La Lune
– Elle marque les signes Poissons à Cancer (1er degré)
– Elle passe de la constellation du Verseau (Aqr) à celle d’ Orion (Ori)
– Le 15, conjoint Mars, Premier Quartier ; le 17, passe en déclinaison Nord, latitude minima ; le 18, conjoint Uranus ; le 20, conjoint Pléiades ; le 21, conjoint Aldébaran ; le 22, conjoint Elnath et Pleine Lune.
En géocentrique
– Le Soleil est devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) jusqu’au 18 décembre, 12h40, puis du Sagittaire (Sgr)
– dans le signe du Sagittaire jusqu’au 21 décembre, 23h02 -SOLSTICE- puis du Capricorne.
– Les planètes :
– Mercure arrive devant la constellation du Scorpion le 15, d’Ophiuchus le 20 ; conjoint Jupiter le 21, conjoint Antarès le 22
– Mars arrive devant la constellation des Poissons le 21
– En héliocentrique
– Vénus opposé Saturne et Terre carré Neptune le 7
– Mercure opposé Neptune le 15, signe Balance le 18
– Mars parallèle Uranus le 18
– Vénus signe Lion le 18
– Terre signe Cancer le 21 (solstice)
- A 0h21, la Lune est conjointe à Mars dans le plan équatorial, la planète 3°33’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 84° Est. Les deux astres culminent aux alentours de 18h30, avec Neptune.
– Aujourd’hui, l’amas globulaire Messier 19 sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 3h18, la Lune est conjointe à Mars dans le plan écliptique, Δ -3°21’ ; longitude 348°39’ (19e POI).
– A 4h05, Mercure opposé Neptune en héliocentrique.
– A 6h11, Lune carré Soleil dans le plan équatorial
– A 12h30, Mercure atteint son élongation maximale à l’Ouest du Soleil
– A 16h00, Mercure, arrive devant la constellation du Scorpion (Sco).
– A 20h27, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 357°18’ (28e POI) ; latitude -4°31’, descend.
- Aujourd’hui, l’astéroïde (354) Eleonora est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– Aux alentours de 1h, maximum attendu de l’essaim météoritique des sigma Hydrides (HYD)
– A 1h43, la Lune entre dans le signe du Bélier ; Lg 0° à 30° ; sa latitude est alors de -4°38’ -descend.
– A 12h10, la Lune arrive devant la constellation de la Baleine (Cet) ; longitude 5°21’ (6e BEL) ; latitude -4°50’, descend.
– A 15h28, Vénus sextil Saturne en géocentrique dans le plan écliptique (10e SCO/CAP)
- A 0h25, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Nord : : déclinaison 0° ; ascension droite 0h51m. Longitude écliptique 11°43’ (12e BEL), latitude -4°51’, descend.
– A 7h54, Mars sextil Pluton en géocentrique dans le plan écliptique (21e POI/CAP)
– A 9h58, Mars et Uranus sont en parallèle de latitude héliocentrique
– A 14h45, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 19°49’ (20e BEL) ; latitude -5°10’, descend.
- Aux alentours de 0h, maximum attendu de l’essaim météoritique des sigma Virginides de décembre (DSV)
– A 3h28, Lune trigone Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (27e BEL/SAG)
– Aux alentours de 5h, la Lune atteint sa libration maximale en longitude (L= +6,7°) : elle nous présente son Est au maximum.
- A 5h04, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan équatorial, la planète 5°0’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 121° Est. Les deux astres culminent aux alentours de 21h ; la Lune signale la position d’Uranus.
– A 5h27, la Lune atteint sa latitude minimale : -5°13’19" au Sud du plan de l’écliptique ("ventre du Dragon") ; longitude : 27°11’ (28e BEL) ; ascension droite 1h48m, déclinaison +5°35’ -monte ; distance : 60,60 rayons terrestres soit environ 386 533 kilomètres. Cet axe (ailes et ventre du Dragon) est perpendiculaire à l’axe des nœuds (il est rétrograde, en Bélier/Balance du 6 novembre 2018 au 4 mai 2020
– A 8h20, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan écliptique, Δ -4°40’ ; longitude 28°45’ (29e BEL).
– A 10h36, la Lune entre dans le signe du Taureau ; Lg 30° à 60° ; sa latitude est alors de -5°12’ -monte.
– Aux alentours de 12h, la Lune atteint sa libration minimale en latitude (B= -6,7°) : elle nous présente son Sud au maximum.
– A 12h40, le Soleil arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr).
– A 13h29, Mercure entre dans le signe de la Balance en héliocentrique.
– A 14h46, la Lune arrive devant la constellation de la Baleine (Cet) ; longitude 32°16’ (3e TAU) ; latitude -5°12’, monte.
- Ce soir, sur la Lune proche de ses librations maximale en longitude et minimale en latitude, apprécier les monts Carpates sur lesquels le Soleil vient de se lever.
- A remarquer avec un instrument en fin de nuit : l’astéroïde (2) Pallas près de la galaxie NGC 4699 -constellation de la Vierge (Vir)
– A 7h44, la Lune arrive devant la constellation du Bélier (Ari) ; longitude 41°12’ (12e TAU) ; latitude -5°3’, monte.
– A 7h55, Lune opposé Vénus en géocentrique dans le plan écliptique (12e TAU/SCO)
– Aux alentours de 9h, maximum attendu de l’essaim météoritique des alpha Lyncides (ALY)
– A 13h04, Vénus entre dans le signe du Lion en héliocentrique.
- Ce soir, sur la Lune encore proche de ses librations maximale en longitude et minimale en latitude, apprécier le cratère Gassendi sur lequel le Soleil vient de se lever.
– A 22h55, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan écliptique
- A 2h31, la Lune arrive devant la constellation du Taureau (Tau) ; longitude 52°24’ (23e TAU) ; latitude -4°43’, monte.
– A 5h01, Mercure, arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph).
– A 6h50, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan équatorial.
– Aux alentours de 12h, début de la 2212 ème rotation synodique du Soleil
- A 12h35, la Lune est conjointe aux Pléiades dans le plan équatorial, l’amas ouvert (Messier 45) 8°46’ au Nord. Ce soir à 19h, les Pléiades sont à l’Est à une quarantaine de degrés de hauteur, juste au-dessus de la Lune dont l’éclat les éteint..
– A 15h33, la Lune entre dans le signe des Gémeaux ; Lg 60° à 90° ; sa latitude est alors de -4°23’ -monte.
– Elle est alors conjointe aux Pléiades dans le plan écliptique, à 15h49 exactement, ∆ -8°28’. L’ amas des Pléiades marque, de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 1er degré du signe des Gémeaux (longitude moyenne de la date du centre de l’amas : 60°9’22").
– Aux alentours de 16h, l’astéroïde (6) Hebe au périgée
– A 17h22, Soleil trigone Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (29e SAG/BEL)
- L’étoile Bételgeuse (alpha d’Orion) culmine au minuit vrai exactement (0h49 pour notre localisation).
– Aujourd’hui, la comète P/2018 T1 Hill au périhélie
– A 6h43, Lune opposé Mercure en géocentrique dans le plan écliptique (9e GEM/SAG)
– A 7h37, Lune opposé Jupiter en géocentrique dans le plan écliptique (10e GEM/SAG)
– Aux alentours de 8h, maximum attendu de l’essaim météoritique des Ursides (URS)
- A 8h34, la Lune est conjointe à Aldébaran (alpha Taureau ; m 0.85) dans le plan écliptique l’étoile 1°39’ au Sud ; longitude (moyenne de la date) 70°3’31".
– Aldébaran marque depuis octobre 2014, le 11e degré du signe des Gémeaux (rappelons qu’en raison de la précession des équinoxes, la longitude écliptique des étoiles augmente d’un degré tous les 72 ans).
– A remarquer dès le début de la nuit ; les deux astres sont alors à l’Est à une quinzaine de degrés de hauteur ; le 20, la Lune est à gauche, le 21, elle est à droite d’ Aldébaran ; l’étoile culmine aux alentours de 23h30
– A 8h57, la Lune est conjointe à Aldébaran dans le plan équatorial, ∆ +1°40’.
– A 9h25, Mercure conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan équatorial
– A 15h43, Mercure conjoint Jupiter dans le plan géo-équatorial.
– A 18h13, Vénus trigone Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (14e SCO/POI)
– A 22h41, Mars arrive devant la constellation des Poissons (mouvement direct).
– A 23h08, le Soleil entre dans le signe du Capricorne = la Terre entre dans le signe du Cancer en héliocentrique.
– A 23h27, Mercure conjoint Jupiter dans le plan géo-écliptique
- A 2h48, Mercure conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan écliptique
– A 4h58, la Lune est conjointe à Elnath dans le plan équatorial, l’étoile 8°22’ au Nord
– Aux alentours de 6h, le
Soleil traverse le plan galactique et passe au Sud de celui-ci
- A 6h46, la Lune
est conjointe à Elnath (étoile beta Taureau, magnitude 1.65) dans le plan écliptique, ∆-8°20’. El Nath marque de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 23e degré du signe des Gémeaux -longitude moyenne de la date 82°50’39"]. A cette heure, les deux astres sont sur le couchant..
– A 13h52, la Lune arrive devant la constellation d’Orion (Ori) ; longitude 87°47’ (28e GEM) ; latitude -2°33’, monte.
– A 17h27, la Lune entre dans le signe du Cancer ; Lg 90° à 120° ; sa latitude est alors de -2°22’ -monte.
– A 18h50, Lune opposé Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 6 / 18h3m, déclinaison Soleil -23°26’ -monte, Lune +21°7" -monte
- Au matin du 22 décembre, une heure avant l’arrivée du Soleil, déjà toute ronde, elle descend brillamment à l’Ouest-nord-ouest tandis que Vénus, escortée de Mercure et Jupiter, resplendit à ’Est-sud-est.
- Le soir elle se lève à l’Est-nord-est pendant que le Soleil se couche à l’opposé. Elle parcourt la voûte céleste 16 heures durant, glisse d’Orion aux Gémeaux, culmine à 66° degrés de hauteur environ pour la latitude 45°N au beau milieu des plus brillantes étoiles du ciel et se couche au matin juste après le lever du Soleil.
-devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) depuis le 30 novembre, il arrive devant le Sagittaire (Sgr) le 18 décembre à 12h40 ; longitude : 266°30’ (27e SAG) ; il reste devant cette constellation jusqu’au 20 janvier. Il arrivera alors devant le Capricorne (Cap).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er novembre 2018, 0h TU (9e SCO) au 5 mai 2019, 0h TU (15e TAU) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 1er novembre.
- Le 22 décembre aux alentours de 6h, il croise le plan galactique et passe au-dessous, comme chaque année à la même date, avec un tout petit décalage d’année en année dû à la précession des équinoxes, qui fait que cela se produit au moment du solstice au cours des 20e et 21e siècles.
– Il traverse à nouveau le plan galactique et passe au-dessus au moment du solstice d’été ; il se trouve alors devant la constellation du Taureau, à la limite de celle des Gémeaux.
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) depuis le 22 novembre, il entre dans celui du Capricorne le 21 décembre à 23h08 = la Terre entre dans le signe du Cancer en héliocentrique : c’est le SOLSTICE de décembre, le début de l’Hiver dans l’hémisphère Nord / de l’Eté dans l’hémisphère Sud : il atteint sa déclinaison minimale : -23°26’14"
– Le couple Soleil-Terre passera en Verseau/Lion le 20 janvier à 9h45 (8h45 UTC).
signe du Capricorne
nous sommes dans la première phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud : l’Hémisphère Sud (-) reçoit beaucoup plus d’ensoleillement (F) que le Nord mais il en perd un peu chaque jour (L) alors que l’Hémisphère Nord (+) en reçoit beaucoup moins (F) que le Sud mais il en regagne un peu chaque jour (v).
– Nous avons Sud (-) majoritaire (F) / Nord (+) minoritaire (f)
– avec décroissance (L) du Sud (-) / croissance (v) du Nord (+)
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité "-"
– formule majeure : Force d’inhibition extinctive F-
– formule mineure, force d’excitation naturelle f+.
2- saison : signe d’hiver Nord / été Sud
– formule majeure : L- = "L" pour Lenteur car le phénomène principal est décroissant et "-" pour Sud
– formule mineure : v+ = "v" pour Vitesse ou labilité car le phénomène secondaire est croissant et "+" pour Nord
3- période équinoxiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale
– Sa formule est opposée à celle du Cancer (F-/f+, L+/v-, sE/UP) et inverse de celle des Gémeaux (F+/f-, V+/l-, sE/UP)
Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez dans cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
– Le 20 décembre aux alentours de 12h, début de sa 2212 ème rotation synodique [2]
– L’équation de temps a atteint son second maximum négatif de l’année le 3 novembre (-16m 26s) ; elle sera nulle le 25 décembre et atteindra son premier maximum positif de l’année le 11 février (+14m14s).
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [3] : l’amas globulaire Messier 19->https://fr.wikipedia.org/wiki/M19_(amas_globulaire)] du 3 au 15 décembre.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français. Elle est faible : le 13 décembre ; 205 jours sans tache depuis le début de l’année.
– Le 15 décembre à 4h05, Mercure opposé Neptune ; longitude 165°/345°40’ (16e VIE/POI) ; latitude Mercure +6°14’ (descend), Neptune -0°58’ (descend).
– Le 17 décembre à 9h58, Mars et Uranus sont en parallèle de latitude à -0°31’ ; les deux montent ; longitude Mars 33°11’ (4e TAU), Uranus 31°9’ (2e TAU)
– Le 18 décembre à 13h29, Mercure entre dans le signe de la Balance (longitude 180° à 210°) ; sa latitude est alors de +5°15’ (descend). Elle reste dans ce signe jusqu’au 26 décembre.
– Le 19 décembre à 13h04, Vénus entre dans le signe du Lion (longitude 120° à 150°) ; sa latitude est alors de +2°19’ (monte). Elle reste dans ce signe jusqu’au 6 janvier.
– Le 21 décembre à 23h08, la Terre entre dans le signe du Cancer Longitude 90° à 120° = le Soleil entre dans le signe du Capricorne du point de vue géocentrique.
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 17h09 le 15 décembre et à 17h12 le 22. Il se lève à 8h22 le 15 décembre et à 8h27 le 22
Correction en longitude [4]
– A notre latitude, la durée du jour diminue de 5 minutes le matin et augmente’ de 3 minutes le soir ; au total, elle diminue de 2 minutes en 7 jours (7 minutes en 8 jours la semaine dernière) ; elle se décale vers le soir en raison de l’équation de temps et la diminution du jour s’arrête.
– Ce phénomène est dû à l’équation de temps : en effet le Soleil culmine de plus en plus tard jusqu’au 11 février. Jusqu’au 21 ou 22 décembre (solstice d’hiver), la durée du jour diminue mais à partir du 13 décembre le décalage dû à l’équation de temps est plus important que l’avance de son coucher. C’est la Sainte Luce, avec son célèbre dicton "à la Sainte Luce le jour croît d’un saut de puce". Jusqu’à début janvier, le Soleil se lève, culmine et se couche de plus en plus tard par rapport au midi moyen. A partir du solstice, les jours commencent à rallonger, mais il faut attendre début janvier pour que son lever cesse de retarder.
La Lune :
– A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
– Au fil des jours, gibbeuse croissante, elle se lève dans l’après-midi, culmine en première moitié de nuit et se couche en deuxième moitié de nuit, chaque jour plus tard que la veille (en moyenne une heure, au minimum 30 minutes, au maximum 1h30 minutes à notre latitude).
– La Pleine Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près à l’opposé du Soleil.
– L’ étoile Bételgeuse (alpha d’Orion-Ori) passe au méridien à la mi-nuit exactement le 21 décembre (0h49 heure légale pour notre localisation). Pour la latitude terrestre 45° Nord, sa hauteur de culmination est de 52° Nord.
- Mira de la Baleine, et une autre étoile variable à longue période de même type : chi du Cygne, ont atteint leur maximum fin novembre et restent visibles à l’oeil nu jusqu’à la fin du mois : Mira, qui a atteint cette fois-ci une magnitude proche de 2. Son précédent maximum date de janvier 2018 ; le prochain aura lieu en novembre 2019. Elle reste visible à l’oeil nu en décembre.
- et chi du Cygne atteint la magnitude 4.2. C’est une géante rouge, comme Mira. Sa période est de 407 jours. Son prochain maximum aura lieu début 2020.
– La lumière zodiacale est possible à voir sous un ciel bien noir :
– et en fin de nuit avant l’aube, du côté Est-sud-est, devant la Balance (Lib) et la Vierge (Vir), avec Vénus à la base (délicat en raison de l’inclinaison de l’écliptique) jusqu’au 20 décembre. En savoir plus sur la lumière zodiacale.
0h49 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– L’étoile Menkalinan (beta du Cocher) est au zénith
- le 16 décembre, aux alentours de 1h, maximum attendu des sigma Hydrides (HYD), zhr 3
– le 18 décembre, aux alentours de 0h, maximum attendu des sigma Virginides de décembre (DSV)
– le 19 décembre, aux alentours de 9h, maximum attendu des alpha Lyncides (ALY)
Noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ; nous suivons les données du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale)
– dernières Géminides (GEM), actif du 4 au 17 décembre, maximum le 12 décembre
– aussi des Ursides (URS), actif du 17 au 26 décembre ; maximum le 22 décembre
– des Coma Berenicides (COM), maximum le 24 décembre
– Elle disparaît du ciel du soir. Elle se couche aux alentours de 18h10. Élongation 16° à 10°E. Magnitude 1.4 ; diamètre apparent 15 secondes d’arc, en diminution.
– Elle va être conjointe au Soleil le 2 janvier 2019. Sa prochaine opposition aura lieu le 9 juillet. La dernière date du 27 juin. Elle est passée en quadrature Est le 26 septembre.
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
– L’inclinaison de ses anneaux passe de +26° à +25,5° en décembre .
– Élongation maximale de Titan à l’Ouest le 15 décembre à 8h43
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; puis de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
– Son mouvement est direct depuis le 6 septembre. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 12 décembre. Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 29 avril 2019.
– Sa distance au Soleil (10,061 UA) diminue depuis son aphélie, le 17 avril dernier. Elle se rapproche désormais du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
– Sa distance à la Terre augmente de 11,003 à 11,030 UA ; elle est passée au périgée le 27 juin (9,048 UA) ; prochain apogée le 2 janvier 2019 (11,043 UA).
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 2 mai (+0°53’). Elle descend, passera à son nœud descendant le 13 février 2020 et atteindra un palier minimum le 7 octobre 2021 (-0°49’)
– En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Maintenant, elle remonte en fluctuant au gré de ses rétrogradations et passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 5 décembre .
– Elle culmine aux alentours de 18h00 à près de 40° de hauteur pour notre latitude (44°N) et se couche aux alentours de 23h30. La Lune gêne son observation cette semaine.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 7 septembre. Sa prochaine opposition aura lieu le 10 septembre 2019. Elle sera en conjonction le 4 février.
– Élongation 81° à 74° Est ; Magnitude 7.8 ; diamètre apparent 2,3 secondes d’arc
- Son mouvement est direct depuis le 24 novembre (14e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 15 mars 2019.
– Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,939 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,210 UA le 22 décembre, augmente depuis son périgée le 7 septembre (28,93 UA). Prochain apogée le 7 mars 2019 (30,929 UA).
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle remonte : elle a atteint un minimum dans ses fluctuations annuelles le 22 septembre : -1°0’. Prochain maxima le 19 février 2019 (-0°57’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Actuellement, elle monte : elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 23 novembre (-7°19’) ; prochain maximum le 18 juin 2019 (-5°23’).
- conjointe à la Lune le 15 décembre
– Elle a conjoint Neptune le 7 décembre.
– Elle culmine aux alentours de 18h00, de plus en plus haut, et se couche aux alentours de 0h15. Élongation 86° à 83° Est.
– Elle passée en quadrature Est au Soleil le 3 décembre (le 10 décembre dans le plan équatorial). En héliocentrique, le carré Terre - Mars aura lieu le 9 mars 2019.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 27 juillet ; elle sera conjointe au Soleil le 2 septembre 2019 et sa prochaine opposition aura lieu le 13 octobre 2020.
– Son diamètre apparent : 8 secondes d’arc environ, diminue ainsi que son éclat : sa magnitude passe de +0.2 à +0.3. Elle reste observable jusqu’en janvier, et sera visible à l’œil nu jusqu’en avril. Elle nous réserve encore de belles rencontres stellaires au fur et à mesure de son parcours le long de l’écliptique :
- Son mouvement est direct depuis le 27 août dans le plan écliptique et le 28 août dans le plan équatorial ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre dans le plan écliptique et le 9 octobre dans le plan équatorial. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
– Devant la constellation du Verseau (Aqr) depuis le 11 novembre, elle arrive devant les Poissons (Psc) le 21 décembre à 22h41 ; longitude 353°11’ (24e POI), latitude -0°32’ (monte). Elle arrivera devant la constellation du Bélier (Ari) le 13 février.
– Ci-contre son parcours du 1er mai 2018 au 22 juin 2019 (les autres planètes sont positionnées au 1er mai 2018)
– Elle est dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) du 15 novembre au 1er janvier. Elle entrera alors dans le signe du Bélier.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 11 décembre au 2 février.
– Sa distance au Soleil augmente de 1,435 à 1,443 UA. Elle est passée au périhélie le 16 septembre 2018 (1,381 UA). Prochain aphélie le 26 août 2019.
– Sa distance à la Terre augmente de 1,124 à 1,184 UA ; elle est passée au périgée le 31 juillet 2018 (0,3849 UA). elle sera à l’ apogée le 29 août 2019 (2,675 UA).
– En latitude Sud depuis le 16 mars (nœud descendant), elle a atteint sa latitude géocentrique minimale le 4 août (-6°35’) et sa latitude héliocentrique minimale le 20 août (-1°50’). Elle monte et passera en latitude Nord (nœud ascendant) le 15 janvier 2019.
– En déclinaison Sud depuis le 27 octobre 2017, elle remonte ; elle a atteint sa déclinaison minimale le 16 août (-26°29’ -hors-limites zodiacales ). Elle passera en déclinaison Nord le 2 janvier 2019.
– Saison sur Mars : c’est l’hiver Nord / été Sud depuis le 16 octobre de notre calendrier grégorien terrestre. Prochain équinoxe de Printemps Nord/ Automne Sud le 23 mars 2019.
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
– conjointe à la Lune le 18 décembre
– Elle culmine aux alentours de 20h40 et se couche aux alentours de 3h30.
– Son élongation passe de 126° à 119° Est. Magnitude 5.7 ; diamètre apparent 3,7 secondes d’arc.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 23 octobre.
– Elle sera en quadrature Est le 19 janvier, conjointe au Soleil le 22 avril, en quadrature Ouest le 29 juillet et à l’ opposition le 28 octobre 2019.
-Son mouvement est rétrograde du 7 août 2018 (3e TAU) au 6 janvier 2019 (29e BEL) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 avril.
– Elle est devant la constellation des Poissons (Psc) du 3 décembre au 6 février ; elle y reprendra son mouvement direct le 6 janvier. Elle était aupavant devant le Bélier depuis le 27 avril. Elle y restera ensuite jusqu’au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations de 2016 à 2020
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– En géocentrique, elle signe Bélier depuis le 6 novembre en raison de sa rétrogradation. Elle sera de retour en Taureau le 6 mars 2019 et y restera ensuite jusqu’en juillet 2025.
– Sa distance au Soleil : 19,863 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
– Sa distance à la Terre augmente : 19,384 UA le 22 décembre. Elle est passée au périgée le 23 octobre (18,875 UA) ; prochain apogée le 23 avril 2019 (20,85 UA).
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle monte : elle a atteint un palier de latitude minimale le 10 octobre (-0°33’). Prochain maximum le 11 mai 2019 (-0°29’).
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte : elle a atteint un maximum le 6 août (+11°50’). Prochain minimum le 5 janvier 2019 (+10°28’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
- Elle brille majestueusement dans le ciel du matin depuis début novembre. Elle se lève aux environs de 4h30.
Son élongation au Soleil passe de 44° à 45° Ouest.
– Elle atteindra son élongation maximale le 6 janvier ; sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 13 août 2019 ; sa prochaine conjonction inférieure, le 4 juin 2020. La précédente date du 26 octobre
– Elle est en phase de premier croissant ; sa portion éclairée augmente de 38% à 41% ; son diamètre apparent, 30 secondes d’arc le 22 décembre, diminue ; son éclat : magnitude -4.5, diminue légèrement. En savoir plus sur les phases de Vénus.
- Ci-contre son parcours du 22 août 2018 au 1er mai 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 22 août 2018.
– Elle est devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 13 décembre. Elle y reste jusqu’au 9 janvier. Elle arrivera alors devant le Scorpion (Sco).
– Son mouvement est direct depuis le 16 novembre.
– Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 mai 2020.
– Elle est dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) du 2 décembre au 7 janvier. Elle y a déjà été du 9 septembre au 31 octobre.
– En héliocentrique, elle signe Cancer du 1er au 19 décembre puis Lion jusqu’au 6 janvier.
– Sa distance au Soleil : 0,718 UA diminue depuis son aphélie le 5 septembre (0,728 UA). Prochain périhélie le 26 décembre (0,718 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 0,511 à 0,565 UA ; elle est passée au périgée le 27 octobre (0,272 UA) ; prochain apogée le 11 août 2019 (1,731 UA).
– En latitude écliptique Nord depuis le 22 novembre (nœud ascendant). Elle atteindra sa latitude maximale le 3 janvier en géocentrique et le 17 janvier en héliocentrique ; elle passera en latitude écliptique Sud le 10 mars (nœud descendant).
– En déclinaison Sud depuis le 6 août, elle a atteint un premier minimum à -22°0’ le 8 octobre, puis un maximum le 28 novembre (-9°49’) ; elle redescend maintenant jusqu’à un minimum de -21°11’.le 10 février 2019. Elle passera en déclinaison Nord le 23 avril 2019
– Elle atteint son élongation maximale le 15 décembre à 12h30 : 21°16’12" à l’Ouest du Soleil ; longitude 242°17’ (3e SAG) ; latitude +2°14’ (descend). Voir page PGJ.
– Elle est visible à l’œil nu dans le ciel du matin depuis le 5 décembre et va le rester jusqu’à la fin du mois.
– Elle se lève 1 heure 52 minutes avant lui le 15 décembre et 1 heure 40 minutes avant lui le 22. Sa magnitude se maintient à -0.4.
– Sa dernière conjonction inférieure a eu lieu le 27 novembre. Sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 30 janvier ; sa prochaine conjonction inférieure, le 15 mars.
- Elle est conjointe à Jupiter pour la troisième fois le 21 décembre à 15h43 dans le plan équatorial, Mercure 0°52’ au Nord ; élongation solaire de Jupiter 20° Ouest ; à 23h27 dans le plan écliptique, à la longitude 249°44’ (10e SAG), ∆ +0°26’. Les deux planètes se lèvent simultanément aux alentours de 6h50, et sont visibles jusqu’aux alentours de 7h30 au-dessus d’un horizon Est-sud-est dégagé.
– En raison de la rétrogradation de Mercure, elles ont déjà été conjointes le 29/30 octobre et le 27 novembre avec le Soleil .
- Elle est conjointe à Antarès (alpha Scorpion, magnitude 1.05) le 21 décembre à 9h25 dans le plan équatorial, l’étoile 6°10’ au Sud. La conjonction dans le plan écliptique a lieu le 22 à 2h48, ∆ +6°4’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°1’53". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 70 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire. L’étoile est difficile à distinguer au raz de l’horizon aux alentours de 7h30 dans les lueurs de l’aube sous Mercure et Jupiter.
– En raison de sa rétrogradation, Mercure a déjà été conjointe à Antarès le 9 novembre
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa fraction éclairée passe de 59% à 78%
– Son diamètre apparent, 6 secondes d’arc, diminue.
- Son mouvement est direct du 6 décembre (28e SCO) au 5 mars 2019 (30e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 24 décembre.
Ci-contre son parcours du 1er octobre 2018 au 25 avril 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 1er octobre 2018.
– Devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 29 novembre, elle arrive devant le Scorpion (Sco), le 15 décembre à 16h00, à la longitude 242°26’ (3e SAG), latitude +2°13’, descend ; elle arrive ensuite devant Ophiuchus (Oph) le 20 décembre à 5h01, à la longitude 247°36’ (8e SAG), latitude +1°40’, descend ; elle progresse devant cette constellation jusqu’au 2 janvier ; elle arrivera alors devant le Sagittaire (Sgr).
– Dans le signe du Sagittaire (Lg 240° à 270°) du 13 décembre au 5 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Vierge du 11 au 18 décembre, puis Balance jusqu’au 26.
– En latitude Nord depuis le 24 novembre (nœud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale le 8 décembre en géocentrique (+2°42’) et le 9 décembre en héliocentrique (+7°0’). Elle passera à son nœud descendant le 1er janvier.
– En déclinaison Sud depuis le 23 septembre, elle a atteint un minimum le 12 novembre (-24°49’ -hors limites zodiacales (-23°26’13") du 2 au 20 novembre) ; puis un maximum le 7 décembre (-16°54’). Maintenant elle redescend ; elle repassera hors limites zodiacales du 2 au 18 janvier avec un minimum le 11 janvier à -24°8’ ; elle passera en déclinaison Nord le 27 février.
– Sa distance au Soleil augmente, de 0,370 à 0,410 UA ; elle est passée au périhélie le 29 novembre ; (0,307 UA) ; prochain aphélie le 12 janvier (0,466 UA).
– Sa distance à la Terre : 1,014 à 1,160 UA, augmente depuis son périgée le 27 novembre (0,678 UA) ; prochain apogée le 22 janvier 2019 (1,422 UA).
– Son élongation passe de 14° à 20° Ouest.
- Sa conjonction au Soleil date du 26 novembre, avec Mercure (27 novembre)
– A nouveau conjointe à Mercure le 21 décembre à 15h43 dans le plan équatorial / à 23h27 dans le plan écliptique, elle est visible avec elle avant le lever du Soleil ; elle se lève entre 7h06 (le 15) et 6h47 (le 22).
– Elle est conjointe à Antarès le 20 décembre à 3h28 dans le plan équatorial, l’étoile 7°16’ au Sud. La conjonction dans le plan écliptique a lieu le 23 décembre.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 10 juin 2019. Précédente le 9 mai 2018.
- Elle est devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 13 décembre 2018 au 16 novembre 2019. Ci-contre son parcours du 11 octobre 2018 au 22 janvier 2020 (le Soleil et les autres planètes sont positionnés au 11 octobre 2018 ).
– Son mouvement est direct depuis le 10 juillet (14e SCO) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 5 octobre ; prochaine rétrogradation du 10 avril (25e SAG) au 11 août 2019 (15e SAG).
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 8 novembre 2018 au 2 décembre 2019 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire depuis le 6 octobre 2018 et reste dans ce signe jusqu’au 18 octobre 2019.
– Sa distance au Soleil : 5,353 UA le 22 décembre diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 6,298 à 6,259 UA ; elle est passée à l’apogée le 24 novembre (6,347 UA) ; elle sera au périgée le 12 juin 2019 (4,283 UA).
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale annuelle le 25 avril (+1°16’) ; prochain minimum le 3 février 2019 (+0°37’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016 ; elle a atteint son maximum annuel le 6 juillet (-14°49’) ; prochain minimum le 10 avril 2019 (-22°40’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’) et passera en déclinaison Nord en mai 2022.
– Magnitude 15.1
– Elle est passée en quadrature Est (au Soleil ) le 12 octobre. Elle se couche aux alentours de 18h30 ; elle n’est plus du tout observable.
– Sa dernière opposition au Soleil a eu lieu le 12 juillet 2018. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2019.
Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
– Son mouvement est direct depuis le 30 septembre ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 21 janvier 2019.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,701 à 33,706 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 34,578 à 34,631 UA. Elle est passée au périgée le 10 juillet 2018 (32,58 UA) ; prochain apogée le 13 janvier 2019 (34,70 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 23 octobre (-22°6’). Prochain maximum le 4 avril 2019 (-21°42’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
- (354) Eleonora, m 10.2, le 16 décembre dans le plan équatorial ; devant Orion (Ori).
- Au périgée : (6) Hebe, m 8.4, devant la Licorne (Mon) le 20 décembre aux alentours de 16h. Hebe sera à l’opposition du Soleil le 28 décembre dans le plan équatorial.
– (3) Junon, m 8, qui se trouve devant l’Eridan (Eri) le 19 décembre à 22h55 dans le plan écliptique (20e TAU), l’astéroïde 17°32’ au Sud ; le 20 à 6h50 dans le plan équatorial Δ +18°14’.
avec un instrument et/ou photographiquement
- Le 19 décembre, remarquer en fin de nuit l’astéroïde (2) Pallas, magnitude 9, à 1° au Nord de la galaxie NGC 4699 de la constellation de la Vierge (Vir).
Comètes observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– 46P Wirtanen : magnitude observée le 13 décembre : 4.7, donc visible à l’oeil nu sous un bon ciel sans Lune. Elle est passée au périhélie -et au plus près de la Terre le 12 décembre, à 0,08 UA. Elle passe du Taureau (Tau) au Cocher (AUR) en rasant Persée (Per) ; elle culmine aux alentours de 23h00 ; pour la suivre en temps réel. Du 15 au 17 décembre, elle passe à côté des Pléiades ; cette scène peut s’observer dans un même champ de jumelles de 6°.
- 64P Swift-Gehrels : magnitude observée le 13 décembre : 9.1, entre le Triangle (Tri) et le Bélier (Ari), en excellentes conditions d’observation. Elle est passée au périhélie le 3 novembre ; la suivre en temps réel.
- 38P Stephan-Oterma : magnitude observée le 13 décembre : 10.2, son éclat diminue ; elle est passée au périhélie le 10 novembre. Devant le Lynx (Lyn) ; la suivre en temps réel.
– C/2018 V1 Machholz-Fujikawa-Iwamoto : n’est plus visible
– Autres comètes observables -ou pas, sur aerith.net
– Localiser précisément les comètes observables grâce à Heavens above
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 21 décembre, P/2018 T1 Hill, magnitude 18
– Lune
Mission chinoise sur la face cachée : la Chine va là où nul n’est encore allé : la face cachée de la Lune. Le 7 décembre, une fusée Longue Marche 3B a décollé de la base de lancement de satellites de Xichang (dans le Sichuan, Sud-Ouest de la Chine), emportant un atterrisseur et un rover vers les cratères cachés qui pourraient contenir de l’eau et d’autres ressources clés pour une exploration humaine future. La sonde est maintenant en orbite autour de la Lune. Si la mission réussit, elle catapultera la Chine en tête de l’exploration lunaire avec un atterrissage auquel nulle autre nation n’avait encore pensé.
Depuis la Terre nous voyons toujours la même face de la Lune. L’autre côté nous est toujours caché, car elle tourne sur elle-même en exactement autant de temps qu’elle tourne autour de la Terre, si ce n’est ses librations. Les astronautes d’Apollo ont volé au-dessus de la face cachée et de nombreux satellites ont photographié la Lune par derrière, révélant un paysage rugueux, lourdement cratérisé, très différent de la face que nosu connaissons. Mais n’y avait encore atterri.
La mission chinoise Chang’e 4 mission vise à être la première. Selon certaines sources, l’atterrisseur devrait toucher le sol dans un cratère de 168 kilomètres de large, le cratère Von Kármán, qui fait partie du bassin Pôle Sud–Aitken, la plus grande structure d’impact connue dans le système solaire. Le rover Chang’e-4 explorera le site d’atterrissage, en le testant avec un radar de pénétration du sol et mesurera la composition minérale avec un spectromètre infrarouge. S’il y a de l’eau, il pourra la détecter. source
Face cachée de la Lune photo source Lunar Reconnaissance Orbiter NASA
– VOYAGER 2 entre dans l’espace interstellaire : Voyager 2 est sorti du cocon magnétique du Soleil et est entré dans l’espace interstellaire. Les scientifiques de la mission ont annoncé cette nouvelle fracassante le 9 décembre à l’ American Geophysical Union meeting à Washington DC. Son jumeau, Voyager 1, a traversé la même frontière en 2012, mais le passage de Voyager 2 devrait apporter davantage d’informations car il transporte un instrument de travail qui peut sonder les plasmas interstellaires ; ce sera le premier échantillon in-situ de matière entre les étoiles.
La preuve la plus incontestable que Voyageur 2 est sorti de l’ heliosphere vient de son "Plasma Science Experiment" (PLS), un instrument qui a cessé de fonctionner sur Voyageur 1 en 1980. Jusque récemment, Voyageur 2 était entouré principalement par le vent solaire - un type de plasma émis par le Soleil. Le 5 novembre, le Plasma Science Experiment de Voyager 2 a enregistré un brusque déclin du vent solaire, et depuis cette date, il n’a pas enregistré d’autre flux de vent solaire, un signe évident qu’il a quitté l’héliosphère.
A la place du vent solaire, il y a un blizzard de rayons cosmiques galactiques. Le champ magnétique solaire protège le système solaire des rayons cosmiques en brisant les rayons de haute énergie des explosions de supernovae dans la Voie Lactée et ailleurs. Maintenant que Voyager 2 est sorti de cette coquille protectrice, il est légèrement exposé aux rayons cosmiques, et son sous-système de rayons cosmiques enregistre une onde.
Lancé en 1977, Voyager 2 est maintenant à un peu plus de 18 milliards de kilomètres de la Terre. Les opérateurs de la mission peuvent encore communiquer avec Voyager 2 alors qu’il entre dans une nouvelle phase de son voyage, mais l’ information – qui se déplace à la vitesse de la lumière – met environ 16,5 heures à parvenir à la Terre.
Les sondes Voyager sont alimentées par la chaleur provenant de la désintégration de matières radioactives, contenu dans un générateur thermique de radio-isotopes (RTG). La puissance de sortie des RTG diminue d’environ quatre watts par an, ce qui signifie que diverses parties des Voyagers, y compris les caméras des deux engins spatiaux, ont été éteintes au fil du temps pour économiser l’énergie. Grâce à ces précautions, les Voyagers pourront encore envoyer quelques données dans les années à venir.
"Il y a encore beaucoup à apprendre sur l’espace interstellaire immédiat au-delà de l’héliosphèfre" dit Ed Stone, scientifique du projet, basé à Caltech, Pasadena en California. A suivre sur le site Voyager - NASA. Source
– Mars
– Insight, arrivée sur Mars réussie
– autres missions : Mars Express ; 15 ans en orbite
– Le rover Curiosity du Mars Science Laboratory
– Mars Reconnaissance Orbiter
– EXOMARS, en orbite, fin de l’aérofreinage, la mission scientifique débute
– Mercure
– Lancement réussi de BEPI COLOMBO le 19-20 Octobre 2018 de Kourou avec une fusée Ariane 5. Dernières nouvelles sur les Astronews.
– A suivre sur twitter ; site de l’ESA ; site du CNES
– astéroïde Ryugu :
– Des robots japonais ont abordé l’astéroïde géocroiseur Ryugu, dernières nouvelles : HAYABUSA 2 : MASCOT a rejoint ses deux collègues rovers
– Jupiter
– JUNO, des vagues dans l’atmosphère de Jupiter
– Pluton et au-delà
– New Horizons, la sonde qui a survolé Pluton le 14 juillet 2015, se dirige vers un autre objet transneptunien, 2014 MU69, maintenant surnommé "Ultima Thule", qu’elle doit atteindre le 1er janvier 2019. Le 9 décembre 2017, elle a effectué une correction de trajectoire, puis après quelques mois d’hibernation, la sonde a été réveillée le 4 juin 2018 et s’apprête à faire ses observations. Voir sur [TheSkyLive>https://theskylive.com/pages/new-horizons-2014-mu69/]
– Missions passées (dont les données n’ont pas fini d’être exploitées)
Cérès
– Fin de la mission Dawn le 30 octobre 2018. Page wikipedia ; Astronews
– Fin de la mission Kepler en novembre
– Rosetta, archives photos complètes
– Cassini, caractérisation du rayonnement radio auroral de Saturne
– l’actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
– L’ESA et l’avenir de l’Europe spatiale
– Astronews du 1er décembre ; au sommaire : -Insight, on est sur Mars, les premières photos ; -conférence de Jocelyn Bell à l’occasion de sa remise de la grande Médaille de l’Académie des Sciences pour sa découverte des pulsars ... en 1967 ; -Poids et Mesures, réunion historique à Versailles de la CGPM des 13-16 Nov 2018 ; -Osiris-Rex : Bennu en approche ; -Système Solaire, un objet transneptunien récemment découvert confirmerait l’existence de la planète Nine ; -Système Solaire, on découvre des anneaux à certains astéroïdes et planètes naines ; -Systèmes planétaires, le mystère des disques de gaz résolu ; -Mission LUCY pour l’exploration des astéroïdes Troyens ; Fusion Thermonucléaire, un Tokamak chinois à 100 millions de degrés ; -un trou Noir à rotation extrêmement rapide découvert ; -Le télescope spatial TESS est opérationnel ; Livre conseillé : l’aventure Apollo
Rappels
– La lettre de l’IMCCE de décembre n° 151 : *Le solstice d’hiver *Observer le ciel en décembre 2018 : Uranus et Neptune *La connaissance des temps 2019 *le bolide du 24 novembre
– La lettre du guide du ciel n°142. (1er décembre 2018) de Guillaume Cannat : cadeaux de Noël
– Un excellent site anglais de planétarium : TheSkyLive
– Un autre, japonais, en anglais plein de ressources de visualisation : AstroArts
– Astrosurf magazine numéro 95, novembre-décembre 2018, une revue d’astronomie pratique qui ne manque pas de poésie et de profondeur. Sommaire.
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
– L’agenda astrologique Astro Agenda 2019 d’Astrid Fallon (Astrologie en 3D)
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [5], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Format portait et fiche vierge correspondante pour noter vos observations de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
jeudi 13 décembre 2018, par
La Lune
– Elle marque les signes Poissons à Cancer (1er degré)
– Elle passe de la constellation du Verseau (Aqr) à celle d’ Orion (Ori)
– Le 15, conjoint Mars, Premier Quartier ; le 17, passe en déclinaison Nord, latitude minima ; le 18, conjoint Uranus ; le 20, conjoint Pléiades ; le 21, conjoint Aldébaran ; le 22, conjoint Elnath et Pleine Lune.
En géocentrique
– Le Soleil est devant la constellation d’Ophiuchus (Oph) jusqu’au 18 décembre, 12h40, puis du Sagittaire (Sgr)
– dans le signe du Sagittaire jusqu’au 21 décembre, 23h02 -SOLSTICE- puis du Capricorne.
– Les planètes :
– Mercure arrive devant la constellation du Scorpion le 15, d’Ophiuchus le 20 ; conjoint Jupiter le 21, conjoint Antarès le 22
– Mars arrive devant la constellation des Poissons le 21
– En héliocentrique
– Vénus opposé Saturne et Terre carré Neptune le 7
– Mercure opposé Neptune le 15, signe Balance le 18
– Mars parallèle Uranus le 18
– Vénus signe Lion le 18
– Terre signe Cancer le 21 (solstice)
- A 0h21, la Lune est conjointe à Mars dans le plan équatorial, la planète 3°33’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 84° Est. Les deux astres culminent aux alentours de 18h30, avec Neptune.
– Aujourd’hui, l’amas globulaire Messier 19 sort du champ du coronographe Lasco C3.
– A 3h18, la Lune est conjointe à Mars dans le plan écliptique, Δ -3°21’ ; longitude 348°39’ (19e POI).
– A 4h05, Mercure opposé Neptune en héliocentrique.
– A 6h11, Lune carré Soleil dans le plan équatorial
– A 12h30, Mercure atteint son élongation maximale à l’Ouest du Soleil
– A 16h00, Mercure, arrive devant la constellation du Scorpion (Sco).
– A 20h27, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 357°18’ (28e POI) ; latitude -4°31’, descend.
- Aujourd’hui, l’astéroïde (354) Eleonora est à l’opposition du Soleil dans le plan équatorial
– Aux alentours de 1h, maximum attendu de l’essaim météoritique des sigma Hydrides (HYD)
– A 1h43, la Lune entre dans le signe du Bélier ; Lg 0° à 30° ; sa latitude est alors de -4°38’ -descend.
– A 12h10, la Lune arrive devant la constellation de la Baleine (Cet) ; longitude 5°21’ (6e BEL) ; latitude -4°50’, descend.
– A 15h28, Vénus sextil Saturne en géocentrique dans le plan écliptique (10e SCO/CAP)
- A 0h25, la Lune traverse le plan équatorial ; elle passe en déclinaison Nord : : déclinaison 0° ; ascension droite 0h51m. Longitude écliptique 11°43’ (12e BEL), latitude -4°51’, descend.
– A 7h54, Mars sextil Pluton en géocentrique dans le plan écliptique (21e POI/CAP)
– A 9h58, Mars et Uranus sont en parallèle de latitude héliocentrique
– A 14h45, la Lune arrive devant la constellation des Poissons (Psc) ; longitude 19°49’ (20e BEL) ; latitude -5°10’, descend.
- Aux alentours de 0h, maximum attendu de l’essaim météoritique des sigma Virginides de décembre (DSV)
– A 3h28, Lune trigone Soleil en géocentrique dans le plan écliptique (27e BEL/SAG)
– Aux alentours de 5h, la Lune atteint sa libration maximale en longitude (L= +6,7°) : elle nous présente son Est au maximum.
- A 5h04, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan équatorial, la planète 5°0’ au Nord ; élongation solaire de la Lune 121° Est. Les deux astres culminent aux alentours de 21h ; la Lune signale la position d’Uranus.
– A 5h27, la Lune atteint sa latitude minimale : -5°13’19" au Sud du plan de l’écliptique ("ventre du Dragon") ; longitude : 27°11’ (28e BEL) ; ascension droite 1h48m, déclinaison +5°35’ -monte ; distance : 60,60 rayons terrestres soit environ 386 533 kilomètres. Cet axe (ailes et ventre du Dragon) est perpendiculaire à l’axe des nœuds (il est rétrograde, en Bélier/Balance du 6 novembre 2018 au 4 mai 2020
– A 8h20, la Lune est conjointe à Uranus dans le plan écliptique, Δ -4°40’ ; longitude 28°45’ (29e BEL).
– A 10h36, la Lune entre dans le signe du Taureau ; Lg 30° à 60° ; sa latitude est alors de -5°12’ -monte.
– Aux alentours de 12h, la Lune atteint sa libration minimale en latitude (B= -6,7°) : elle nous présente son Sud au maximum.
– A 12h40, le Soleil arrive devant la constellation du Sagittaire (Sgr).
– A 13h29, Mercure entre dans le signe de la Balance en héliocentrique.
– A 14h46, la Lune arrive devant la constellation de la Baleine (Cet) ; longitude 32°16’ (3e TAU) ; latitude -5°12’, monte.
- Ce soir, sur la Lune proche de ses librations maximale en longitude et minimale en latitude, apprécier les monts Carpates sur lesquels le Soleil vient de se lever.
- A remarquer avec un instrument en fin de nuit : l’astéroïde (2) Pallas près de la galaxie NGC 4699 -constellation de la Vierge (Vir)
– A 7h44, la Lune arrive devant la constellation du Bélier (Ari) ; longitude 41°12’ (12e TAU) ; latitude -5°3’, monte.
– A 7h55, Lune opposé Vénus en géocentrique dans le plan écliptique (12e TAU/SCO)
– Aux alentours de 9h, maximum attendu de l’essaim météoritique des alpha Lyncides (ALY)
– A 13h04, Vénus entre dans le signe du Lion en héliocentrique.
- Ce soir, sur la Lune encore proche de ses librations maximale en longitude et minimale en latitude, apprécier le cratère Gassendi sur lequel le Soleil vient de se lever.
– A 22h55, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan écliptique
- A 2h31, la Lune arrive devant la constellation du Taureau (Tau) ; longitude 52°24’ (23e TAU) ; latitude -4°43’, monte.
– A 5h01, Mercure, arrive devant la constellation d’Ophiuchus (Oph).
– A 6h50, la Lune conjoint l’astéroïde (3) Junon dans le plan équatorial.
– Aux alentours de 12h, début de la 2212 ème rotation synodique du Soleil
- A 12h35, la Lune est conjointe aux Pléiades dans le plan équatorial, l’amas ouvert (Messier 45) 8°46’ au Nord. Ce soir à 19h, les Pléiades sont à l’Est à une quarantaine de degrés de hauteur, juste au-dessus de la Lune dont l’éclat les éteint..
– A 15h33, la Lune entre dans le signe des Gémeaux ; Lg 60° à 90° ; sa latitude est alors de -4°23’ -monte.
– Elle est alors conjointe aux Pléiades dans le plan écliptique, à 15h49 exactement, ∆ -8°28’. L’ amas des Pléiades marque, de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 1er degré du signe des Gémeaux (longitude moyenne de la date du centre de l’amas : 60°9’22").
– Aux alentours de 16h, l’astéroïde (6) Hebe au périgée
– A 17h22, Soleil trigone Uranus en géocentrique dans le plan écliptique (29e SAG/BEL)
- L’étoile Bételgeuse (alpha d’Orion) culmine au minuit vrai exactement (0h49 pour notre localisation).
– Aujourd’hui, la comète P/2018 T1 Hill au périhélie
– A 6h43, Lune opposé Mercure en géocentrique dans le plan écliptique (9e GEM/SAG)
– A 7h37, Lune opposé Jupiter en géocentrique dans le plan écliptique (10e GEM/SAG)
– Aux alentours de 8h, maximum attendu de l’essaim météoritique des Ursides (URS)
- A 8h34, la Lune est conjointe à Aldébaran (alpha Taureau ; m 0.85) dans le plan écliptique l’étoile 1°39’ au Sud ; longitude (moyenne de la date) 70°3’31".
– Aldébaran marque depuis octobre 2014, le 11e degré du signe des Gémeaux (rappelons qu’en raison de la précession des équinoxes, la longitude écliptique des étoiles augmente d’un degré tous les 72 ans).
– A remarquer dès le début de la nuit ; les deux astres sont alors à l’Est à une quinzaine de degrés de hauteur ; le 20, la Lune est à gauche, le 21, elle est à droite d’ Aldébaran ; l’étoile culmine aux alentours de 23h30
– A 8h57, la Lune est conjointe à Aldébaran dans le plan équatorial, ∆ +1°40’.
– A 9h25, Mercure conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan équatorial
– A 15h43, Mercure conjoint Jupiter dans le plan géo-équatorial.
– A 18h13, Vénus trigone Neptune en géocentrique dans le plan écliptique (14e SCO/POI)
– A 22h41, Mars arrive devant la constellation des Poissons (mouvement direct).
– A 23h08, le Soleil entre dans le signe du Capricorne = la Terre entre dans le signe du Cancer en héliocentrique.
– A 23h27, Mercure conjoint Jupiter dans le plan géo-écliptique
- A 2h48, Mercure conjoint Antarès (étoile alpha Sco) dans le plan écliptique
– A 4h58, la Lune est conjointe à Elnath dans le plan équatorial, l’étoile 8°22’ au Nord
– Aux alentours de 6h, le
Soleil traverse le plan galactique et passe au Sud de celui-ci
- A 6h46, la Lune
est conjointe à Elnath (étoile beta Taureau, magnitude 1.65) dans le plan écliptique, ∆-8°20’. El Nath marque de nos jours, en raison de la précession des équinoxes, le 23e degré du signe des Gémeaux -longitude moyenne de la date 82°50’39"]. A cette heure, les deux astres sont sur le couchant..
– A 13h52, la Lune arrive devant la constellation d’Orion (Ori) ; longitude 87°47’ (28e GEM) ; latitude -2°33’, monte.
– A 17h27, la Lune entre dans le signe du Cancer ; Lg 90° à 120° ; sa latitude est alors de -2°22’ -monte.
– A 18h50, Lune opposé Soleil dans le plan équatorial ; ascension droite 6 / 18h3m, déclinaison Soleil -23°26’ -monte, Lune +21°7" -monte
- Au matin du 22 décembre, une heure avant l’arrivée du Soleil, déjà toute ronde, elle descend brillamment à l’Ouest-nord-ouest tandis que Vénus, escortée de Mercure et Jupiter, resplendit à ’Est-sud-est.
- Le soir elle se lève à l’Est-nord-est pendant que le Soleil se couche à l’opposé. Elle parcourt la voûte céleste 16 heures durant, glisse d’Orion aux Gémeaux, culmine à 66° degrés de hauteur environ pour la latitude 45°N au beau milieu des plus brillantes étoiles du ciel et se couche au matin juste après le lever du Soleil.
-devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) depuis le 30 novembre, il arrive devant le Sagittaire (Sgr) le 18 décembre à 12h40 ; longitude : 266°30’ (27e SAG) ; il reste devant cette constellation jusqu’au 20 janvier. Il arrivera alors devant le Capricorne (Cap).
– Ci-contre, sa position devant les constellations à notre époque, jour après jour du 1er novembre 2018, 0h TU (9e SCO) au 5 mai 2019, 0h TU (15e TAU) (grille équatoriale ; les planètes sont positionnées au 1er novembre.
- Le 22 décembre aux alentours de 6h, il croise le plan galactique et passe au-dessous, comme chaque année à la même date, avec un tout petit décalage d’année en année dû à la précession des équinoxes, qui fait que cela se produit au moment du solstice au cours des 20e et 21e siècles.
– Il traverse à nouveau le plan galactique et passe au-dessus au moment du solstice d’été ; il se trouve alors devant la constellation du Taureau, à la limite de celle des Gémeaux.
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) depuis le 22 novembre, il entre dans celui du Capricorne le 21 décembre à 23h08 = la Terre entre dans le signe du Cancer en héliocentrique : c’est le SOLSTICE de décembre, le début de l’Hiver dans l’hémisphère Nord / de l’Eté dans l’hémisphère Sud : il atteint sa déclinaison minimale : -23°26’14"
– Le couple Soleil-Terre passera en Verseau/Lion le 20 janvier à 9h45 (8h45 UTC).
signe du Capricorne
nous sommes dans la première phase de la saison Hiver Nord / Eté Sud : l’Hémisphère Sud (-) reçoit beaucoup plus d’ensoleillement (F) que le Nord mais il en perd un peu chaque jour (L) alors que l’Hémisphère Nord (+) en reçoit beaucoup moins (F) que le Sud mais il en regagne un peu chaque jour (v).
– Nous avons Sud (-) majoritaire (F) / Nord (+) minoritaire (f)
– avec décroissance (L) du Sud (-) / croissance (v) du Nord (+)
– Cela se traduit, en formules conditionalistes, par :
1- polarité "-"
– formule majeure : Force d’inhibition extinctive F-
– formule mineure, force d’excitation naturelle f+.
2- saison : signe d’hiver Nord / été Sud
– formule majeure : L- = "L" pour Lenteur car le phénomène principal est décroissant et "-" pour Sud
– formule mineure : v+ = "v" pour Vitesse ou labilité car le phénomène secondaire est croissant et "+" pour Nord
3- période équinoxiale
– formule majeure : sens des Ensembles (sE)
– formule mineure : phase ultra-paradoxale
– Sa formule est opposée à celle du Cancer (F-/f+, L+/v-, sE/UP) et inverse de celle des Gémeaux (F+/f-, V+/l-, sE/UP)
Tous les détails sur le zodiaque conditionaliste, fonctions majeures et mineures ici
– Retrouvez dans cette page les thèmes des entrées du Soleil en signes ; voir aussi : le zodiaque : signes et constellations ; article "le début de l’année naturelle au Bélier, pourquoi ?" ; poèmes
– Le 20 décembre aux alentours de 12h, début de sa 2212 ème rotation synodique [7]
– L’équation de temps a atteint son second maximum négatif de l’année le 3 novembre (-16m 26s) ; elle sera nulle le 25 décembre et atteindra son premier maximum positif de l’année le 11 février (+14m14s).
– Quelques liens pour comprendre l’équation de temps : - IMCCE, - Mintaka, - CLEA et - techno-science et encore celui-ci.
– Dans le champ du coronographe Lasco C3 [8] : l’amas globulaire Messier 19->https://fr.wikipedia.org/wiki/M19_(amas_globulaire)] du 3 au 15 décembre.
- L’activité solaire au quotidien sur spaceweather.com (en anglais) ; page spéciale PGJ en français. Elle est faible : le 13 décembre ; 205 jours sans tache depuis le début de l’année.
– Le 15 décembre à 4h05, Mercure opposé Neptune ; longitude 165°/345°40’ (16e VIE/POI) ; latitude Mercure +6°14’ (descend), Neptune -0°58’ (descend).
– Le 17 décembre à 9h58, Mars et Uranus sont en parallèle de latitude à -0°31’ ; les deux montent ; longitude Mars 33°11’ (4e TAU), Uranus 31°9’ (2e TAU)
– Le 18 décembre à 13h29, Mercure entre dans le signe de la Balance (longitude 180° à 210°) ; sa latitude est alors de +5°15’ (descend). Elle reste dans ce signe jusqu’au 26 décembre.
– Le 19 décembre à 13h04, Vénus entre dans le signe du Lion (longitude 120° à 150°) ; sa latitude est alors de +2°19’ (monte). Elle reste dans ce signe jusqu’au 6 janvier.
– Le 21 décembre à 23h08, la Terre entre dans le signe du Cancer Longitude 90° à 120° = le Soleil entre dans le signe du Capricorne du point de vue géocentrique.
– Pour notre localisation, le Soleil se couche à 17h09 le 15 décembre et à 17h12 le 22. Il se lève à 8h22 le 15 décembre et à 8h27 le 22
Correction en longitude [9]
– A notre latitude, la durée du jour diminue de 5 minutes le matin et augmente’ de 3 minutes le soir ; au total, elle diminue de 2 minutes en 7 jours (7 minutes en 8 jours la semaine dernière) ; elle se décale vers le soir en raison de l’équation de temps et la diminution du jour s’arrête.
– Ce phénomène est dû à l’équation de temps : en effet le Soleil culmine de plus en plus tard jusqu’au 11 février. Jusqu’au 21 ou 22 décembre (solstice d’hiver), la durée du jour diminue mais à partir du 13 décembre le décalage dû à l’équation de temps est plus important que l’avance de son coucher. C’est la Sainte Luce, avec son célèbre dicton "à la Sainte Luce le jour croît d’un saut de puce". Jusqu’à début janvier, le Soleil se lève, culmine et se couche de plus en plus tard par rapport au midi moyen. A partir du solstice, les jours commencent à rallonger, mais il faut attendre début janvier pour que son lever cesse de retarder.
La Lune :
– A son Premier Quartier, elle se lève toujours grosso modo autour du midi vrai, culmine au coucher du Soleil, et se couche aux alentours du minuit vrai.
– Au fil des jours, gibbeuse croissante, elle se lève dans l’après-midi, culmine en première moitié de nuit et se couche en deuxième moitié de nuit, chaque jour plus tard que la veille (en moyenne une heure, au minimum 30 minutes, au maximum 1h30 minutes à notre latitude).
– La Pleine Lune, se lève, culmine et se couche toujours à peu près à l’opposé du Soleil.
– L’ étoile Bételgeuse (alpha d’Orion-Ori) passe au méridien à la mi-nuit exactement le 21 décembre (0h49 heure légale pour notre localisation). Pour la latitude terrestre 45° Nord, sa hauteur de culmination est de 52° Nord.
- Mira de la Baleine, et une autre étoile variable à longue période de même type : chi du Cygne, ont atteint leur maximum fin novembre et restent visibles à l’oeil nu jusqu’à la fin du mois : Mira, qui a atteint cette fois-ci une magnitude proche de 2. Son précédent maximum date de janvier 2018 ; le prochain aura lieu en novembre 2019. Elle reste visible à l’oeil nu en décembre.
- et chi du Cygne atteint la magnitude 4.2. C’est une géante rouge, comme Mira. Sa période est de 407 jours. Son prochain maximum aura lieu début 2020.
– La lumière zodiacale est possible à voir sous un ciel bien noir :
– et en fin de nuit avant l’aube, du côté Est-sud-est, devant la Balance (Lib) et la Vierge (Vir), avec Vénus à la base (délicat en raison de l’inclinaison de l’écliptique) jusqu’au 20 décembre. En savoir plus sur la lumière zodiacale.
0h49 pour notre localisation (44°34’N-2°12’E)
– L’étoile Menkalinan (beta du Cocher) est au zénith
- le 16 décembre, aux alentours de 1h, maximum attendu des sigma Hydrides (HYD), zhr 3
– le 18 décembre, aux alentours de 0h, maximum attendu des sigma Virginides de décembre (DSV)
– le 19 décembre, aux alentours de 9h, maximum attendu des alpha Lyncides (ALY)
Noter que les dates des essaims et de leur maximum se décalent au fur et à mesure des années et que la prévision est toujours approximative ; nous suivons les données du Meteor Data Center de l’IAU (Union Astronomique Internationale)
– dernières Géminides (GEM), actif du 4 au 17 décembre, maximum le 12 décembre
– aussi des Ursides (URS), actif du 17 au 26 décembre ; maximum le 22 décembre
– des Coma Berenicides (COM), maximum le 24 décembre
– Elle disparaît du ciel du soir. Elle se couche aux alentours de 18h10. Élongation 16° à 10°E. Magnitude 1.4 ; diamètre apparent 15 secondes d’arc, en diminution.
– Elle va être conjointe au Soleil le 2 janvier 2019. Sa prochaine opposition aura lieu le 9 juillet. La dernière date du 27 juin. Elle est passée en quadrature Est le 26 septembre.
Devant la constellation du Sagittaire du 24 février 2017 au 16 décembre 2020.
– L’inclinaison de ses anneaux passe de +26° à +25,5° en décembre .
– Élongation maximale de Titan à l’Ouest le 15 décembre à 8h43
– Elle est dans le signe du Capricorne (longitude 270° à 300°) du 20 décembre 2017 au 20 mars 2020 ; puis de juillet à décembre 2020 en raison de ses boucles de rétrogradation.
– En héliocentrique, elle signe Capricorne du 14 décembre 2017 au 3 septembre 2020.
– Son mouvement est direct depuis le 6 septembre. Elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 12 décembre. Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 29 avril 2019.
– Sa distance au Soleil (10,061 UA) diminue depuis son aphélie, le 17 avril dernier. Elle se rapproche désormais du Soleil durant une quinzaine d’années, jusqu’à son prochain périhélie, le 29 novembre 2032 (9,014 UA). Périhélie précédent le 26 juillet 2003.
– Sa distance à la Terre augmente de 11,003 à 11,030 UA ; elle est passée au périgée le 27 juin (9,048 UA) ; prochain apogée le 2 janvier 2019 (11,043 UA).
– En latitude Nord, elle descend en héliocentrique depuis le 31 janvier 2012, elle passera à son nœud descendant en février 2020.
– En géocentrique elle a atteint son maximum annuel le 2 mai (+0°53’). Elle descend, passera à son nœud descendant le 13 février 2020 et atteindra un palier minimum le 7 octobre 2021 (-0°49’)
– En déclinaison Sud depuis le 9 septembre 2010, elle a atteint son minimum absolu le 20 octobre 2018 (-22°46’). Maintenant, elle remonte en fluctuant au gré de ses rétrogradations et passera en déclinaison Nord le 26 mars 2026.
– Elle est passée en quadrature Est au Soleil le 5 décembre .
– Elle culmine aux alentours de 18h00 à près de 40° de hauteur pour notre latitude (44°N) et se couche aux alentours de 23h30. La Lune gêne son observation cette semaine.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 7 septembre. Sa prochaine opposition aura lieu le 10 septembre 2019. Elle sera en conjonction le 4 février.
– Élongation 81° à 74° Est ; Magnitude 7.8 ; diamètre apparent 2,3 secondes d’arc
- Son mouvement est direct depuis le 24 novembre (14e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 15 mars 2019.
– Elle est devant la constellation du Verseau de 2010 à 2022.
– Ci-contre son parcours devant le Verseau de 2015 à 2028
– Elle est dans le signe des Poissons de 2011 à 2025.
– Sa distance au Soleil (29,939 UA) diminue très, très lentement de 1968 à 2042. Cette variation est liée à sa révolution autour du Soleil, qu’elle effectue en 164 ans. A ce sujet, découvrez les particularités très délicates des approches et éloignements de Neptune dans cet article de Jean Meeus
– Sa distance à la Terre : 30,210 UA le 22 décembre, augmente depuis son périgée le 7 septembre (28,93 UA). Prochain apogée le 7 mars 2019 (30,929 UA).
– En latitude Sud depuis 2003, elle descend jusqu’en 2043 en héliocentrique (à -1°45’).
– En géocentrique, elle remonte : elle a atteint un minimum dans ses fluctuations annuelles le 22 septembre : -1°0’. Prochain maxima le 19 février 2019 (-0°57’).
– En déclinaison Sud de 1944 à 2026, elle a atteint sa déclinaison minimale absolue en novembre 1986 (-22°21’). Actuellement, elle monte : elle a atteint sa déclinaison minimale annuelle le 23 novembre (-7°19’) ; prochain maximum le 18 juin 2019 (-5°23’).
- conjointe à la Lune le 15 décembre
– Elle a conjoint Neptune le 7 décembre.
– Elle culmine aux alentours de 18h00, de plus en plus haut, et se couche aux alentours de 0h15. Élongation 86° à 83° Est.
– Elle passée en quadrature Est au Soleil le 3 décembre (le 10 décembre dans le plan équatorial). En héliocentrique, le carré Terre - Mars aura lieu le 9 mars 2019.
– Sa dernière opposition au Soleil date du 27 juillet ; elle sera conjointe au Soleil le 2 septembre 2019 et sa prochaine opposition aura lieu le 13 octobre 2020.
– Son diamètre apparent : 8 secondes d’arc environ, diminue ainsi que son éclat : sa magnitude passe de +0.2 à +0.3. Elle reste observable jusqu’en janvier, et sera visible à l’œil nu jusqu’en avril. Elle nous réserve encore de belles rencontres stellaires au fur et à mesure de son parcours le long de l’écliptique :
- Son mouvement est direct depuis le 27 août dans le plan écliptique et le 28 août dans le plan équatorial ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 8 octobre dans le plan écliptique et le 9 octobre dans le plan équatorial. Elle entamera la prochaine le 6 septembre 2020.
– Devant la constellation du Verseau (Aqr) depuis le 11 novembre, elle arrive devant les Poissons (Psc) le 21 décembre à 22h41 ; longitude 353°11’ (24e POI), latitude -0°32’ (monte). Elle arrivera devant la constellation du Bélier (Ari) le 13 février.
– Ci-contre son parcours du 1er mai 2018 au 22 juin 2019 (les autres planètes sont positionnées au 1er mai 2018)
– Elle est dans le signe des Poissons (longitude 330° à 0°) du 15 novembre au 1er janvier. Elle entrera alors dans le signe du Bélier.
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 11 décembre au 2 février.
– Sa distance au Soleil augmente de 1,435 à 1,443 UA. Elle est passée au périhélie le 16 septembre 2018 (1,381 UA). Prochain aphélie le 26 août 2019.
– Sa distance à la Terre augmente de 1,124 à 1,184 UA ; elle est passée au périgée le 31 juillet 2018 (0,3849 UA). elle sera à l’ apogée le 29 août 2019 (2,675 UA).
– En latitude Sud depuis le 16 mars (nœud descendant), elle a atteint sa latitude géocentrique minimale le 4 août (-6°35’) et sa latitude héliocentrique minimale le 20 août (-1°50’). Elle monte et passera en latitude Nord (nœud ascendant) le 15 janvier 2019.
– En déclinaison Sud depuis le 27 octobre 2017, elle remonte ; elle a atteint sa déclinaison minimale le 16 août (-26°29’ -hors-limites zodiacales ). Elle passera en déclinaison Nord le 2 janvier 2019.
– Saison sur Mars : c’est l’hiver Nord / été Sud depuis le 16 octobre de notre calendrier grégorien terrestre. Prochain équinoxe de Printemps Nord/ Automne Sud le 23 mars 2019.
Pour en savoir plus sur les saisons de Mars : Nirgal, Wikipedia.
– conjointe à la Lune le 18 décembre
– Elle culmine aux alentours de 20h40 et se couche aux alentours de 3h30.
– Son élongation passe de 126° à 119° Est. Magnitude 5.7 ; diamètre apparent 3,7 secondes d’arc.
– Elle est passée à l’opposition du Soleil le 23 octobre.
– Elle sera en quadrature Est le 19 janvier, conjointe au Soleil le 22 avril, en quadrature Ouest le 29 juillet et à l’ opposition le 28 octobre 2019.
-Son mouvement est rétrograde du 7 août 2018 (3e TAU) au 6 janvier 2019 (29e BEL) ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 23 avril.
– Elle est devant la constellation des Poissons (Psc) du 3 décembre au 6 février ; elle y reprendra son mouvement direct le 6 janvier. Elle était aupavant devant le Bélier depuis le 27 avril. Elle y restera ensuite jusqu’au 23 mai 2024.
Ci-contre son parcours devant les constellations de 2016 à 2020
– En héliocentrique, elle signe Taureau du 3 septembre 2018 au 10 janvier 2026.
– En géocentrique, elle signe Bélier depuis le 6 novembre en raison de sa rétrogradation. Elle sera de retour en Taureau le 6 mars 2019 et y restera ensuite jusqu’en juillet 2025.
– Sa distance au Soleil : 19,863 UA, diminue ; dernier aphélie en février 2009 (20,098 UA), prochain périhélie en août 2050 (18,283 UA).
– Sa distance à la Terre augmente : 19,384 UA le 22 décembre. Elle est passée au périgée le 23 octobre (18,875 UA) ; prochain apogée le 23 avril 2019 (20,85 UA).
– En latitude Sud depuis le 21 décembre 1984 :
– en héliocentrique, elle a atteint son minimum le 4 janvier 2007 ; elle monte et passera à son nœud ascendant en 2029.
– En géocentrique, elle monte : elle a atteint un palier de latitude minimale le 10 octobre (-0°33’). Prochain maximum le 11 mai 2019 (-0°29’).
– En déclinaison Nord du 9 avril 2011 au 17 juillet 2053, elle monte : elle a atteint un maximum le 6 août (+11°50’). Prochain minimum le 5 janvier 2019 (+10°28’). Elle atteindra son maximum absolu en 2034 (+23°41’).
- Elle brille majestueusement dans le ciel du matin depuis début novembre. Elle se lève aux environs de 4h30.
Son élongation au Soleil passe de 44° à 45° Ouest.
– Elle atteindra son élongation maximale le 6 janvier ; sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 13 août 2019 ; sa prochaine conjonction inférieure, le 4 juin 2020. La précédente date du 26 octobre
– Elle est en phase de premier croissant ; sa portion éclairée augmente de 38% à 41% ; son diamètre apparent, 30 secondes d’arc le 22 décembre, diminue ; son éclat : magnitude -4.5, diminue légèrement. En savoir plus sur les phases de Vénus.
- Ci-contre son parcours du 22 août 2018 au 1er mai 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 22 août 2018.
– Elle est devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 13 décembre. Elle y reste jusqu’au 9 janvier. Elle arrivera alors devant le Scorpion (Sco).
– Son mouvement est direct depuis le 16 novembre.
– Elle entamera sa prochaine rétrogradation le 13 mai 2020.
– Elle est dans le signe du Scorpion (longitude 210° à 240°) du 2 décembre au 7 janvier. Elle y a déjà été du 9 septembre au 31 octobre.
– En héliocentrique, elle signe Cancer du 1er au 19 décembre puis Lion jusqu’au 6 janvier.
– Sa distance au Soleil : 0,718 UA diminue depuis son aphélie le 5 septembre (0,728 UA). Prochain périhélie le 26 décembre (0,718 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 0,511 à 0,565 UA ; elle est passée au périgée le 27 octobre (0,272 UA) ; prochain apogée le 11 août 2019 (1,731 UA).
– En latitude écliptique Nord depuis le 22 novembre (nœud ascendant). Elle atteindra sa latitude maximale le 3 janvier en géocentrique et le 17 janvier en héliocentrique ; elle passera en latitude écliptique Sud le 10 mars (nœud descendant).
– En déclinaison Sud depuis le 6 août, elle a atteint un premier minimum à -22°0’ le 8 octobre, puis un maximum le 28 novembre (-9°49’) ; elle redescend maintenant jusqu’à un minimum de -21°11’.le 10 février 2019. Elle passera en déclinaison Nord le 23 avril 2019
– Elle atteint son élongation maximale le 15 décembre à 12h30 : 21°16’12" à l’Ouest du Soleil ; longitude 242°17’ (3e SAG) ; latitude +2°14’ (descend). Voir page PGJ.
– Elle est visible à l’œil nu dans le ciel du matin depuis le 5 décembre et va le rester jusqu’à la fin du mois.
– Elle se lève 1 heure 52 minutes avant lui le 15 décembre et 1 heure 40 minutes avant lui le 22. Sa magnitude se maintient à -0.4.
– Sa dernière conjonction inférieure a eu lieu le 27 novembre. Sa prochaine conjonction supérieure aura lieu le 30 janvier ; sa prochaine conjonction inférieure, le 15 mars.
- Elle est conjointe à Jupiter pour la troisième fois le 21 décembre à 15h43 dans le plan équatorial, Mercure 0°52’ au Nord ; élongation solaire de Jupiter 20° Ouest ; à 23h27 dans le plan écliptique, à la longitude 249°44’ (10e SAG), ∆ +0°26’. Les deux planètes se lèvent simultanément aux alentours de 6h50, et sont visibles jusqu’aux alentours de 7h30 au-dessus d’un horizon Est-sud-est dégagé.
– En raison de la rétrogradation de Mercure, elles ont déjà été conjointes le 29/30 octobre et le 27 novembre avec le Soleil .
- Elle est conjointe à Antarès (alpha Scorpion, magnitude 1.05) le 21 décembre à 9h25 dans le plan équatorial, l’étoile 6°10’ au Sud. La conjonction dans le plan écliptique a lieu le 22 à 2h48, ∆ +6°4’ ; longitude (moyenne de la date) : 250°1’53". En raison de la précession des équinoxes, Antarès marque depuis décembre 2016 et pour 70 ans environ, le 11e degré du signe du Sagittaire. L’étoile est difficile à distinguer au raz de l’horizon aux alentours de 7h30 dans les lueurs de l’aube sous Mercure et Jupiter.
– En raison de sa rétrogradation, Mercure a déjà été conjointe à Antarès le 9 novembre
– Elle est en phase gibbeuse croissante ; sa fraction éclairée passe de 59% à 78%
– Son diamètre apparent, 6 secondes d’arc, diminue.
- Son mouvement est direct du 6 décembre (28e SCO) au 5 mars 2019 (30e POI). Elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 24 décembre.
Ci-contre son parcours du 1er octobre 2018 au 25 avril 2019 ; les autres planètes sont positionnées au 1er octobre 2018.
– Devant la constellation de la Balance (Lib) depuis le 29 novembre, elle arrive devant le Scorpion (Sco), le 15 décembre à 16h00, à la longitude 242°26’ (3e SAG), latitude +2°13’, descend ; elle arrive ensuite devant Ophiuchus (Oph) le 20 décembre à 5h01, à la longitude 247°36’ (8e SAG), latitude +1°40’, descend ; elle progresse devant cette constellation jusqu’au 2 janvier ; elle arrivera alors devant le Sagittaire (Sgr).
– Dans le signe du Sagittaire (Lg 240° à 270°) du 13 décembre au 5 janvier.
– En héliocentrique, elle signe Vierge du 11 au 18 décembre, puis Balance jusqu’au 26.
– En latitude Nord depuis le 24 novembre (nœud ascendant), elle a atteint sa latitude maximale le 8 décembre en géocentrique (+2°42’) et le 9 décembre en héliocentrique (+7°0’). Elle passera à son nœud descendant le 1er janvier.
– En déclinaison Sud depuis le 23 septembre, elle a atteint un minimum le 12 novembre (-24°49’ -hors limites zodiacales (-23°26’13") du 2 au 20 novembre) ; puis un maximum le 7 décembre (-16°54’). Maintenant elle redescend ; elle repassera hors limites zodiacales du 2 au 18 janvier avec un minimum le 11 janvier à -24°8’ ; elle passera en déclinaison Nord le 27 février.
– Sa distance au Soleil augmente, de 0,370 à 0,410 UA ; elle est passée au périhélie le 29 novembre ; (0,307 UA) ; prochain aphélie le 12 janvier (0,466 UA).
– Sa distance à la Terre : 1,014 à 1,160 UA, augmente depuis son périgée le 27 novembre (0,678 UA) ; prochain apogée le 22 janvier 2019 (1,422 UA).
– Son élongation passe de 14° à 20° Ouest.
- Sa conjonction au Soleil date du 26 novembre, avec Mercure (27 novembre)
– A nouveau conjointe à Mercure le 21 décembre à 15h43 dans le plan équatorial / à 23h27 dans le plan écliptique, elle est visible avec elle avant le lever du Soleil ; elle se lève entre 7h06 (le 15) et 6h47 (le 22).
– Elle est conjointe à Antarès le 20 décembre à 3h28 dans le plan équatorial, l’étoile 7°16’ au Sud. La conjonction dans le plan écliptique a lieu le 23 décembre.
– Sa prochaine opposition aura lieu le 10 juin 2019. Précédente le 9 mai 2018.
- Elle est devant la constellation d’ Ophiuchus (Oph) du 13 décembre 2018 au 16 novembre 2019. Ci-contre son parcours du 11 octobre 2018 au 22 janvier 2020 (le Soleil et les autres planètes sont positionnés au 11 octobre 2018 ).
– Son mouvement est direct depuis le 10 juillet (14e SCO) ; elle a achevé sa boucle de rétrogradation le 5 octobre ; prochaine rétrogradation du 10 avril (25e SAG) au 11 août 2019 (15e SAG).
– Dans le signe du Sagittaire (longitude 240° à 270°) du 8 novembre 2018 au 2 décembre 2019 en géocentrique.
– En héliocentrique, elle signe Sagittaire depuis le 6 octobre 2018 et reste dans ce signe jusqu’au 18 octobre 2019.
– Sa distance au Soleil : 5,353 UA le 22 décembre diminue depuis son aphélie le 17 février 2017 (5,456 UA). Elle se rapproche du Soleil jusqu’à son prochain périhélie le 20 janvier 2023 (4,951 UA).
– Sa distance à la Terre diminue de 6,298 à 6,259 UA ; elle est passée à l’apogée le 24 novembre (6,347 UA) ; elle sera au périgée le 12 juin 2019 (4,283 UA).
– En latitude Nord depuis le 9 novembre 2013, elle a atteint sa latitude maximale en héliocentrique le 28 décembre 2016 (+1°18’). Elle descend jusqu’au 12 décembre 2022 (-1°18’) et passera à son nœud descendant le 26 février 2020.
– En géocentrique, elle a atteint sa latitude maximale annuelle le 25 avril (+1°16’) ; prochain minimum le 3 février 2019 (+0°37’).
– En déclinaison Sud depuis le 21 septembre 2016 ; elle a atteint son maximum annuel le 6 juillet (-14°49’) ; prochain minimum le 10 avril 2019 (-22°40’). Elle atteindra son minimum absolu en décembre 2019 (-23°18’) et passera en déclinaison Nord en mai 2022.
– Magnitude 15.1
– Elle est passée en quadrature Est (au Soleil ) le 12 octobre. Elle se couche aux alentours de 18h30 ; elle n’est plus du tout observable.
– Sa dernière opposition au Soleil a eu lieu le 12 juillet 2018. La prochaine aura lieu le 14 juillet 2019.
Devant la constellation du Sagittaire de 2006 à 2023 et dans le signe du Capricorne de fin 2008 à 2024
– Son mouvement est direct depuis le 30 septembre ; elle achèvera sa boucle de rétrogradation le 21 janvier 2019.
– Sa distance au Soleil augmente de 33,701 à 33,706 UA. Elle sera à l’aphélie en 2114 (49,31 UA).
– Sa distance à la Terre augmente de 34,578 à 34,631 UA. Elle est passée au périgée le 10 juillet 2018 (32,58 UA) ; prochain apogée le 13 janvier 2019 (34,70 UA).
– Elle est passée à son nœud descendant le 24 octobre. Elle atteindra sa latitude minimale le 13 octobre 2087 en géocentrique (-17°29’) et le 21 novembre 2087 en héliocentrique (-17°8’)
– En déclinaison Sud depuis 1988, elle descend lentement en fluctuant au gré de ses rétrogradations. Elle a atteint son minimum annuel le 23 octobre (-22°6’). Prochain maximum le 4 avril 2019 (-21°42’). Elle atteindra son minimum absolu en octobre 2022 : -23°6’
- (354) Eleonora, m 10.2, le 16 décembre dans le plan équatorial ; devant Orion (Ori).
- Au périgée : (6) Hebe, m 8.4, devant la Licorne (Mon) le 20 décembre aux alentours de 16h. Hebe sera à l’opposition du Soleil le 28 décembre dans le plan équatorial.
– (3) Junon, m 8, qui se trouve devant l’Eridan (Eri) le 19 décembre à 22h55 dans le plan écliptique (20e TAU), l’astéroïde 17°32’ au Sud ; le 20 à 6h50 dans le plan équatorial Δ +18°14’.
avec un instrument et/ou photographiquement
- Le 19 décembre, remarquer en fin de nuit l’astéroïde (2) Pallas, magnitude 9, à 1° au Nord de la galaxie NGC 4699 de la constellation de la Vierge (Vir).
Comètes observables dans l’hémisphère Nord, jusqu’à magnitude 12
– 46P Wirtanen : magnitude observée le 13 décembre : 4.7, donc visible à l’oeil nu sous un bon ciel sans Lune. Elle est passée au périhélie -et au plus près de la Terre le 12 décembre, à 0,08 UA. Elle passe du Taureau (Tau) au Cocher (AUR) en rasant Persée (Per) ; elle culmine aux alentours de 23h00 ; pour la suivre en temps réel. Du 15 au 17 décembre, elle passe à côté des Pléiades ; cette scène peut s’observer dans un même champ de jumelles de 6°.
- 64P Swift-Gehrels : magnitude observée le 13 décembre : 9.1, entre le Triangle (Tri) et le Bélier (Ari), en excellentes conditions d’observation. Elle est passée au périhélie le 3 novembre ; la suivre en temps réel.
- 38P Stephan-Oterma : magnitude observée le 13 décembre : 10.2, son éclat diminue ; elle est passée au périhélie le 10 novembre. Devant le Lynx (Lyn) ; la suivre en temps réel.
– C/2018 V1 Machholz-Fujikawa-Iwamoto : n’est plus visible
– Autres comètes observables -ou pas, sur aerith.net
– Localiser précisément les comètes observables grâce à Heavens above
– Photos de comètes ; galerie d’images de SpaceWeather
Au périhélie
– le 21 décembre, P/2018 T1 Hill, magnitude 18
– Lune
Mission chinoise sur la face cachée : la Chine va là où nul n’est encore allé : la face cachée de la Lune. Le 7 décembre, une fusée Longue Marche 3B a décollé de la base de lancement de satellites de Xichang (dans le Sichuan, Sud-Ouest de la Chine), emportant un atterrisseur et un rover vers les cratères cachés qui pourraient contenir de l’eau et d’autres ressources clés pour une exploration humaine future. La sonde est maintenant en orbite autour de la Lune. Si la mission réussit, elle catapultera la Chine en tête de l’exploration lunaire avec un atterrissage auquel nulle autre nation n’avait encore pensé.
Depuis la Terre nous voyons toujours la même face de la Lune. L’autre côté nous est toujours caché, car elle tourne sur elle-même en exactement autant de temps qu’elle tourne autour de la Terre, si ce n’est ses librations. Les astronautes d’Apollo ont volé au-dessus de la face cachée et de nombreux satellites ont photographié la Lune par derrière, révélant un paysage rugueux, lourdement cratérisé, très différent de la face que nosu connaissons. Mais n’y avait encore atterri.
La mission chinoise Chang’e 4 mission vise à être la première. Selon certaines sources, l’atterrisseur devrait toucher le sol dans un cratère de 168 kilomètres de large, le cratère Von Kármán, qui fait partie du bassin Pôle Sud–Aitken, la plus grande structure d’impact connue dans le système solaire. Le rover Chang’e-4 explorera le site d’atterrissage, en le testant avec un radar de pénétration du sol et mesurera la composition minérale avec un spectromètre infrarouge. S’il y a de l’eau, il pourra la détecter. source
Face cachée de la Lune photo source Lunar Reconnaissance Orbiter NASA
– VOYAGER 2 entre dans l’espace interstellaire : Voyager 2 est sorti du cocon magnétique du Soleil et est entré dans l’espace interstellaire. Les scientifiques de la mission ont annoncé cette nouvelle fracassante le 9 décembre à l’ American Geophysical Union meeting à Washington DC. Son jumeau, Voyager 1, a traversé la même frontière en 2012, mais le passage de Voyager 2 devrait apporter davantage d’informations car il transporte un instrument de travail qui peut sonder les plasmas interstellaires ; ce sera le premier échantillon in-situ de matière entre les étoiles.
La preuve la plus incontestable que Voyageur 2 est sorti de l’ heliosphere vient de son "Plasma Science Experiment" (PLS), un instrument qui a cessé de fonctionner sur Voyageur 1 en 1980. Jusque récemment, Voyageur 2 était entouré principalement par le vent solaire - un type de plasma émis par le Soleil. Le 5 novembre, le Plasma Science Experiment de Voyager 2 a enregistré un brusque déclin du vent solaire, et depuis cette date, il n’a pas enregistré d’autre flux de vent solaire, un signe évident qu’il a quitté l’héliosphère.
A la place du vent solaire, il y a un blizzard de rayons cosmiques galactiques. Le champ magnétique solaire protège le système solaire des rayons cosmiques en brisant les rayons de haute énergie des explosions de supernovae dans la Voie Lactée et ailleurs. Maintenant que Voyager 2 est sorti de cette coquille protectrice, il est légèrement exposé aux rayons cosmiques, et son sous-système de rayons cosmiques enregistre une onde.
Lancé en 1977, Voyager 2 est maintenant à un peu plus de 18 milliards de kilomètres de la Terre. Les opérateurs de la mission peuvent encore communiquer avec Voyager 2 alors qu’il entre dans une nouvelle phase de son voyage, mais l’ information – qui se déplace à la vitesse de la lumière – met environ 16,5 heures à parvenir à la Terre.
Les sondes Voyager sont alimentées par la chaleur provenant de la désintégration de matières radioactives, contenu dans un générateur thermique de radio-isotopes (RTG). La puissance de sortie des RTG diminue d’environ quatre watts par an, ce qui signifie que diverses parties des Voyagers, y compris les caméras des deux engins spatiaux, ont été éteintes au fil du temps pour économiser l’énergie. Grâce à ces précautions, les Voyagers pourront encore envoyer quelques données dans les années à venir.
"Il y a encore beaucoup à apprendre sur l’espace interstellaire immédiat au-delà de l’héliosphèfre" dit Ed Stone, scientifique du projet, basé à Caltech, Pasadena en California. A suivre sur le site Voyager - NASA. Source
– Mars
– Insight, arrivée sur Mars réussie
– autres missions : Mars Express ; 15 ans en orbite
– Le rover Curiosity du Mars Science Laboratory
– Mars Reconnaissance Orbiter
– EXOMARS, en orbite, fin de l’aérofreinage, la mission scientifique débute
– Mercure
– Lancement réussi de BEPI COLOMBO le 19-20 Octobre 2018 de Kourou avec une fusée Ariane 5. Dernières nouvelles sur les Astronews.
– A suivre sur twitter ; site de l’ESA ; site du CNES
– astéroïde Ryugu :
– Des robots japonais ont abordé l’astéroïde géocroiseur Ryugu, dernières nouvelles : HAYABUSA 2 : MASCOT a rejoint ses deux collègues rovers
– Jupiter
– JUNO, des vagues dans l’atmosphère de Jupiter
– Pluton et au-delà
– New Horizons, la sonde qui a survolé Pluton le 14 juillet 2015, se dirige vers un autre objet transneptunien, 2014 MU69, maintenant surnommé "Ultima Thule", qu’elle doit atteindre le 1er janvier 2019. Le 9 décembre 2017, elle a effectué une correction de trajectoire, puis après quelques mois d’hibernation, la sonde a été réveillée le 4 juin 2018 et s’apprête à faire ses observations. Voir sur [TheSkyLive>https://theskylive.com/pages/new-horizons-2014-mu69/]
– Missions passées (dont les données n’ont pas fini d’être exploitées)
Cérès
– Fin de la mission Dawn le 30 octobre 2018. Page wikipedia ; Astronews
– Fin de la mission Kepler en novembre
– Rosetta, archives photos complètes
– Cassini, caractérisation du rayonnement radio auroral de Saturne
– l’actu spatiale sur le site de la Cité de l’Espace.
– sur le site de l’ESA
– sur le site du CNES
– L’ESA et l’avenir de l’Europe spatiale
– Astronews du 1er décembre ; au sommaire : -Insight, on est sur Mars, les premières photos ; -conférence de Jocelyn Bell à l’occasion de sa remise de la grande Médaille de l’Académie des Sciences pour sa découverte des pulsars ... en 1967 ; -Poids et Mesures, réunion historique à Versailles de la CGPM des 13-16 Nov 2018 ; -Osiris-Rex : Bennu en approche ; -Système Solaire, un objet transneptunien récemment découvert confirmerait l’existence de la planète Nine ; -Système Solaire, on découvre des anneaux à certains astéroïdes et planètes naines ; -Systèmes planétaires, le mystère des disques de gaz résolu ; -Mission LUCY pour l’exploration des astéroïdes Troyens ; Fusion Thermonucléaire, un Tokamak chinois à 100 millions de degrés ; -un trou Noir à rotation extrêmement rapide découvert ; -Le télescope spatial TESS est opérationnel ; Livre conseillé : l’aventure Apollo
Rappels
– La lettre de l’IMCCE de décembre n° 151 : *Le solstice d’hiver *Observer le ciel en décembre 2018 : Uranus et Neptune *La connaissance des temps 2019 *le bolide du 24 novembre
– La lettre du guide du ciel n°142. (1er décembre 2018) de Guillaume Cannat : cadeaux de Noël
– Un excellent site anglais de planétarium : TheSkyLive
– Un autre, japonais, en anglais plein de ressources de visualisation : AstroArts
– Astrosurf magazine numéro 95, novembre-décembre 2018, une revue d’astronomie pratique qui ne manque pas de poésie et de profondeur. Sommaire.
– La galerie de photos astro du magazine Ciel et Espace
– L’agenda astrologique Astro Agenda 2019 d’Astrid Fallon (Astrologie en 3D)
– Découvrir ou approfondir l’Astrologie conditionnelle avec Ariana.
Le ballet des coïncidences, Opéra conditionaliste de Jean Pierre NICOLA [10], une magistrale démonstration astrométrique de la merveilleuse cohérence de notre système solaire.
–
– Une calculatrice pour astronomes : calcule le Jour Julien, la déclinaison du Soleil, l’Equation de Temps et la longueur du Jour.
– Convertisseur de calendriers
– Redéfinition de l’Unité Astronomique, distance moyenne en la Terre et le Soleil. Voir : 149 597 870 700 mètres exactement. La Terre s’y trouve le 4 avril et le 5 octobre.
– Convertisseur de coordonnées
– Convertisseur de distances
– Astrophotographie, pratique et théorie, cours en ligne sur afanet.fr.
Format portait et fiche vierge correspondante pour noter vos observations de toutes sortes : astronomiques, météo, santé, humeur, comportement humain et animal, événementiel ...
– Les cartes sont obtenues avec les logiciels - Stellarium
Cartes du ciel 3.8 ou Atlas virtuel de la Lune
[1] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[2] Rotation synodique :
– Article de Jean Meeus ;
– pour la calculer et l’apprécier soi-même, fich tech ici.
– Article sur Carrington, qui l’a découverte
[3] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[4] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[5] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
[6] "Cagouille" est un mot du patois charentais, mon pays natal, pour désigner l’escargot. Il porte sa maison sur son dos, sa coquille est en forme de spirale, son pied adhère au sol et ses antennes sont dressées vers le ciel.
[7] Rotation synodique :
– Article de Jean Meeus ;
– pour la calculer et l’apprécier soi-même, fich tech ici.
– Article sur Carrington, qui l’a découverte
[8] au centre du champ de Lasco C3, la magnitude des objets visibles est d’environ 7, et, en sa périphérie elle atteint m9 ; cela est variable en fonction de l’activité solaire : en cas de grosse éruption les objets peuvent être cachés dans l’éclat des matières éjectées.
[9] Pour la même latitude (approximativement ), retrancher 4 minutes par degré de longitude si plus à l’Est ; ajouter 4 minutes si plus à l’Ouest. Pour autre latitude consulter PGJ Astronomie ou l’IMCCE
[10] père du RET fondateur de l’école d’astrologie conditionnelle
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