable, sauf l’ avance de 1°24’7" par siècle de l’axe de ses apsides en termes linéaires) ; latitude -2°46’ (descend) ; en géocentrique, sa longitude est de 36°33’ (7e TAU) ; sa latitude -2°36’ (descend). Prochain périhélie le 3 octobre.
– Le 14 juin à 23h09, Mercure au nœud ascendant de son orbite : latitude écliptique 0°, passe en latitude écliptique Nord ; longitude 48°33’2" (19e TAU - invariable, sauf l’avance de 1°11’10" par siècle de l’axe de ses nœuds en termes linéaires). Du point de vue géocentrique, elle passe à son noeud ascendant une minute plus tard, à 23h10 et sa longitude est de 75°49’ (16e TAU - variable).
– Le 15 juin à 12h04 Terre conjoint Saturne ; longitude 264°29’ (25e SAG) ; latitude Saturne +1°12’ (descend). C’est la l’opposition de Saturne en géocentrique.
– Le 16 juin à 20h06, Mercure entre dans le signe des Gémeaux ; longitude 60° à 90°. Elle y reste jusqu’au 21 juin.
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 21h33 le 9 juin et à 21h37 le 17. Il se lève à 6h07 du 9 au 17 juin. Correction en longitude [5]. La durée du jour augmente d’environ 4 minutes en 8 jours, 0 le matin et 4 le soir (10 minutes en 8 jours la semaine dernière).
– Le solstice approche et nous assistons aux levers du Soleil les plus matinaux de l’année :
– pour 0° de longitude et 40° Nord, du 7 au 21 juin à 6h31 - pour 45° Nord, du 9 au 21 juin à 6h13 - pour 50° Nord, du 14 au 19 juin à 5h50.
– La Pleine Lune se lève, culmine et se couche à peu près à l’opposé du Soleil. Au fil des jours, gibbeuse décroissante, elle se lève de plus en plus tard en première moitié de nuit (de 51 à 31 minutes). A son Dernier Quartier, la Lune se lève grosso modo autour du minuit vrai, culmine au lever du Soleil, et se couche aux alentours du midi vrai.
- En cette période proche du solstice d’été, et ce d’autant plus longtemps que l’on se trouve proche du pôle, il est possible d’observer des nuages noctiluques .
– Scorpio-Sagittarides (SAG) ; radiant Sagittaire (Sgr) - actif du 15 avril au 15 juilllet ; maximum le 20 mai.
Essaims mineurs - maximums :
– Le 9 juin à 16h15, iota Scorpiides (ISC) ; radiant Scorpion (Sco) - actif du 30 mai au 18 juin.
– Le 9 juin à 21h20, Librides (LIB) ; radiant Balance (Lib) - actif du 8 au 9 juin.
– Le 13 juin à 20h45, theta Ophiuchides (TOP) ; radiant Ophiuchus (Oph) - actif du 4 juin au 15 juillet
– Le 16 juin à 13h35, Lyrides de juin (JLY) ; radiant Lyre (Lyr) - actif du 11 au 21 juin.
Essaims diurnes - maximums :
– Le 9 juin à 13h50, dzeta Perséides (ZPE) ; radiant Persée (Per) - actif du 20 mai au 5 juillet.
- Elle se couche à 22h32 le 17 juin pour notre localisation ; elle devient impossible à distinguer dans le crépuscule, même aux jumelles.
– Elle sera conjointe au Soleil le 27 juillet. Sa dernière opposition date du 22 mai 2016 ; la prochaine aura lieu le 27 juillet 2018.
- Devant la constellation des Gémeaux (Gem) du 5 juin au 17 juillet.
– Son mouvement est direct du 30 juin 2016 au 26 juin 2018. Elle a achevé sa dernière boucle de rétrogradation le 11 septembre 2016.
– Ci-contre son parcours du 1er janvier 2017 au 20 janvier 2018 (les autres planètes sont positionnées au 1er janvier 2017)
– Elle est dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) du 4 juin au 20 juillet.
– En héliocentrique, elle signe Cancer du 15 mai au 17 juillet.
– Sa distance au Soleil augmente : 1,606 UA le 17 juin. Elle est passée à son périhélie le 29 octobre 2016. Prochaine aphélie le 8 octobre 2017.
– Sa distance à la Terre augmente de 2,561 à 2,586 UA ; prochaine apogée le 5 août ; dernier périgée le 29 mai 2016.
– En latitude Nord depuis le 27 février (noeud ascendant), elle atteindra sa latitude maximale le 30 août en héliocentrique (+1°50’) et le 22 septembre en géocentrique (+1°10’).
– En déclinaison Nord depuis le 29 janvier, et hors limites zodiacales (+23°26’12") du 14 mai au 29 juin, elle a atteint son maximum le 6 juin (+24°19’). Elle passera en déclinaison Sud le 26 octobre.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 7 avril ; elle culmine avant le coucher du Soleil alors que Saturne se lève ; elle se couche aux alentours de 3h00. Elle reste observable dans de bonnes conditions en début de nuit.
- Devant la constellation de la Vierge (Vir) du 9 août 2016 au 15 novembre 2017
– Elle reprend son mouvement direct le 9 juin à 15h31 dans le plan écliptique à la longitude 193°13’8’’ (24e BAL), latitude +1°24’ -descend ; le 10 juin à 6h27 dans le plan équatorial (ascension droite 12h50m49s, déclinaison -3°55’ -descend) (coordonnées moyennes de la date). Elle était rétrograde depuis le 6 février (du 24e au 14e degré du signe de la Balance) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 7 septembre et entamera sa prochaine rétrogradation le 9 mars 2018.
– On va pouvoir remarquer maintenant son rapprochement avec l’étoile Spica (alpha de la Vierge), à laquelle elle s’est déjà trouvée conjointe le 23 février ; elle y sera à nouveau le 9 septembre prochain.
– Ci-contre son parcours du 1er juillet 2016 au 1er janvier 2018.
– Son éclat diminue légèrement, magnitude -2.1 et son diamètre apparent aussi : 39 secondes d’arc.
- Observer au télescope le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
- le 12, peu avant 23h, juste avant le début de son transit, Europe forme avec Io une paire serrée à l’Est de Jupiter. Un peu plus tard dans la nuit, de 1h27 à 2h44, les deux lunes projettent simultanément leur ombre sur la planète.
– Tous les phénomènes observables sur la fiche Ephebdo imprimable.
– Dans le signe de la Balance du 9 septembre 2016 au 14 octobre 2017. En héliocentrique, elle signe Balance du 9 août 2016 au 10 septembre 2017.
– Sa distance à la Terre augmente de 4,956 à 5,071 UA ; elle est passée au périgée le 8 avril ; prochaine apogée le 25 octobre.
– Sa distance au Soleil : 5,453 UA le 17 juin, diminue depuis son aphélie le 17 février. Elle se rapproche désormais du Soleil pendant 6 ans environ, jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023.
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Maintenant, elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 et passera à son noeud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale annuelle le 6 avril (+1°34’) ; prochain minimum le 12 novembre (+1°0’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016, elle a atteint son maximum annuel le 6 juin (-3°55’) ; prochain minimum le 6 mars 2018 (-17°24’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’).
– Elle se lève aux alentours de 21h30, peu avant le coucher du Soleil, culmine aux alentours de 2h00 et se couche au lever du Soleil.
– Elle est à l’ opposition du Soleil le 15 juin. C’est la période la plus propice pour son observation ; mais sa hauteur de culmination n’excède pas 23° pour notre latitude. Son opposition précédente date du 3 juin 2016. Sa dernière conjonction au Soleil du 10 décembre 2016.
– conjointe à la Lune le 10
- Devant la constellation d’Ophiuchus du 18 mai au 18 novembre en raison de son mouvement rétrograde ; elle y reprendra son mouvement direct le 25 août ; elle était devant le Sagittaire (Sgr) depuis le 24 février ; elle restera ensuite jusqu’au 16 décembre 2020
– Son mouvement est rétrograde du 6 avril au 25 août (du 28e au 12e degré du signe du Sagittaire). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 1er décembre.
– Ci-contre son parcours du 1er septembre 2016 au 3 janvier 2019.
- L’inclinaison de ses anneaux passe de 26,5° à 26,7° au cours du mois de juin ; cela signifie que nous voyons majoritairement son hémisphère Nord.
– Élongation maximale de Titan à l’Est le 12 juin à 12h12
– Dans le signe du Sagittaire du 18 septembre 2015 au 20 décembre 2017 en géocentrique et du 30 mars 2015 au 14 décembre 2017 en héliocentrique.
– Sa distance au Soleil (10,058 UA) augmente de juillet 2003 à avril 2018.
– Elle atteint son périgée le 15 juin à 16h05 : au plus près de la Terre à 9,042 68 UA soit 1,352 milliard de kilomètres ; (longitude 264°29’ -25e SAG ; latitude +1°21’ -descend). Cela est lié à son opposition au Soleil. A partir de là, sa distance à la Terre augmente jusqu’à son prochain apogée le 21 décembre ; apogée précédente le 10 décembre 2016.
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 18 mai. Elle descend jusqu’au 22 février 2018 (à +0°52’). Minimum précédent le 12 janvier (+1°16’).
– En déclinaison Sud du 9 septembre 2010 au 26 mars 2026, elle a atteint un minimum le 7 mars (-22°5’). Prochain maximum le 26 juillet (-21°55’). Elle sera à son minimum absolu en octobre 2018 (-22°46’).
– Devant la constellation du Verseau, elle est du matin mais ne deviendra observable qu’à partir du mois de juillet. Elle se lève aux alentours de 2h00.
– Elle est passée en quadrature Ouest au Soleil, le 4 juin (le 7 dans le plan équatorial). Sa prochaine opposition aura lieu le 4 septembre ; la précédente date du 2 septembre 2016 et sa dernière conjonction au Soleil du 2 mars.
- Son mouvement, direct depuis le 20 novembre 2016 devient rétrograde le 16 juin : Neptune est stationnaire à l’Ouest du Soleil - à 9h33 dans le plan écliptique à la longitude 344°16’2" (15e POI), latitude -0°54’ (descend) - à 22h02 dans le plan équatorial ascension droite 23h3m25s, déclinaison -7°1’ (descend). Elle reprendra son mouvement direct le 22 novembre à la longitude 341°28’ (12e POI) et achèvera sa boucle de rétrogradation le 13 mai 2018.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2011 à 2022
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,948 UA) diminue très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 29,717 UA le 17 juin, diminue depuis son apogée le 2 mars. Prochain périgée le 4 septembre.
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique.
– En géocentrique, elle a atteint un maximum dans ses fluctuations annuelles le 11 février : -0°50’. Prochain minimum le 21 septembre (-0°56’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle atteint son maximum annuel le 13 juin à 11h07 : -7°1’18" ; ascension droite 23h3m25s ; longitude écliptique 344°15’ (15e POI), latitude -0°53’ (descend). Prochain minima le 11 novembre (-8°7’) ; précédent le 19 novembre 2016 (-8°54’)
– Elle est passée en conjonction au Soleil le 14 avril ; elle est dans le ciel du matin et se lève un peu plus tôt chaque jour ; elle va devenir observable la semaine prochaine.
– sa prochaine opposition aura lieu le 19 octobre. La dernière date du 15 octobre 2016.
- Devant les Poissons jusqu’en mai 2018, son mouvement est direct depuis le 29 décembre 2016 ; elle est sortie de sa boucle de rétrogradation le 15 avril et elle entamera la nouvelle le 3 août. Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2011 à 2022
– Dans le signe du Bélier
– en héliocentrique, de janvier 2011 à septembre 2018
– en géocentrique, de mai à août 2010, puis de mars 2011 à mars 2018, et encore de novembre 2018 à mars 2019.
- Sa distance au Soleil : 19,924 UA, diminue ; dernière aphélie en février 2009, prochain périhélie en août 2050.
– Sa distance à la Terre diminue : 20,431 UA le 17 juin. Elle est passée à l’apogée le 14 avril. Prochain périgée le 19 octobre.
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son noeud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle a atteint un palier annuel de latitude maximale le 28 avril. Prochain minimum le 8 octobre (-0°36’) ; minimum précédent le 5 octobre 2016 (-0°38’)
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle a atteint son minimum annuel le 27 décembre 2016. Prochain maximum le 2 août (+10°24’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’)
– Du matin, elle se lève à 4h02 le 9 juin et à 3h52 le 17 pour notre localisation, soit deux heures et quinze minutes avant le Soleil.
– Elle a atteint son élongation maximale le 3 juin. Sa dernière conjonction inférieure date du 25 mars. Sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 9 janvier 2018.
– son éclat, qui était maximal le 26 avril, décroit légèrement : magnitude -4.2.
– En phase gibbeuse croissante, elle a passé son Premier Quartier le 4 juin ; durant cette semaine, sa portion éclairée passe de 52% à 56% ; son diamètre apparent diminue de 23 à 21 secondes d’arc environ. Voir les phases de Vénus.
- Devant la constellation des Poissons (Psc) depuis le 23 janvier, elle a fait un petit passage devant la Baleine (Cet) le 11 mai, et un autre du 9 juin, 16h12 (longitude 33°14’ -4e TAU) au 10 juin, 20h00 (longitude 34°24’ -5eTAU) ; elle arrive alors devant le Bélier (Ari) et reste devant cette constellation jusqu’au 28 juin.
– Ci-contre son parcours du 1er mai au 29 novembre 2017 ; les autres planètes sont positionnées au 1er mai.
– Son mouvement est direct du 13 avril 2017 au 5 octobre 2018 ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 18 mai.
– Dans le signe du Taureau (longitude 30° à 60°) du 6 juin au 5 juillet.
– En héliocentrique, elle signe Verseau du 5 au 24 juin.
– Distance au Soleil : elle atteint son aphélie le 12 juin à 23h11 : au plus près du Soleil à 0,728 239 UA soit environ 108,9 millions de kilomètres. Elle s’en rapproche ensuite jusqu’à son prochain périhélie qui aura lieu le 3 octobre. Périhélie précédent le 20 février.
– Sa distance à la Terre augmente de 0,749 à 0,812 UA ; elle est passée au périgée le 25 mars ; prochaine apogée le 10 janvier 2018.
– En latitude Sud depuis le 9 mai (nœud descendant), elle atteindra sa latitude minimale le 23 juin en géocentrique (-2°43’) et le 5 juillet en héliocentrique (-3°23’).
– En déclinaison Nord depuis le 30 janvier, elle a atteint un minimum le 28 avril. Elle monte et atteindra un maximum le 6 août (+21°58’) ; elle passera en déclinaison Sud le 17 octobre.
– Du matin depuis sa conjonction inférieure le 20 avril, elle a atteint son élongation maximale le 18 mai.
– De plus en plus près du Soleil, elle se lève encore avant lui mais elle est totalement invisible.
– Elle entre dans le champ du coronographe Lasco C3 le 15 juin et s’y trouve jusqu’au 28 juin.
– Elle est conjointe à Cérès le 16 juin à 22h49 dans le plan écliptique, à la longitude 80°4’ (21e GEM), Mercure 0°42’ au Nord (les deux montent en latitude et se trouvent en contre parallèle : +/-0°21’) ; à 23h33 dans le plan équatorial, ∆ +0°43’ (les deux montent en déclinaison). Invisible sauf dans le champ du coronographe Lasco C3.
– Sa prochaine conjonction supérieure va avoir lieu le 21 juin. Sa dernière conjonction inférieure date du 20 avril.
– Elle est en phase gibbeuse croissante, presque pleine ; sa fraction éclairée passe de 83% à 97%.
- Son mouvement est direct du 3 mai au 13 août. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 21 mai ; elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 août. Ci-contre son parcours du 1er juin au 4 novembre ; les autres planètes sont positionnées au 1er juin.
– Devant la constellation du Taureau (Tau) du 3 au 21 juin.
– Elle est conjointe à Aldébaran (alpha Taureau, magnitude 0.85) le 12 juin à 4h16 dans le plan écliptique, l’étoile 4°57’ au Sud ; la conjonction dans le plan équatorial a lieu à 12h37, ∆+5°4’ ; Aldébaran marque de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 11e degré du signe des Gémeaux -longitude moyenne de la date 70°2’8".
– Dans le signe des Gémeaux (60° à 90°) du 6 au 21 juin.
– En héliocentrique, elle signe Bélier du 5 au 11 juin, Taureau jusqu’au 16, puis Gémeaux jusqu’au 21 juin .
– A son noeud ascendant le 14 juin à 23h09, elle passe en latitude Nord. Elle atteindra sa latitude maximale le 30 juin en héliocentrique (+7°0’) et le 3 juillet en géocentrique (+1°53’). Elle était en latitude Sud depuis le 26 avril, a atteint sa latitude minimale le 18 mai en géocentrique (-3°21’) et le 26 mai en héliocentrique (-7°0’). Elle passera à son noeud descendant le 23 juillet.
– En déclinaison Nord depuis le 14 mars, elle a atteint un minimum le 8 mai (+7°13’). Elle remonte jusqu’au 24 juin, où elle atteindra son maximum 24°42’ ; elle est hors limites zodiacales du 16 juin au 2 juillet. Elle reste en déclinaison Nord jusqu’au 2 octobre.
– Sa distance à la Terre : 1,215 à 1,307 UA, augmente depuis son périgée, le 23 avril ; prochaine apogée le 22 juin.
– Distance au Soleil : elle diminue de 0,336 à 0,309 UA ; elle a atteint son aphélie le 6 mai Prochain périhélie le 19 juin.
– Images planétaires, site de Marc Delcroix
– Images planétaires, ciel profond et autres trésors célestes sur la galerie d’images d’astrosurf.
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024, elle est passée en quadrature Ouest au Soleil le 9 avril. Elle sera à l’opposition le 10 juillet. Sa dernière opposition date du 7 juillet 2016 et sa dernière conjonction du 7 janvier.
– magnitude 14.2 ; diamètre apparent 0,12" (1,2 dixième de secondes d’arc). Elle est observable avec un bon instrument toute la nuit.
– Mais elle est conjointe à la Lune le 12
– Son mouvement est rétrograde du 20 avril au 28 septembre du 20e au 17e degré du signe du Capricorne ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 18 janvier 2018.
– Sa distance à la Terre diminue de 32,461 à 32,406 UA. Elle sera au périgée le 7 juillet ; dernière apogée le 9 janvier.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,344 à 33,349 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son maximum annuel le 4 avril (-21°9’). Prochain minimum le 28 octobre (-21°47’) ; minimum précédent le 3 novembre 2016 (-21°26’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
– (134 340) Pluton, m 14.2, devant le Sagittaire (Sgr) le 12 juin
– (3) Junon, m 8.0, devant l’Ecu de Sobieski (Sct) le 11 juin à 17h22 dans le plan équatorial, l’astéroïde 14°26’ au Nord ; à 20h20 dans le plan écliptique, ∆ -14°27’, longitude 285°16’ (16e CAP).
– (1) Cérès du 25 mai au 24 juin. Elle est conjointe à Mercure le 16 juin.
– Comètes observables de magnitude 12 ou moins :
– C/2015 V2 (Johnson) : mesurée à magnitude 7.5 le 27 mai, elle est un peu moins brillante que prévu. Elle passe du Bouvier (Boo) à la Vierge (Vir) le 14 juin et reste observable dans de bonnes conditions jusqu’en juillet. Elle était au périgée le 5 ; elle est à son périhélie le 12
– C/2015 ER61 ( PanSTARRS ) : récemment découverte, elle a eut un sursaut d’éclat le 4 avril comme on le prévoyait. Elle a atteint la magnitude 6.2 le 7 avril ; elle était encore à 7.9 le 24 mai ; elle suit le chemin du Soleil et se trouve devant les Poissons (Psc). Elle est donc observable assez difficilement, en fin de nuit au-dessus de l’horizon Est.
– 41P/Tuttle-Giacobini-Kresak : mesurée à magnitude 9.5 le 29 mai, son éclat diminue mais elle reste en excellentes conditions d’observation ; elle descend à l’Ouest d’Ophiuchus (Oph), le long de la Voie Lactée.
– 71P/Clark : mesurée à magnitude 10.9 le 30 mai, devant le Scorpion (Sco).
– Autres comètes observables, voir aerith.net
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– Le 10 juin, 47P Ashbrook-Jackson, magnitude 16.
– Le 12 juin, P/1999 XN120 Catalina, magnitude 19 et C/2015 V2 Johnson magnitude 8.
– Le 13 juin, P/2017 G2 PanSTARRS, magnitude 20.
– sur le site de la Cité de l’Espace. Le retour de Thomas Pesquet de l’ISS.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
Missions en cours
– Mars, en route pour une nouvelle étape, rétrospective de 13 ans et 44 kilomètres d’exploration du rover Opportunity.
– Dernières images de Curiosity
– La sonde Cassini autour de Saturne. C’est la fin de la mission : lancée en 1997, à l’oeuvre depuis 2004, elle a entamé, le 30 novembre dernier, la manœuvre qui la précipite vers sa fin : elle incline de plus en plus son orbite. En avril, elle a effectué son 126e et dernier tour autour de Titan, la plus grosse lune de Saturne. Elle doit traverser 22 fois le plan des anneaux à partir du 22 avril et faire sa plongée définitive le 15 septembre. Elle a fait sa deuxième traversée le 1er mai. Vidéo des sons recueillis lors de sa première traversée de l’espace beaucoup plus vide que ce que l’on pouvait imaginer entre Saturne et ses anneaux sur space.com.
– les dernières images de Cassini au JPL ; site en français
– New Horizons : Pluton le 14 juilllet 2015 et d’autres objets transneptuniens prévus pour les années à venir. Prochaine cible : KBO-2014 MU69 le 1er janvier 2019. Dernières nouvelles Dernières nouvelles
– La sonde Dawn autour de Cérès. Dernières nouvelles Astronews
– La sonde Juno autour de Jupiter. Dernières nouvelles Astronews
– Les leçons de Rosetta
– La lettre de l’IMCCE de juin ; n° 135 : *Le solstice d’été de 2017 *Observer le ciel du mois de juin, les constellations et leurs légendes : Lyre, Cygne, Aigle, Scorpion, Sagittaire *Des solutions contre la pollution lumineuse
– La lettre du guide du ciel n°123. (1er juin 2017) de Guillaume Cannat
– Astronews du 6 juin ; au sommaire : CR conférences : Rencontre avec une comète ; Le rayonnement de Hawking ; Relativité et Cosmologie ; Les aventuriers de l’Astronomie ; Pluton, les nouveaux mondes. Ondes Gravitationnelles, troisième détection ; Thomas Pesquet, le retour ; Un Soyuz amélioré ; ISS, une bactérie « inconnue » découverte ; Exoplanètes, Epsilon Eridani, un système comme le nôtre ? ; GJ 625-b, encore une super Terre ? ; JUNO, de nouvelles observations ; Uranus, ses pôles magnétiques ; Space X, premier étage et capsule spatiale recyclée vers l’ISS ; EXOMARS, deux sites d’atterrissage choisis ; Psyche, mission avancée par la NASA ; La matière noire.
Rappels
– le son des étoiles transposé dans le domaine audible
– la Voie Lactée du coucher au lever du Soleil, timelapse source
– Astrosurf magazine numéro 86, la revue d’astronomie pratique mai-juin 2017
– La Terre tourne, timelapse d’une année en vidéo accélérée, une merveille !
– Les nouvelles du ciel de PGJ Astronomie sur ce site
– Blog Autour du ciel de Guillaume Cannat
– Notre environnement stellaire et galactique
– Site pédagogique sur la cosmologie
– Observation et dessin en astronomie
– Fil d’actu de Ciel et Espace
– Découvrez ou approfondissez l’Astrologie conditionnelle sur Ariana.
– Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [7], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
jeudi 8 juin 2017, par
Merci de votre soutien à la Cagouille Céleste [8]
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Heure d’été du dimanche 26 mars 2017, 2h, au dimanche 29 octobre 2017, 3h
UTC (Universal Coordinated Time - Temps Universel Coordonné)
=
– heure légale d’été - 2 heures
La Lune
– Elle marque les signes Sagittaire à Poissons
– Elle passe de la constellation d’ Ophiuchus (Oph) à celle du Verseau (Aqr)
– Le 9, apogée, Pleine Lune ; le 10, conjoint Saturne ; le 11, déclinaison minimale ; le 15, nœud descendant ; le 16, conjoint Neptune ; le 17, Dernier Quartier.
En géocentrique
– Le Soleil est devant la constellation du Taureau (Tau).
– dans le signe des Gémeaux
– opposé à Saturne le 15 - Saturne au périgée
– Jupiter reprend son mouvement direct le 9
– Vénus devant la constellation de la Baleine le 9 puis du Bélier le 10.
– Mercure conjoint Aldébaran le 12, Cérès le 16
– Neptune déclinaison maximale le 13 ; son mouvement devient rétrograde le 16
– Pluton rétrograde
– En héliocentrique : Mercure opposé Jupiter et conjoint Uranus le 10 ; signe Taureau le 11, Gémeaux le 16 ; nœud ascendant le 14 ; Vénus aphélie le 12
- A 0h21, la Lune à l’apogée : au plus loin de la Terre à 406 401 kilomètres environ, soit 63,71 rayons terrestres ; diamètre apparent : 29,5 minutes d’arc. Longitude 251°34’ (12e SAG), latitude +4°51’, descend ; ascension droite 16h42m53s, déclinaison -17°21’, descend.
– C’est l’apogée le plus lointain de l’année ; le périgée le plus proche a eu lieu le 26 mai.
– Petite remarque : j’avais tendance à accorder le genre féminin au mot "apogée", par opposition logique à "périgée", qui est masculin sans ambigüité ; or, vérification faite, "apogée" est du genre masculin dans la langue française. Cela est-il logique ? ...
– C’est la plus petite Pleine Lune de l’année 2017. Elle a lieu moins de 15 heures après l’apogée la plus distante de l’année. Son diamètre apparent est de 12% moindre que celui qu’elle peut arborer au périgée.
- Le 8 au coucher du Soleil elle se trouve à une dizaine de degrés au-dessus de l’horizon Sud-est. Devant Ophiuchus, elle culmine à une trentaine de degrés de hauteur et se couche au Sud-ouest après cette traversée de la courte nuit. Elle est parfois dénommée "Pleine Lune des fraises", "rose" ou "de la chaleur".
- Le 9 au soir, elle se lève pratiquement une heure plus tard que la veille, juste au-dessus de Saturne, qu’elle accompagne jusqu’au petit matin.
– A 15h31, Jupiter reprend son mouvement direct dans le plan écliptique
– A 16h12 Vénus arrive devant la constellation de la Baleine (Cet).
- Aujourd’hui, la comète 47P Ashbrook-Jackson au périhélie
- A 3h04, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan équatorial, la planète 3°5’ au Sud ; élongation solaire de la Lune 173° Ouest. Bien remarquable ; les deux astres se lèvent au début de la nuit et sont à leur culmination vers 2h.
– A 3h18, la Lune est conjointe à Saturne dans le plan écliptique, Δ +3°4’ ; longitude 264°53’ (25e SAG).
– A 6h08 la Lune arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr) ; longitude 266°18’ (27e SAG)
– A 6h27, Jupiter reprend son mouvement direct dans le plan équatorial
– A 12h45, Mercure opposé Jupiter en héliocentrique .
– A 13h37, la Lune entre dans le signe du Capricorne ; Lg 270° à 300°
– A 20h00, Vénus arrive devant la constellation du Bélier (Ari).
– A 21h51, Lune opposé Mars en géocentrique dans le plan écliptique (4e CAP/CAN)
– A 21h43, Mercure conjoint Uranus en héliocentrique.
- A 5h40, la Lune atteint sa déclinaison minimale : -19°25’48" (Sud) par rapport au plan de l’équateur céleste ; AD 18h33m45s ; longitude écliptique 277°58’ (8e CAP), latitude +3°46’ (descend). Elle culmine au plus bas dans l’hémisphère Nord aux alentours de 3h : 25° de hauteur pour la latitude 45°N.
– En raison de la précession de l’axe des nœuds lunaires, sa hauteur maximale de culmination remonte depuis octobre 2016 ; elle était alors à sa déclinaison maximale en même temps qu’à sa latitude minimale, l’axe des nœuds lunaires étant à 12° Poissons-Vierge. Elle sera à sa déclinaison maximale (+28°) en même temps qu’à sa latitude maximale (+5°) en septembre 2026, quand l’axe des nœuds lunaires sera aux premiers degrés des signes Verseau-Lion ; elle atteindra alors une hauteur de culmination de 73° pour la latitude 45°N. Et elle se trouvera à sa déclinaison minimale en même temps qu’à sa latitude minimale, ce qui lui donnera un minimum de hauteur de culmination (17° pour la latitude 45°N). Voir les travaux d’Astrid Fallon, en particulier "La Lune en Déclinaison -Vol.2 - " et nos explications précédentes.
– A 17h22, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan équatorial.
– A 18h54, Mercure entre dans le signe du Taureau en héliocentrique.
– A 20h20, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan écliptique.
– A 22h05, Mercure contre-parallèle Pluton (plan équatorial 21° N/S)
- Aujourd’hui, les comètes P/1999 XN120 Catalina et C/2015 V2 Johnson au périhélie
- A 3h22, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan écliptique, la planète naine 2°16’ au Sud ; longitude 288°46’ (19e CAP). Les deux astres culminent aux alentours de 4h. La Lune permet de repérer la position de Pluton.
– A 4h00, la Lune est conjointe à Pluton dans le plan équatorial, Δ +2°16’ ; élongation solaire de la Lune 152° Ouest.
– A 4h16, Mercure conjoint Aldébaran (alpha Taureau) dans le plan écliptique
– A 12h37, Mercure conjoint Aldébaran (alpha Taureau) dans le plan équatorial
– A 23h11, Vénus à l’aphélie
– De 1h27 à 2h44, remarquez avec un instrument les ombres simultanées de Io et Europe sur Jupiter
– A 1h46, la Lune entre dans le signe du Verseau ; Lg 300° à 330°
– Aujourd’hui, la comète P/2017 G2 PanSTARRS au périhélie
– A 2h26 la Lune arrive devant la constellation du Capricorne (Cap) ; longitude 300°21’ (1er VER)
– A 7h40, Mercure contre-parallèle Saturne (plan équatorial 21° N/S)
– A 11h07, Neptune atteint sa déclinaison maximale
– A 14h, l’équation de temps est nulle
– A 17h46, Mercure trigone Jupiter en géocentrique dans le plan écliptique (14e GEM/BAL)
- A 5h30, Mercure carré Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (15e GEM/POI)
– A 16h21 la Lune arrive devant la constellation du Verseau (Aqr) ; longitude 319°38’ (20e VER)
– A 16h30 la Lune arrive devant la constellation du Capricorne (Cap) ; longitude 319°43’ (20e VER)
– A 23h09, Mercure passe au nœud ascendant de son orbite.
- A 0h54, Lune trigone Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (25e VER/GEM)
– Aujourd’hui, la planète Mercure entre dans le champ du coronographe Lasco C3
– A 4h39, la Lune passe au nœud descendant de son orbite : dans le plan écliptique, sa latitude est égale à 0° et elle passe au Sud. Longitude 326°1’ (27e VER) ; (ascension droite : 21h53m3s, déclinaison -12°50’ -monte) ; distance 61,37 rayons terresyres, soit 393 354 kilomètres ; elle se rapproche. L’axe des nœuds lunaires (dont le mouvement est rétrograde) est en Lion/Verseau du 9 mai 2017 au 6 novembre 2018.
– A 7h50 la Lune arrive devant la constellation du Verseau (Aqr) ; longitude 327°40’ (28e VER)
– A 12h04 Soleil opposé Saturne dans le plan géo-écliptique = Terre conjoint Saturne en héliocentrique
– A 12h19, la Lune entre dans le signe des Poissons ; Lg 330° à 0°
– A 13h22 Soleil opposé Saturne dans le plan équatorial
– A 16h05, Saturne au périgée
- Aujourd’hui, l’amas ouvert Messier 35 entre dans le champ du coronographe Lasco C3.
– A 9h33, le mouvement de Neptune devient rétrograde dans le plan écliptique
- A 14h38, la Lune est conjointe à Neptune dans le plan équatorial, la planète 0°44’ au Nord ; élongation solaire de Neptune 101° Ouest. Les deux astres se lèvent un peu avant 2h. La Lune permet de repérer la position de Neptune.
– Il se produit une occultation de Neptune (magnitude +7.9) par la Lune pour le Pacifique Sud, l’Antarctique et le sud de l’Amérique du Sud. Carte ; c’est la quatorzième d’une série qui s’achèvera le 27 novembre 2017.
– A 15h09, la Lune est conjointe à Neptune dans le plan écliptique, Δ -0°41’ ; longitude 344°15’ (15e POI).
– A 19h31, Mercure parallèle Soleil (plan équatorial 23° N)
– A 20h06, Mercure entre dans le signe des Gémeaux en héliocentrique.
– A 22h02, le mouvement de Neptune devient rétrograde dans le plan équatorial
– A 22h49 , Mercure conjoint Cérès dans le plan géo-écliptique.
– A 23h33 , Mercure conjoint Cérès dans le plan géo-équatorial.
- A 0h13, la déclinaison de Mercure sort des limites zodiacales
- Période de libration minimale en longitude pour la Lune (L= -7,56°) ; elle dévoile son Ouest au maximum, ce qui permet de remarquer la mer Orientale.
– A 16h28, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 358°5’ (29e POI)
– A 19h56, la Lune entre dans le signe du Bélier ; Lg 0° à 30°
- devant la constellation du Taureau (Tau) du 14 mai au 22 juin.
– Sur l’image ci-contre, la position du Soleil devant les constellations à notre époque, jour après jour du 29 mars à 2h (9e BEL) au 18 septembre (26e VIE) (les planètes sont positionnées au 25 mars). Rappelons que la précession des équinoxes décale sa position devant les étoiles d’un degré tous les 70 ans.
– Dans le signe des Gémeaux (longitude 60° à 90°) du 20 mai, 22h18 au 21 juin, 6h23 = la Terre est dans le signe du Sagittaire en héliocentrique.
– Nous sommes dans la troisième phase de la saison Printemps Nord / Automne Sud : l’Hémisphère Nord reçoit un maximum d’ensoleillement et de plus en plus chaque jour alors que le Sud en reçoit un minimum et de moins en moins chaque jour : dans l’hémisphère Nord, la durée du jour est nettement supérieure à celle de la nuit et elle augmente encore / la durée de la nuit est nettement inférieure à celle du jour et elle diminue encore ; dans l’hémisphère Sud, la durée de la nuit est nettement supérieure à celle du jour et elle augmente encore / la durée de jour est nettement inférieure à celle de la nuit et elle diminue encore. Cette augmentation/diminution ralentit car nous approchons du solstice.
– En formules conditionalistes, cela se traduit par : V+ pour Nord dominant ; F+ : le phénomène dominant est croissant, et il arrive à son maximum (sens des ensembles ou phase ultra-paradoxale).
– Thèmes des entrées du Soleil en signes ; [9]
– A l’opposition de Saturne le 15 juin à 12h04 dans le plan géo-écliptique [10] ; longitude 84°/264°30’ (25e GEM/SAG) ; latitude géocentrique de Saturne +1°21’ (descend). C’est l’alignement Soleil - Terre – Saturne, soit Terre conjoint Saturne en héliocentrique.
– L’opposition dans le plan équatorial a lieu à 13h22, déclinaison Soleil +23°19’ (monte) / Saturne -21°58’ (monte). C’est la meilleure période de l’année pour l’observation de Saturne.
– Saturne est au périgée le même jour à 16h05
–
- L’équation de temps est nulle le 13 juin à 14h. Elle a atteint son premier maximum négatif de l’année le 14 mai et atteindra son second maximum positif de l’année le 26 juillet. Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Autrement dit, depuis le 14 mai, l’heure du midi vrai retarde en raison de l’équation de temps. A l’heure de la montre, le Soleil culmine quelques secondes plus tard chaque jour.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [11] : la planète naine (1) Cérès du 25 mai au 24 juin ; la planète Mercure du 15 au 18 juin - les deux sont conjointes le 16 juin ; l’amas ouvert M35 du 16 juin au 1er juillet.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français.
– Le 10 juin à 12h45, Mercure opposé Jupiter ; longitude 23°/203°3’ (24e BEL/BAL) ; latitude Mercure -3°1’ (monte), Jupiter +1°16’ (descend).
– Le 10 juin à 21h43, Mercure conjoint Uranus ; longitude 25°5’ (26e BEL) ; latitude Mercure -2°47’ (monte), Uranus -0°34’ (monte).
– Le 11 juin à 18h54, Mercure entre dans le signe du Taureau ; longitude 30° à 60°. Elle y reste jusqu’au 16 juin.
– Vénus à l’aphélie le 12 juin à 23h11 : au plus loin du Soleil à 0,728 239 UA soit environ 108,9 millions de kilomètres ; longitude écliptique 311°33’ (12e VER - invariable, sauf l’ avance de 1°24’7" par siècle de l’axe de ses apsides en termes linéaires) ; latitude -2°46’ (descend) ; en géocentrique, sa longitude est de 36°33’ (7e TAU) ; sa latitude -2°36’ (descend). Prochain périhélie le 3 octobre.
– Le 14 juin à 23h09, Mercure au nœud ascendant de son orbite : latitude écliptique 0°, passe en latitude écliptique Nord ; longitude 48°33’2" (19e TAU - invariable, sauf l’avance de 1°11’10" par siècle de l’axe de ses nœuds en termes linéaires). Du point de vue géocentrique, elle passe à son noeud ascendant une minute plus tard, à 23h10 et sa longitude est de 75°49’ (16e TAU - variable).
– Le 15 juin à 12h04 Terre conjoint Saturne ; longitude 264°29’ (25e SAG) ; latitude Saturne +1°12’ (descend). C’est la l’opposition de Saturne en géocentrique.
– Le 16 juin à 20h06, Mercure entre dans le signe des Gémeaux ; longitude 60° à 90°. Elle y reste jusqu’au 21 juin.
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 21h33 le 9 juin et à 21h37 le 17. Il se lève à 6h07 du 9 au 17 juin. Correction en longitude [12]. La durée du jour augmente d’environ 4 minutes en 8 jours, 0 le matin et 4 le soir (10 minutes en 8 jours la semaine dernière).
– Le solstice approche et nous assistons aux levers du Soleil les plus matinaux de l’année :
– pour 0° de longitude et 40° Nord, du 7 au 21 juin à 6h31 - pour 45° Nord, du 9 au 21 juin à 6h13 - pour 50° Nord, du 14 au 19 juin à 5h50.
– La Pleine Lune se lève, culmine et se couche à peu près à l’opposé du Soleil. Au fil des jours, gibbeuse décroissante, elle se lève de plus en plus tard en première moitié de nuit (de 51 à 31 minutes). A son Dernier Quartier, la Lune se lève grosso modo autour du minuit vrai, culmine au lever du Soleil, et se couche aux alentours du midi vrai.
- En cette période proche du solstice d’été, et ce d’autant plus longtemps que l’on se trouve proche du pôle, il est possible d’observer des nuages noctiluques .
– Scorpio-Sagittarides (SAG) ; radiant Sagittaire (Sgr) - actif du 15 avril au 15 juilllet ; maximum le 20 mai.
Essaims mineurs - maximums :
– Le 9 juin à 16h15, iota Scorpiides (ISC) ; radiant Scorpion (Sco) - actif du 30 mai au 18 juin.
– Le 9 juin à 21h20, Librides (LIB) ; radiant Balance (Lib) - actif du 8 au 9 juin.
– Le 13 juin à 20h45, theta Ophiuchides (TOP) ; radiant Ophiuchus (Oph) - actif du 4 juin au 15 juillet
– Le 16 juin à 13h35, Lyrides de juin (JLY) ; radiant Lyre (Lyr) - actif du 11 au 21 juin.
Essaims diurnes - maximums :
– Le 9 juin à 13h50, dzeta Perséides (ZPE) ; radiant Persée (Per) - actif du 20 mai au 5 juillet.
- Elle se couche à 22h32 le 17 juin pour notre localisation ; elle devient impossible à distinguer dans le crépuscule, même aux jumelles.
– Elle sera conjointe au Soleil le 27 juillet. Sa dernière opposition date du 22 mai 2016 ; la prochaine aura lieu le 27 juillet 2018.
- Devant la constellation des Gémeaux (Gem) du 5 juin au 17 juillet.
– Son mouvement est direct du 30 juin 2016 au 26 juin 2018. Elle a achevé sa dernière boucle de rétrogradation le 11 septembre 2016.
– Ci-contre son parcours du 1er janvier 2017 au 20 janvier 2018 (les autres planètes sont positionnées au 1er janvier 2017)
– Elle est dans le signe du Cancer (longitude 90° à 120°) du 4 juin au 20 juillet.
– En héliocentrique, elle signe Cancer du 15 mai au 17 juillet.
– Sa distance au Soleil augmente : 1,606 UA le 17 juin. Elle est passée à son périhélie le 29 octobre 2016. Prochaine aphélie le 8 octobre 2017.
– Sa distance à la Terre augmente de 2,561 à 2,586 UA ; prochaine apogée le 5 août ; dernier périgée le 29 mai 2016.
– En latitude Nord depuis le 27 février (noeud ascendant), elle atteindra sa latitude maximale le 30 août en héliocentrique (+1°50’) et le 22 septembre en géocentrique (+1°10’).
– En déclinaison Nord depuis le 29 janvier, et hors limites zodiacales (+23°26’12") du 14 mai au 29 juin, elle a atteint son maximum le 6 juin (+24°19’). Elle passera en déclinaison Sud le 26 octobre.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 7 avril ; elle culmine avant le coucher du Soleil alors que Saturne se lève ; elle se couche aux alentours de 3h00. Elle reste observable dans de bonnes conditions en début de nuit.
- Devant la constellation de la Vierge (Vir) du 9 août 2016 au 15 novembre 2017
– Elle reprend son mouvement direct le 9 juin à 15h31 dans le plan écliptique à la longitude 193°13’8’’ (24e BAL), latitude +1°24’ -descend ; le 10 juin à 6h27 dans le plan équatorial (ascension droite 12h50m49s, déclinaison -3°55’ -descend) (coordonnées moyennes de la date). Elle était rétrograde depuis le 6 février (du 24e au 14e degré du signe de la Balance) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 7 septembre et entamera sa prochaine rétrogradation le 9 mars 2018.
– On va pouvoir remarquer maintenant son rapprochement avec l’étoile Spica (alpha de la Vierge), à laquelle elle s’est déjà trouvée conjointe le 23 février ; elle y sera à nouveau le 9 septembre prochain.
– Ci-contre son parcours du 1er juillet 2016 au 1er janvier 2018.
– Son éclat diminue légèrement, magnitude -2.1 et son diamètre apparent aussi : 39 secondes d’arc.
- Observer au télescope le passage de la grande tache rouge et le ballet de ses satellites :
- le 12, peu avant 23h, juste avant le début de son transit, Europe forme avec Io une paire serrée à l’Est de Jupiter. Un peu plus tard dans la nuit, de 1h27 à 2h44, les deux lunes projettent simultanément leur ombre sur la planète.
– Tous les phénomènes observables sur la fiche Ephebdo imprimable.
– Dans le signe de la Balance du 9 septembre 2016 au 14 octobre 2017. En héliocentrique, elle signe Balance du 9 août 2016 au 10 septembre 2017.
– Sa distance à la Terre augmente de 4,956 à 5,071 UA ; elle est passée au périgée le 8 avril ; prochaine apogée le 25 octobre.
– Sa distance au Soleil : 5,453 UA le 17 juin, diminue depuis son aphélie le 17 février. Elle se rapproche désormais du Soleil pendant 6 ans environ, jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023.
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Maintenant, elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 et passera à son noeud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale annuelle le 6 avril (+1°34’) ; prochain minimum le 12 novembre (+1°0’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016, elle a atteint son maximum annuel le 6 juin (-3°55’) ; prochain minimum le 6 mars 2018 (-17°24’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’).
– Elle se lève aux alentours de 21h30, peu avant le coucher du Soleil, culmine aux alentours de 2h00 et se couche au lever du Soleil.
– Elle est à l’ opposition du Soleil le 15 juin. C’est la période la plus propice pour son observation ; mais sa hauteur de culmination n’excède pas 23° pour notre latitude. Son opposition précédente date du 3 juin 2016. Sa dernière conjonction au Soleil du 10 décembre 2016.
– conjointe à la Lune le 10
- Devant la constellation d’Ophiuchus du 18 mai au 18 novembre en raison de son mouvement rétrograde ; elle y reprendra son mouvement direct le 25 août ; elle était devant le Sagittaire (Sgr) depuis le 24 février ; elle restera ensuite jusqu’au 16 décembre 2020
– Son mouvement est rétrograde du 6 avril au 25 août (du 28e au 12e degré du signe du Sagittaire). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 1er décembre.
– Ci-contre son parcours du 1er septembre 2016 au 3 janvier 2019.
- L’inclinaison de ses anneaux passe de 26,5° à 26,7° au cours du mois de juin ; cela signifie que nous voyons majoritairement son hémisphère Nord.
– Élongation maximale de Titan à l’Est le 12 juin à 12h12
– Dans le signe du Sagittaire du 18 septembre 2015 au 20 décembre 2017 en géocentrique et du 30 mars 2015 au 14 décembre 2017 en héliocentrique.
– Sa distance au Soleil (10,058 UA) augmente de juillet 2003 à avril 2018.
– Elle atteint son périgée le 15 juin à 16h05 : au plus près de la Terre à 9,042 68 UA soit 1,352 milliard de kilomètres ; (longitude 264°29’ -25e SAG ; latitude +1°21’ -descend). Cela est lié à son opposition au Soleil. A partir de là, sa distance à la Terre augmente jusqu’à son prochain apogée le 21 décembre ; apogée précédente le 10 décembre 2016.
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 18 mai. Elle descend jusqu’au 22 février 2018 (à +0°52’). Minimum précédent le 12 janvier (+1°16’).
– En déclinaison Sud du 9 septembre 2010 au 26 mars 2026, elle a atteint un minimum le 7 mars (-22°5’). Prochain maximum le 26 juillet (-21°55’). Elle sera à son minimum absolu en octobre 2018 (-22°46’).
– Devant la constellation du Verseau, elle est du matin mais ne deviendra observable qu’à partir du mois de juillet. Elle se lève aux alentours de 2h00.
– Elle est passée en quadrature Ouest au Soleil, le 4 juin (le 7 dans le plan équatorial). Sa prochaine opposition aura lieu le 4 septembre ; la précédente date du 2 septembre 2016 et sa dernière conjonction au Soleil du 2 mars.
- Son mouvement, direct depuis le 20 novembre 2016 devient rétrograde le 16 juin : Neptune est stationnaire à l’Ouest du Soleil - à 9h33 dans le plan écliptique à la longitude 344°16’2" (15e POI), latitude -0°54’ (descend) - à 22h02 dans le plan équatorial ascension droite 23h3m25s, déclinaison -7°1’ (descend). Elle reprendra son mouvement direct le 22 novembre à la longitude 341°28’ (12e POI) et achèvera sa boucle de rétrogradation le 13 mai 2018.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2011 à 2022
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,948 UA) diminue très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 29,717 UA le 17 juin, diminue depuis son apogée le 2 mars. Prochain périgée le 4 septembre.
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique.
– En géocentrique, elle a atteint un maximum dans ses fluctuations annuelles le 11 février : -0°50’. Prochain minimum le 21 septembre (-0°56’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle atteint son maximum annuel le 13 juin à 11h07 : -7°1’18" ; ascension droite 23h3m25s ; longitude écliptique 344°15’ (15e POI), latitude -0°53’ (descend). Prochain minima le 11 novembre (-8°7’) ; précédent le 19 novembre 2016 (-8°54’)
– Elle est passée en conjonction au Soleil le 14 avril ; elle est dans le ciel du matin et se lève un peu plus tôt chaque jour ; elle va devenir observable la semaine prochaine.
– sa prochaine opposition aura lieu le 19 octobre. La dernière date du 15 octobre 2016.
- Devant les Poissons jusqu’en mai 2018, son mouvement est direct depuis le 29 décembre 2016 ; elle est sortie de sa boucle de rétrogradation le 15 avril et elle entamera la nouvelle le 3 août. Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2011 à 2022
– Dans le signe du Bélier
– en héliocentrique, de janvier 2011 à septembre 2018
– en géocentrique, de mai à août 2010, puis de mars 2011 à mars 2018, et encore de novembre 2018 à mars 2019.
- Sa distance au Soleil : 19,924 UA, diminue ; dernière aphélie en février 2009, prochain périhélie en août 2050.
– Sa distance à la Terre diminue : 20,431 UA le 17 juin. Elle est passée à l’apogée le 14 avril. Prochain périgée le 19 octobre.
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son noeud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle a atteint un palier annuel de latitude maximale le 28 avril. Prochain minimum le 8 octobre (-0°36’) ; minimum précédent le 5 octobre 2016 (-0°38’)
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle a atteint son minimum annuel le 27 décembre 2016. Prochain maximum le 2 août (+10°24’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’)
– Du matin, elle se lève à 4h02 le 9 juin et à 3h52 le 17 pour notre localisation, soit deux heures et quinze minutes avant le Soleil.
– Elle a atteint son élongation maximale le 3 juin. Sa dernière conjonction inférieure date du 25 mars. Sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 9 janvier 2018.
– son éclat, qui était maximal le 26 avril, décroit légèrement : magnitude -4.2.
– En phase gibbeuse croissante, elle a passé son Premier Quartier le 4 juin ; durant cette semaine, sa portion éclairée passe de 52% à 56% ; son diamètre apparent diminue de 23 à 21 secondes d’arc environ. Voir les phases de Vénus.
- Devant la constellation des Poissons (Psc) depuis le 23 janvier, elle a fait un petit passage devant la Baleine (Cet) le 11 mai, et un autre du 9 juin, 16h12 (longitude 33°14’ -4e TAU) au 10 juin, 20h00 (longitude 34°24’ -5eTAU) ; elle arrive alors devant le Bélier (Ari) et reste devant cette constellation jusqu’au 28 juin.
– Ci-contre son parcours du 1er mai au 29 novembre 2017 ; les autres planètes sont positionnées au 1er mai.
– Son mouvement est direct du 13 avril 2017 au 5 octobre 2018 ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 18 mai.
– Dans le signe du Taureau (longitude 30° à 60°) du 6 juin au 5 juillet.
– En héliocentrique, elle signe Verseau du 5 au 24 juin.
– Distance au Soleil : elle atteint son aphélie le 12 juin à 23h11 : au plus près du Soleil à 0,728 239 UA soit environ 108,9 millions de kilomètres. Elle s’en rapproche ensuite jusqu’à son prochain périhélie qui aura lieu le 3 octobre. Périhélie précédent le 20 février.
– Sa distance à la Terre augmente de 0,749 à 0,812 UA ; elle est passée au périgée le 25 mars ; prochaine apogée le 10 janvier 2018.
– En latitude Sud depuis le 9 mai (nœud descendant), elle atteindra sa latitude minimale le 23 juin en géocentrique (-2°43’) et le 5 juillet en héliocentrique (-3°23’).
– En déclinaison Nord depuis le 30 janvier, elle a atteint un minimum le 28 avril. Elle monte et atteindra un maximum le 6 août (+21°58’) ; elle passera en déclinaison Sud le 17 octobre.
– Du matin depuis sa conjonction inférieure le 20 avril, elle a atteint son élongation maximale le 18 mai.
– De plus en plus près du Soleil, elle se lève encore avant lui mais elle est totalement invisible.
– Elle entre dans le champ du coronographe Lasco C3 le 15 juin et s’y trouve jusqu’au 28 juin.
– Elle est conjointe à Cérès le 16 juin à 22h49 dans le plan écliptique, à la longitude 80°4’ (21e GEM), Mercure 0°42’ au Nord (les deux montent en latitude et se trouvent en contre parallèle : +/-0°21’) ; à 23h33 dans le plan équatorial, ∆ +0°43’ (les deux montent en déclinaison). Invisible sauf dans le champ du coronographe Lasco C3.
– Sa prochaine conjonction supérieure va avoir lieu le 21 juin. Sa dernière conjonction inférieure date du 20 avril.
– Elle est en phase gibbeuse croissante, presque pleine ; sa fraction éclairée passe de 83% à 97%.
- Son mouvement est direct du 3 mai au 13 août. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 21 mai ; elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 août. Ci-contre son parcours du 1er juin au 4 novembre ; les autres planètes sont positionnées au 1er juin.
– Devant la constellation du Taureau (Tau) du 3 au 21 juin.
– Elle est conjointe à Aldébaran (alpha Taureau, magnitude 0.85) le 12 juin à 4h16 dans le plan écliptique, l’étoile 4°57’ au Sud ; la conjonction dans le plan équatorial a lieu à 12h37, ∆+5°4’ ; Aldébaran marque de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 11e degré du signe des Gémeaux -longitude moyenne de la date 70°2’8".
– Dans le signe des Gémeaux (60° à 90°) du 6 au 21 juin.
– En héliocentrique, elle signe Bélier du 5 au 11 juin, Taureau jusqu’au 16, puis Gémeaux jusqu’au 21 juin .
– A son noeud ascendant le 14 juin à 23h09, elle passe en latitude Nord. Elle atteindra sa latitude maximale le 30 juin en héliocentrique (+7°0’) et le 3 juillet en géocentrique (+1°53’). Elle était en latitude Sud depuis le 26 avril, a atteint sa latitude minimale le 18 mai en géocentrique (-3°21’) et le 26 mai en héliocentrique (-7°0’). Elle passera à son noeud descendant le 23 juillet.
– En déclinaison Nord depuis le 14 mars, elle a atteint un minimum le 8 mai (+7°13’). Elle remonte jusqu’au 24 juin, où elle atteindra son maximum 24°42’ ; elle est hors limites zodiacales du 16 juin au 2 juillet. Elle reste en déclinaison Nord jusqu’au 2 octobre.
– Sa distance à la Terre : 1,215 à 1,307 UA, augmente depuis son périgée, le 23 avril ; prochaine apogée le 22 juin.
– Distance au Soleil : elle diminue de 0,336 à 0,309 UA ; elle a atteint son aphélie le 6 mai Prochain périhélie le 19 juin.
– Images planétaires, site de Marc Delcroix
– Images planétaires, ciel profond et autres trésors célestes sur la galerie d’images d’astrosurf.
- Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024, elle est passée en quadrature Ouest au Soleil le 9 avril. Elle sera à l’opposition le 10 juillet. Sa dernière opposition date du 7 juillet 2016 et sa dernière conjonction du 7 janvier.
– magnitude 14.2 ; diamètre apparent 0,12" (1,2 dixième de secondes d’arc). Elle est observable avec un bon instrument toute la nuit.
– Mais elle est conjointe à la Lune le 12
– Son mouvement est rétrograde du 20 avril au 28 septembre du 20e au 17e degré du signe du Capricorne ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 18 janvier 2018.
– Sa distance à la Terre diminue de 32,461 à 32,406 UA. Elle sera au périgée le 7 juillet ; dernière apogée le 9 janvier.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,344 à 33,349 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son maximum annuel le 4 avril (-21°9’). Prochain minimum le 28 octobre (-21°47’) ; minimum précédent le 3 novembre 2016 (-21°26’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
– (134 340) Pluton, m 14.2, devant le Sagittaire (Sgr) le 12 juin
– (3) Junon, m 8.0, devant l’Ecu de Sobieski (Sct) le 11 juin à 17h22 dans le plan équatorial, l’astéroïde 14°26’ au Nord ; à 20h20 dans le plan écliptique, ∆ -14°27’, longitude 285°16’ (16e CAP).
– (1) Cérès du 25 mai au 24 juin. Elle est conjointe à Mercure le 16 juin.
– Comètes observables de magnitude 12 ou moins :
– C/2015 V2 (Johnson) : mesurée à magnitude 7.5 le 27 mai, elle est un peu moins brillante que prévu. Elle passe du Bouvier (Boo) à la Vierge (Vir) le 14 juin et reste observable dans de bonnes conditions jusqu’en juillet. Elle était au périgée le 5 ; elle est à son périhélie le 12
– C/2015 ER61 ( PanSTARRS ) : récemment découverte, elle a eut un sursaut d’éclat le 4 avril comme on le prévoyait. Elle a atteint la magnitude 6.2 le 7 avril ; elle était encore à 7.9 le 24 mai ; elle suit le chemin du Soleil et se trouve devant les Poissons (Psc). Elle est donc observable assez difficilement, en fin de nuit au-dessus de l’horizon Est.
– 41P/Tuttle-Giacobini-Kresak : mesurée à magnitude 9.5 le 29 mai, son éclat diminue mais elle reste en excellentes conditions d’observation ; elle descend à l’Ouest d’Ophiuchus (Oph), le long de la Voie Lactée.
– 71P/Clark : mesurée à magnitude 10.9 le 30 mai, devant le Scorpion (Sco).
– Autres comètes observables, voir aerith.net
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– Le 10 juin, 47P Ashbrook-Jackson, magnitude 16.
– Le 12 juin, P/1999 XN120 Catalina, magnitude 19 et C/2015 V2 Johnson magnitude 8.
– Le 13 juin, P/2017 G2 PanSTARRS, magnitude 20.
– sur le site de la Cité de l’Espace. Le retour de Thomas Pesquet de l’ISS.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
Missions en cours
– Mars, en route pour une nouvelle étape, rétrospective de 13 ans et 44 kilomètres d’exploration du rover Opportunity.
– Dernières images de Curiosity
– La sonde Cassini autour de Saturne. C’est la fin de la mission : lancée en 1997, à l’oeuvre depuis 2004, elle a entamé, le 30 novembre dernier, la manœuvre qui la précipite vers sa fin : elle incline de plus en plus son orbite. En avril, elle a effectué son 126e et dernier tour autour de Titan, la plus grosse lune de Saturne. Elle doit traverser 22 fois le plan des anneaux à partir du 22 avril et faire sa plongée définitive le 15 septembre. Elle a fait sa deuxième traversée le 1er mai. Vidéo des sons recueillis lors de sa première traversée de l’espace beaucoup plus vide que ce que l’on pouvait imaginer entre Saturne et ses anneaux sur space.com.
– les dernières images de Cassini au JPL ; site en français
– New Horizons : Pluton le 14 juilllet 2015 et d’autres objets transneptuniens prévus pour les années à venir. Prochaine cible : KBO-2014 MU69 le 1er janvier 2019. Dernières nouvelles Dernières nouvelles
– La sonde Dawn autour de Cérès. Dernières nouvelles Astronews
– La sonde Juno autour de Jupiter. Dernières nouvelles Astronews
– Les leçons de Rosetta
– La lettre de l’IMCCE de juin ; n° 135 : *Le solstice d’été de 2017 *Observer le ciel du mois de juin, les constellations et leurs légendes : Lyre, Cygne, Aigle, Scorpion, Sagittaire *Des solutions contre la pollution lumineuse
– La lettre du guide du ciel n°123. (1er juin 2017) de Guillaume Cannat
– Astronews du 6 juin ; au sommaire : CR conférences : Rencontre avec une comète ; Le rayonnement de Hawking ; Relativité et Cosmologie ; Les aventuriers de l’Astronomie ; Pluton, les nouveaux mondes. Ondes Gravitationnelles, troisième détection ; Thomas Pesquet, le retour ; Un Soyuz amélioré ; ISS, une bactérie « inconnue » découverte ; Exoplanètes, Epsilon Eridani, un système comme le nôtre ? ; GJ 625-b, encore une super Terre ? ; JUNO, de nouvelles observations ; Uranus, ses pôles magnétiques ; Space X, premier étage et capsule spatiale recyclée vers l’ISS ; EXOMARS, deux sites d’atterrissage choisis ; Psyche, mission avancée par la NASA ; La matière noire.
Rappels
– le son des étoiles transposé dans le domaine audible
– la Voie Lactée du coucher au lever du Soleil, timelapse source
– Astrosurf magazine numéro 86, la revue d’astronomie pratique mai-juin 2017
– La Terre tourne, timelapse d’une année en vidéo accélérée, une merveille !
– Les nouvelles du ciel de PGJ Astronomie sur ce site
– Blog Autour du ciel de Guillaume Cannat
– Notre environnement stellaire et galactique
– Site pédagogique sur la cosmologie
– Observation et dessin en astronomie
– Fil d’actu de Ciel et Espace
– Découvrez ou approfondissez l’Astrologie conditionnelle sur Ariana.
– Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [14], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ? » ; poèmes}
[3] en coordonnées moyennes de la date
[4] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[5] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE.
[7] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
[8] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[9] voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ? » ; poèmes}
[10] en coordonnées moyennes de la date
[11] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[12] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE.
[14] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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